Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Xavier prend immédiatement sa place, je n’ai pas le temps de resserrer ma main sur sa queue que déjà il est entre mes cuisses. Pierre jouit dans ma bouche quand Xavier jouit dans ma chatte, la simultanéité de leurs éjaculations me fait jouir de plus belle. Serge remplace Xavier dans ma chate qui commence à être bien rempli.
Des trois sexes qui se sont suivis dans ma fente, il est le plus long et le plus large, je l’avais senti dans ma main. Libérée des trois autres, il se plie sur moi et je l’embrasse pendant qu’il me laboure, je suis prise pour la quatrième fois de la soirée, mais je sens que ce ne sera pas la dernière. Laure et Monique n’ont que sucé les garçons qui étaient autour d’eux, et ont le visage et les seins qui coulent de spermes bien blancs. Je suis la seule à avoir offert ma chatte au premier mot. Xavier vient en moi je me sers fort contre lui pendant que des secousses me font frissonner toute l’échine.
Jean m’apporte un verre, j’ai encore du sperme sur les lèvres que Laure vient lécher. Les garçons complimentent Jean sur moi, qu’il n’a jamais trouvé une blanche plus chaude. Il répond que nous allons vivre ensemble et que je ne serai pas comme ses précédentes blanches, mais SA blanche.
Je caresse distraitement sa queue d’une main en sirotant mon martini, il a joui dans la bouche de Monique qui finit de sucer son Marc. Je me sépare de ma robe qui est tachée. Mes tétons sont très sensibles maintenant.
On mange des amuses gueules. Michel me demande alors combien de queues noires j’ai eu dans ma chatte et combien dans mon cul. Je réponds en me collant à Jean :
« Je ne sais pas, autant dans l’une que dans l’autre. »
Jean me caresse les cheveux doucement.
« Marie, dis-nous, ça ne sortira pas d’ici ! »
Antoine est venu de l’autre côté (je suis les jambes sous mes fesses) et je sens ses doigts les écarter…
« Oui dis nous, » dit-il en introduisant un doigt dans mon anus.
L’envie de me faire prendre me reprend, j’avoue un :
« Je n’ai jamais compté, peut être cent ou plus », en essayant de ne pas paraître prétentieuse.
Je sens Antoine qui me ramène vers lui, son sexe dur contre mes fesses.
« Par là aussi, tu es toujours prête ? »
Je réponds en regardant Jean :
« Essaye ! »
Jean lui dit alors que j’aime les doubles, et que c’est une bonne heure pour les commencer. Il n’était pas vingt-et-une heures !!
Jean m’attire vers lui, et comme un fétu de paille me soulève et me fait monter à cheval sur son sexe adorable, ma chatte coulait alors de spermes, il est entré au fond de moi quand il m’a fait redescendre sur son sexe. Antoine est venu, les filles regardaient avec les garçons. Tout le monde se caressant. Et là sans prévenir, il est entré en moi pendant que Jean imprimait des mouvements lents à mon bassin. J’ai senti leurs sexes se frotter en moi.
Laure et Monique, voyant que j’étais occupée, ont alors proposé leurs services, et les garçons les ont honorées tour à tour, mais un par un. J’ai été dévastée par une jouissance forte, retombant pantelante sur Jean quand Antoine eut fini de m’enculer, Jean est resté en moi et je ne voulais pas le laisser sortir. Un autre est venu dans mes fesses et c’est quand Jean et Luc sont venus en moi que j’ai cru perdre la tête, c’était encore plus fort.
Vers vingt-trois heures, tous les garçons connaissaient mon cul et ma chatte, ma bouche n’avait eu le plaisir d’être inondée que par deux, les garçons préférant me remplir le bas. J’étais excitée comme une folle. En fait avec mes groupes, cet intimité n’avait jamais eu lieu, ce dialogue, j’étais une vide couille malgré moi et ils me prenaient parce qu’ils payaient. Là, j’étais libre de me donner, de m’offrir comme la salope de mon homme, qui a bien profité de Laure et Monique. J’ai eu toutes les semences en moi, j’en étais fière mais un peu pantelante, j’avoue.
Luc apporta quelques plats chauds et du bourgogne pour faire une pause. Je mangeai de bon appétit, les discussions allaient bon train, nous parlions de sexe, puis Laure demanda où était Idéfix. Luc est allé le chercher. Laure et Monique m’ont alors prise avec elles, me disant que tout allait bien se passer. Je regardai Jean, il était heureux d’entendre ses amis qui étaient enchantée de mes « prestations ». Mise en levrette par Laure, Jean vint près de moi, et me demanda :
« Tu veux essayer ? Tu n’es pas obligée, Laure et Monique adore faire plaisir à Idéfix…
- Cela te fait plaisir ?
- Oui, et à tous ici, nous aimons vous voir femelles jusqu’au bout ! C’est ce qui nous rassemble en plus d’aimer les bonnes salopes comme vous trois ! » dit-il en souriant.
Je l’ai embrassé, en lui disant que j’étais ouverte à tout pour nous deux, et que si Laure et Monique aimaient, je devais au moins essayer.
Idéfix m’a prise comme il le fait tous les mercredi matins, avec force et sperme abondant qui s’est mêlé aux précédents. Laure l’avait sucé pour le mettre en forme. Monique le suça après qu’il soit venu en moi, mais le chien reprit vie, et elle le guida dans mon anus tout aussi rempli alors que je me remettais de la saillie, j’ai la surprise de sentir Idéfix me remonter, guidé par Monique dans mes fesses. J’ai cru qu’il allait me déchirer car il était un peu survolté mais j’étais encore bien ouvert de tous les assauts que j’avais subis.
Je suis restée un quart d’heure cul en l’air, j’étais une chienne pour l’homme que j’aimais, ses plus proches amis savaient que j’étais une salope à blacks et à chien. Que j’aimais ça, les spermes en moi, être prise, reprise sans fin.
Jean vint auprès de moi, m’embrassa, j’entendais les sifflements, les applaudissements. Les commentaires aussi de tous ces hommes à qui je me donnai sans compter depuis des heures maintenant. Il me remit sur le dos doucement, tendrement, et me murmura :
« Viens, tu vas aller te laver. »
Il m’embrassa encore, me fit goûter la semence du chien que j’avalai en le regardant dans les yeux.
« Ta soirée n’est pas fini mon amour, tu es celle que j’ai attendu toute ma vie, » continua-t-il.
Ces mots m’ont comblée de joie. Je lui ai dit qu’il était l’homme de ma vie. J’ai pris une douche chaude et régénératrice, et suis redescendue avec l’entrejambe propre et prêt à être à resservir à tous ces hommes charmants que je savais que je reverrai souvent maintenant.
La nuit fut comme la soirée, avec des pauses, les hommes allant de l’une à l’autre, parfois nous nous endormions, parfois j’ai été réveillée par une queue qui voulait m’investir.
Au petit matin, j’étais comblée, heureuse d’être LA femme de Jean et que je ne l’ai pas déçu. Nous étions tous les douze dans ce grand salon, corps enchevêtrés, une odeur de sexe qui remplissait la pièce et qui m’enivre quand je la respire. J’étais entre Serge et Bernard, ils m’avaient pris en double pénétration vers les 5 heures du matin à ce que je me rappelais. J’étais la première réveillée, je suis allée à la cuisine préparer le petit déjeuner, il devait être 8 heures, Luc et Jean sont arrivés endormis, le café coulait et son odeur aidait au réveil.
Luc et Jean sont venus s’assoir autour de moi, Luc a entamé la conversation pendant que j’embrassai Jean.
« Marie, quand on t’a rencontrée, aucun de nous pensaient que tu viendras sachant que c’était des soirées à plusieurs et surtout avec sept blacks. Quand je t’ai vue mercredi, je me suis dit que tu es vraiment bonne mais que tu étais différente de Laure et Monique… Je ne sais pas, le côté maman, et que tu devais être moins salope. Je me suis même demandé ce que Jean faisais avec toi. Eh ben, je me suis bien gouré, et tu es la plus salope que j’ai jamais vu. Tu es la première qu’Idéfix encule et après toutes les queues que tu avais prises, tu as recommencé après une douche de cinq minutes, je ne sais pas où Jean t’a connue, mais je m’en veux de pas être passé avant. Et pour avoir connu toutes ses copines, tu es la meilleure »
Je les branlai doucement en écoutant, je n’avais plus de bas, ni porte-jarretelles, seul mon soutien gorge seins nus et mon piercing m’habillait. Jean reprit :
« Quand je leur ai dit que tu venais, ils ne m’ont pas cru, mais tu m’as surprise, tu es merveilleuse, ma chérie, et regarde l’effet que tu as sur nous. »
A ces mots, je me suis levée, je commençai à être excitée, je leur ai demandé de me prendre. Luc a demandé si une double vaginale me faisait peur, j’ai souri en l’embrassant et en disant :
« Non mes chéris, prenez-moi comme vous le voulez. »
J’ai joui dans une cuisine, empalée sur deux bonnes grosses queues noires, embrassant le meilleur ami de mon homme, en sentant leurs spermes se mélanger dans ma chatte de vicieuse lubrique. Quand nous avons fini, Luc a dit que j’étais une sacrée chienne et que ce serait dommage de ne réserver mon potentiel qu’à un seul. J’ai répondu que j’étais avec Jean mais que je me sentais prête à faire plaisir à ses amis proches si mon homme l’autorisait. Jean m’a prise dans ses bras :
« Mon amour je t’aime ! »
J’ai répondu quand il a libéré ma bouche :
« Je t’aime mon amour. »
La matinée commençait bien !
On a pris le petit déjeuner tous ensemble en discutant de la soirée, Jean a dit qu’à dix heures, la partie reprenait. Les filles ont protesté, n’ayant pas eu le chien la veille parce qu’une sacrée pute avait tout pris (je cite). Jean a accordé à mes compagnes et amies le chien, les garçons m’ont regardée alors.
Marc a dit :
« Et nous ?
- Je suis là moi ! » ai-je répondu en souriant, je serai votre chienne pendant qu’elles seront les chiennes d’Idéfix, en levrette à côté et ouverte à vous tous. »
Jean rit, et Serge me regarda avec son sexe en érection :
« Marie, tu aimes nos bites ?
- Oui Serge, toutes les 7 et je vous veux tous en moi à me remplir de spermes frais, je n’en ai plus trop de la nuit. »
Xavier ajouta :
« On n’est peut être pas obligé d’attendre que Laure et Monique aient commencé, si ? »
Je me mets à quatre pattes, et annonce :
« Les filles vous voulez bien préparer ces messieurs ? »
Et me voilà en levrette, mes copines suçant les queues qui me prennent quand elles sont prêtes et que le précédent a juté en moi.
Jean me banda les yeux, en me glissant le jeu sera de nous reconnaître. Ouvre ton cul à deux mains et tu as droit à Idéfix après les filles si tu reconnais au moins cinq bites.
J’ai pris mes fesses à deux mains, et je les ouvertes du mieux que j’ai pu.
Xavier vint le premier, et dit « putain, Marie t’es déjà fourrée, c’est à qui ? tu as la chatte qui déborde déjà ! Et il m’encula sans autre forme de procès. C’est la semence de mon amour et de Luc, mélangés dans ma chatte mon chéri.
Et les ai tous eu en moi, les deux premiers allant chercher Idéfix en attendant pour calmer Laure et Monique qui suçait comme des affamées.
J’ai reconnu les sept, un gros coup de chance rires. Et les filles m’ont léchée et nous avons partagé ce qui remplissait mon cul et ma chatte comme trois gourmandes en s’embrassant goulument.
Idéfix sentait son heure venir. Il nous a sailli toutes les trois, inondant Laure et Monique. J’ai à mon tour nettoyé les filles et j’ai partagé mes trouvailles liquides avec elles. Leurs chattes sont délicieuses.
Après nos saillies par Idéfix, le déjeuner fut bon et simple, préparé par les filles et moi. On a discuté de futures soirées voir weekend, eux aimant beaucoup ce principe et Luc très enclin à ouvrir sa maison. Certains ont des idées pour les soirs de semaine vu je cite Marc mon appétit incroyable. Et que je pourrai apprendre des choses aux filles qui à mon avis manquent juste d’entraînement. Ainsi qu'aux compagnes de deux autres amis qui n'avaient pas pu venir car jean préférait que je connaisse les participants.
J'ai objecté que mes filles habitaient chez moi et que j'essayais de mener une vie normale pour elles, leur montrer une vie de femme qui travaille et de ne pas leur laisser croire que c'est toujours facile. Qui plus est j'avais traversé des épreuves particulières, j'ai parlé de mon divorce sans m'étendre, et que pour le moment la semaine ce serait difficile;
L'après-midi, ceux qui avaient envie ont remis ça, moi avec Bernard, Marc et Luc que j'adore, le plus sympathique de tous. Nous sommes allés dans la chambre de Luc et j'ai passé deux heures fabuleuses.
Puis, il a été temps de penser à rentrer. J’avais omis de dire à Jean que mes filles cadettes restaient chez ma mère pour éviter si cela était catastrophique de rester trop longtemps le dimanche. Mais elles restent une semaine encore chez ma mère et Sixtine se débrouille seule, j'ai son linge régulièrement ces jours ci avec des mots me rassurant.
Je me changeai en jupe grise, bottes et un pull rouge, gardant mes bijoux aux seins. Lorsque j'entendis Marc, Luc, Serge et Jean parler de moi.
Et là je suis entrée en rage, même si aucun ne le sut.
Serge disait que j'étais une mine d'or, qu’ils connaissaient pas mal de copains qui paieraient pour me baiser. Luc était contre, Jean aussi, mais Marc leur dit que Monique l'avait fait une ou deux fois par fantasme et qu'elle avait aimé. Jean a confirmé son « non », appuyé par Luc, mais Serge revenait à la charge, en leur disant à la fin :
« Pensez-y, c'est une bombe et on se fera du pognon, en plus si elle le sait pas, elle aime trop les queues pour s'imaginer qu'elle est vendue… »
Je n'ai rien dit, ai été charmante avec Serge et Marc qui est plus un idiot qu'un méchant. J'ai quitté les autres avec regret un peu, surtout Luc, Antoine et Laure.
Dans la voiture, au retour, j'en ai parlé à Jean et lui ai dit la véritable raison de mon divorce, et qu'il était hors de question d'avoir le moindre soupçon, que je ne voulais plus le revoir
alors que je pensais avoir trouvé l'Homme de ma vie. Il était hors de question que je sois à nouveau prostituée à mon insu !
J'étais partagée entre rage, honte d'avoir été naturelle, et finalement me suis mordue les doigts tout le dimanche soir. Jean m'a assuré que pour lui, c'était hors de question, que les soirées auxquelles nous irions seraient organisées par lui ou en club et que dans sa conception des choses, il s'agissait de relations entre adultes consentants et que quand quelque chose n'allait pas, le retrait était toujours possible. Un peu calmée par ses mots, je lui ai dit que je ne verrai plus jamais Serge et n'importe lequel qui aurait la moindre idée de ce genre.
Je suis rentrée et t'ai écrit le mail encore dans sa voiture et le second dans mon bain.
J'ai passé mon après-midi au bureau à écrire ce récit, cela m'a soulagée et m'a surtout montrée combien j'ai été sotte.
Etant libre à midi, j'ai déjeuné avec Jean. il est craquant et avait des roses à la main.
On a reparlé de tout, du weekend, de Serge. J'ai dit oui pour le rejoindre demain, ce soir je dois réfléchir. Je l'aime et ce weekend, j'ai été si heureuse d'être la plus salope comme il me l'avait demandé et comme il me l'a dit à midi.
Je ne l'envoie que maintenant car j'ai hésité à te l'envoyer, tout s'accélère et je perds le contrôle, écartelée entre mon amour vrai et mon envie de ne pas retomber dans des affres dont je suis sortie meurtrie.
Tu dois me prendre pour une folle, instable et qui plus est parano.
Mais je me méfie, peut être trop. C'était un weekend fabuleux, je ne les aurais pas entendus, je serai revenu le mercredi car les célibataires pensaient m'inviter chez Jean mercredi, seule.
Voilà Sophie, les états d'âme et la perdition que je vis.
T'écrire m'a fait du bien, même si je suis dans le brouillard complet.
Bises très amoureuses adorable Sophie et je te souhaite mille bonheurs pour 2013.
Je crois que ce ne doit pas etre si difficile à trouver... il faut passer des annonces sur les sites adéquats !
Merci de ce temoignage qui nous touche toutes les deux beaucoup ! c'est très important pour nous...