Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Sofia est une jeune femme d'une trentaine d'années, méditerranéenne et plus précisément sicilienne. Brune à la peau légèrement mate. Ses yeux sont gris clairs. Elle a une allure follement sensuelle. Son physique est semblable à celui des belles filles des années cinquante, époque bénie où, pour être belle, il ne venait à l'idée d'aucune femme de ressembler à des squelettes décharnés et faméliques. Elle n'est pas très grande, 1,65m environ et une silhouette à damner un saint, alors, imaginez un amateur de luxure comme moi.
Valy l'avait rencontrée dans une société d'ambulances de la banlieue sud de Paris, alors qu'elle y était venue s'informer sur la marche à suivre pour devenir ambulancière. Les deux jeunes femmes avaient tout de suite sympathisé. Elles étaient sorties quelques fois ensemble, jusqu'au jour où Valy, fidèle à elle-même, au cours d'une soirée où elle avait invité Sofia à diner chez elle, l'embrassa à pleine bouche.
La jeune femme, bien que surprise, répondit à ce baiser avec fougue, et le diner se transforma en jeux lesbiens torrides. Au cours de cette soirée, elles se trouvèrent de nombreux goûts communs en matière de sexe. Étant toutes deux et gourmandes et bisexuelles, elles décidèrent de partager les aventures quand elles leur sembleraient intéressantes à être réaliser ensemble.
C'est ainsi qu'au retour de notre escapade en Sauna, Valy me proposa de rencontrer sa copine dont elle me fit quelques compliments. A son sujet, elle me dit, le regard plein de malicieux sous-entendus :
« Je ne t'en dis pas plus, tu verras par toi même ! »
Effectivement, je fus surpris, très agréablement d'ailleurs. Nos contraintes professionnelles communes et des obligations dans nos familles respectives nous ont obligés à attendre six semaines avant de rencontrer cette Sofia dont Valy me parlait tant.
Enfin le jour arriva. C'était un dimanche fin de matinée, nous étions en été.
Valy et moi nous nous sommes rendus chez Sofia. Elle vivait seule dans un joli petit pavillon. La façade arrière donnait sur un petit coin jardin composé d'une pelouse ourlée de fleurs.
Quand nous arrivons, Sofia nous ouvre, très légèrement dévêtue. Une sorte de poncho extrêmement fin, blanc cassé l'enveloppe du cou jusqu'à mi-mollet, un petit nœud sur les côtés pour donner un semblant de pudeur à l'ensemble. Il est si fin qu'il en est transparent et laisse voir qu'elle est nue dessous.
Les chevilles fines sont toutes deux décorées d'une chaine comme on en trouve en Inde.
Sans être fétichiste je suis très sensible à la beauté d'un pied féminin. Les siens sont bien cambrés, les doigts sont longs et fins. J'adore. Sofia a un corps magnifique, je lui en fais compliment. Elle me remercie en souriant. Cette fille me fait craquer. Elle a un corps musclé, sans que ce soit laid.
Valy, qui me voit la détailler, et semblant lire mes pensées, me dit que Sofia fait énormément de body building et lui arrive même de faire des compétitions. Je comprends mieux maintenant sa silhouette. Elle nous conduit dans son petit jardin, sur une table l'apéritif nous attend. Pendant que Sofia remplit les verres, Valy s'éclipse un instant, et elle revient juste vêtue d'un string minuscule.
Décidément, je ne peux me lasser d'admirer son corps et cette démarche qui laisse croire qu'elle ne marche pas, mais qu'elle danse. D'ailleurs, fière de l'effet qu'elle fait sur Sofia et moi, Valy esquisse un pas de danse plutôt lascif hérité sans doute de ses ancêtres antillais.
Et s'adressant à son amie elle dit :
« Ma chérie, je te trouve bien pudique tout d'un coup ! C'est Bruno qui t’intimide ? Et puis dis donc, toi, enlève ta chemise et ton pantalon ! Enfin ! Quoi ! »
Nous nous exécutons aussitôt, et au spectacle que me montre Sofia je ne peux m'empêcher de bander. En effet, le body building qu'elle pratique lui a donné des muscles longs qui affinent sa silhouette Et elle doit sans aucun doute utiliser des hormones pour aider son développement car son clitoris est très développé. Il doit mesurer environ un centimètre et demi. Et il est d'autant plus visible qu'elle a la chatte complètement glabre, comme tout le reste de son corps. Sa chatte a belle allure, elle aussi. Les grandes lèvres sont bien ourlées et charnues, et mettent en appétit.
Sofia prend mon érection pour un compliment,, et elle à raison, ma queue a dit bien mieux que moi ce que je pensais du spectacle. Pour me remercier, elle s'approche de moi et me câline la queue tout en me prenant la bouche. A l'apéritif c'est le meilleur amuse-gueule que je connaisse !
Gourmand et tant tenté par ma belle tentatrice, je frôle de la main son clito. Aussitôt Sofia a un sursaut et me dit :
« Non Je t'en supplie arrête sinon je ne me contrôle plus, on verra cela après le déjeuner, tu veux bien ? »
Valy assise et déjà un verre à la main rit de bon cœur devant le spectacle que nous lui donnons. Elle me regarde et me fait un clin d'œil comme pour me rappeler qu'elle m'avait dit que sa copine était pleine de surprise. Nous nous installons donc nus comme des vers pour déguster un repas frais délicieux et propre à nous mettre en forme. Le dessert se composait d'esquimaux que nous avons consommés allongés sur la pelouse. Valy grande gourmande vicieuse s'approcha de Sofia et lui caressa la chatte avec son esquimau. La fraicheur fit tressaillir Sofia qui écarta un peu plus ses cuisses. Valy comprit ce que cherchait son amie et effleura le gros clito de Sofia qui poussa un « AAAAAHHH ! Oui ! » de plaisir. Puis elle consomma son esquimau que le soleil attaquait.
Les évènements prenant une tournure comme je les aime. Je m'approchais de Sofia et entrepris à mon tour de caresser la chatte de notre hôte, mais je me suis appliqué à bien enduire tout son entrejambe. La belle était ravie, si j'en juge par les soupirs d'aise qu'elle poussait. Entre la chaleur du soleil et celle de Sofia, je me trouvais vite avec le bâton d'esquimau tout nu. Valy me rejoignit entre les jambes de Sofia, et nos langues la nettoyèrent consciencieusement. Comme nous sommes très méticuleux, nous avons continué à lécher la splendide chatte de Sofia.
Celle-ci gigotait tant et plus, et poussait des cris de jouissance particulièrement sonores. Elle n'était pas femme fontaine, mais mouillait abondamment, Valy et moi avions le visage barbouillé. Nous nous sommes nettoyé le visage à grands coups de langue, oubliant dans le même temps Sofia qui n'en pouvait plus, et en voulait encore. Aussi, elle se jeta sur ma queue pour la déguster.
Contrairement à Valy qui faisait des pipes si douces que je les appelais « des pipes papillons », Sofia était acharnée comme si ma queue devait disparaître. Ce n’était pas désagréable du tout, juste différent. Cette situation était si excitante que je n'ai pas pu me contrôler, et j'explosais dans la bouche de Sofia.
Gourmande, elle se garda bien de partager mon sperme avec Valy, elle avala tout et continua à me sucer. Ce fut à la fois douloureux et très jouissif, et elle réussit à me faire bander à nouveau. Elle s'empressa de s'empaler sur ma queue et s'agita sur moi comme une morte de faim en criant des :
« Ah ! Putain c'est bon ! Ah ! Putain ! C’est bon ! »
Valy, quant à elle, vint s'assoir sur mon visage. Sa chatte sur ma bouche, elle commence à bouger son bassin d'avant en arrière en gémissant, elle aussi. Contrairement à Sofia, tout ce qu'elle fait est douceur et délicatesse. Donc, ses mouvements du bassin me font déguster sa chatte plus longuement, car la montée du plaisir est lente et progressive chez Valy. Mais tout à coup, elle me dit :
« Bruno ! J'ai envie, je peux ? »
Je savais ce qu'elle voulait dire, aussi je lui fais signe qu'elle pouvait y aller. Je commençais à la connaître, ma Valy, et je savais que parfois l'excitation extrême lui donnait envie d'uriner. Et comme j'ai un faible pour ces jeux-là, j'étais ravi de l'aubaine. Elle se laissa aller tout en continuant à se faire jouir sur mon visage. Je ne m'occupais que d'elle. Sofia de son côté se baisait sur ma queue comme si sa vie en dépendait. Je n'avais même pas à me retenir, venant d'éjaculer il y a peu de temps, je savais que je ne risquai pas de partir avant elle.
Je gardai le peu de lucidité qui me restait pour me concentrer sur Valy. Celle-ci, après s'être soulagée, avait changé de position pour venir me nettoyer le visage avec sa langue. Puis elle se mit à genoux à côté de moi pour que je la doigte, pendant qu'elle encourageait sa copine qui se déchainait tant et plus.
Mais je sens ma jouissance qui arrive, je ne peux plus me retenir, j'explose dans le préservatif, Sofia le sent, elle se déchaîne, ses « AH ! Putain ! » redoublent et elle jouit. Elle s'écroule sur moi, nous nous embrassons goulument, avec avidité. Je suis toujours en elle, je m'y sens bien. Ma queue a sûrement besoin d'air car, ayant diminué de volume, elle se dégage seule de la chatte de Sofia. Valy toujours à l'affut de quelque chose à déguster, m'embouche pour profiter de ce qui enduit ma queue. Visiblement elle se régale, et moi aussi, elle fait cela avec tant de délicatesse.
Le traitement que m'a fait subir Sofia, aussi jouissif qu'il soit, m'a épuisé, j'ai besoin de me reposer un peu. Ce n'est pas le cas des deux jeunes femmes. Sofia a encore « faim », et Valy, quant à elle, n'a pas eu son comptant de plaisir.
Aussi, spectateur privilégié, je peux assister au show très X que m'offrent mes deux amies. C'est Sofia qui saute sur Valy. Celle-ci l'accueille à cuisses ouvertes. Elles sont l'une sur l'autre, étroitement enlacées, s'embrassant à bouche-que-veux-tu. Leurs mains semblent multiples tant on les voit parcourir leur corps. Soudain Sofia se lève et entre dans la maison en disant :
« Attends j'ai oublié le principal, je reviens tout de suite ! »
Effectivement, elle réapparait très vite, mais elle est harnachée d'un superbe gode-ceinture de belle taille. Le sourire qui illumine son visage laisse présager des moments de plaisirs intenses. Valy a les yeux qui brillent, elle se passe la langue sur les lèvres tout en se caressant la chatte.
Je suis affalé sur un Transat, et je sens monter en moi une vague de plaisir, de ce plaisir incomparable que l'on ressent au spectacle de deux femmes qui se font l'amour. A mes yeux, c'est le plus beau spectacle érotique qui soit. Maintenant que Sofia est plus prés de moi, je me rends compte que son gode-ceinture est un « spécial double pénétration ». Je comprends mieux maintenant l'excitation qu'on peut lire dans les yeux de Valy.
Celle-ci se met à quatre pattes sur un banc, et en remuant son délicieux arrière-train, elle signale son impatience à se faire prendre. Sofia se place bien en prenant soin que chacun des glands soit au bon endroit, elle lubrifie les deux trous et fidèle à son habitude, elle entre d'un seul coup en Valy. Elle pousse un grand cri assez bref, suivi très vite d'un grand « AHHHHH »de plaisir, car elle adore aussi se faire prendre sans précaution.
Commence alors une cavalcade pleine d'énergie, on pourrait presque croire que Sofia était dans sa salle d'entrainement. Elle a un corps vraiment magnifique, ses muscles longs et fins bougent harmonieusement, et le mouvement cadencé de ses reins met du feu dans les miens. Elle adore vraiment ce qu'elle est en train de faire subir à Valy. Celle-ci, si j'en juge par ses cris de plaisirs, est à son affaire. Elle donne des coups de reins elle aussi, comme si Sofia n'était pas assez violente dans ses mouvements. En même temps, elle remue la tête de droite à gauche. Elle prend un plaisir fou, et moi qui jouis quand je me fais sodomiser je me prends pendant un instant à envier les femmes qui ont deux orifices à faire pénétrer en même temps.
Son clito proéminent permettait à Sofia de prendre du plaisir elle aussi, car il frottait sur la base du gode. Ainsi on pouvait voir deux belles gourgandines faisant l'amour avec un accompagnement musical très particulier.
Écroulé sur mon Transat, je me sentais devenu mélomane, le duo de mes deux jolies affamées devenait presque harmonieux. Pour la première fois depuis très longtemps, j'avais été capable de baiser sans débander, deux fois de suite. J'en avais donc pour un très long moment avant de câliner ces deux jeunes femmes sans flancher.
Autrement dit, c'était fini pour ce dimanche. En effet, Valy et moi ne pouvions nous éterniser. Le lendemain, lundi nous devions être opérationnels avant l'aube pour transférer quelqu'un d'un hôpital parisien dans une maison de repos dans les Pyrénées.
Aussi, je profitais pleinement du spectacle que m'offraient Valy et Sofia. Elles étaient déchainées. Elles se rendaient « coup pour coup », si j'ose dire. Elles donnaient l'impression d'être seules au monde. Elles se dévoraient la bouche, elles se caressaient et se doigtaient puis se godaient. Elles n'étaient qu'un orgasme, Sofia était la plus débridée. Il faut dire que son clitoris proéminent et ultrasensible ne la laissait pas en paix une seconde. C'est Valy qui la première demanda grâce.
La pauvre était épuisée, c'était loin d'être le cas de Sofia qui en voulait encore. Il nous a été difficile de lui faire admettre qu'elle ne pouvait plus compter sur nous ce jour-là. Elle nous a laissé repartir à regret, en nous soutirant la promesse que nous reviendrions la voir.
Pour plus de commodités, Valy est venue dormir chez moi, et j'ai bien dormi. Durant les jours qui suivirent Valy me proposa de rencontrer quelques uns de ses copains avec bien entendu Sofia en prime.
La petite soirée promise se produisit plusieurs semaines plus tard...
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