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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Philippe, Olga et moi, nous sommes mis d'accord pour présenter nos blogs érotiques, le mien sur son blog et le leur sur le mien. Nous avons déjà échangé quelques articles et nos blogs figurent en liens sur nos blogs respectifs.

 


Leur blog, http://philetolga.erog.fr/, "Le blog de Philippe et Olga", existe depuis un peu plus d'un an. Il a été créé le 13 octobre 2008 et connait depuis un succès confirmé, qui lui vaut d'être classé en 58ème position au classement des blogs érotiques d'Erog, et d'être suivi par un nombreux public. Ils ont 71 abonnés, et ont publié à ce jour près de 250 articles. Autre signe d'intérêt du public : plus de 4 800 commentaires reçus depuis les débuts du blog.

Ils ont aussi créé la Communauté des couples candaulistes, http://www.erog.fr/com-1067724725/Couples_candaulistes.html

 

Pourquoi ont-ils créé ce blog ?

Comme indiqué dans leur page d'accueil, il s'agit du "Blog d'un couple candauliste. Philippe est un cocu heureux et Olga, d'épouse sage est devenue une salope intégrale. Nous voulons raconter notre expérience."

Il raconte l'histoire d'un couple au départ classique, avec une jolie épouse fidèle mais insatisfaite et qui s'est transformée dans le candaulisme. Ce couple a trouvé le bonheur une fois devenu candauliste. Vous trouverez sur leur blog toutes les explications sur le candaulisme. Retenez simplement que le candaulisme est une pratique sexuelle liée à l'excitation de voir son (sa) partenaire avoir des relations sexuelles avec une autre personne. Le candaulisme est caractérisé par un fantasme bien précis : voir son épouse faire l'amour avec une ou plusieurs personnes étrangères à son couple.

 

Je vous les présente brièvement : le mari cocu, Philippe, 44 ans, amoureux fou de sa femme mais mauvais amant qui a réalisé son fantasme candauliste au delà de ses espérances. Son épouse Olga, 31 ans, ex-épouse sage, en qui sommeillait une hypersexuelle qui assume pleinement sa transformation. Elle a trouvé le plaisir dans les bras des autres, et ne peut plus s'en passer. Le plaisir de Philippe est de voir Olga jouir sans limites. Il est heureux quand le sperme des autres coule de la chatte, du cul ou des lèvres d'Olga.

Ce qu'il préfère : mater son épouse chérie dans des étreintes avec d'autres, entendre ses soupirs de plaisir se transformer en cris, avant la jouissance finale.

Le blog est d'abord consacré à l'expérience de transformation d'Olga et à la formidable histoire d'amour qui unit Olga et Philippe, malgré ou à cause de la liberté totale laissée à l'épouse. C'est à Olga qu'est consacrée la majorité des articles du blog. Les articles du blog sont illustrés de photos "en situation".

Il existe également douze autres rubriques qui ont pour but d'enrichir la diversité du blog et d'enflammer l'imagination des lecteurs:

"Vos histoires candaulistes", près de soixante histoires, qui reproduisent des récits émanant de femmes adultères, de maris cocus, d'amants et qui partagent avec nous la joie du candaulisme.

"Les références historiques", avec déjà plus de trente articles publiés, et beaucoup d'autres en projet. Ils décrivent, sous l'angle du plaisir, la vie de femmes célèbres qui ont marqué l'histoire parce qu'elles étaient de grandes amoureuses. Je citerai : Céopâtre, Messaline, Théodora, Isabeau de Bavière et d'autres, souvent moins connues et tout aussi chaudes. Le destin de ces femmes prouve que le plaisir a toujours été une valeur universelle.

"Les articles généraux (plus de vingt cinq) portent sur le blog et sur le sujet du candaulisme en général.

Philippe et Olga, séparément ou ensemble, sont les principaux auteurs des articles et répondent aux nombreux commentaires reçus, quelquefois avec l'aide de ceux ou celles qui partagent leur vie et le lit d'Olga.

Pour mieux expliquer notre histoire, nous allons prendre chacun la plume, pardon le clavier.

Philippe et Olga

 

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C'est dans le cadre de mon travail que j'ai rencontré Philippe. Philippe a du charme, il me rassurait, il m'attirait aussi par la force des sentiments qu'il me portait. Nous avons fini par devenir amants. Ce qui a été surprenant, par rapport à la suite, c'est que sans être exceptionnel, il était à ce moment là un amant performant. Nous nous sommes mariés en 2003.

Philippe m'adore et fait tout pour moi. Mais, petit à petit, dans nos relations intimes, il ne m'apportait plus satisfaction. Souvent trop excité, il était victime d'éjaculation précoce. En plus il n'était pas très doué pour me donner du plaisir avec la langue.

J'ai tout essayé pour le mettre en confiance car je l'aime. J'étais obligée bien souvent de me "finir"en me masturbant ou en étant doigtée par Philippe.

J'étais profondément frustrée par cette situation. C'est Philippe qui, le premier, m'a proposé de prendre un amant. Ce que j'ai refusé alors avec indignation, voulant être fidèle à l'homme que j'aime.

A partir de ce jour, le scénario candauliste revint souvent dans nos ébats. Je pensais à ce moment là que le candaulisme était un fantasme de mon mari et qu'il permettait, d'une certaine manière, d'améliorer ses performances pour son devoir conjugal. Pour ma part, dans l'accomplissement de mon plaisir solitaire qui ne faisait qu'accroître ma frustration, j'avais de plus en plus recours à ce fantasme.

L'étape suivante a été ma tenue vestimentaire. J'avais toujours aimé, dès l'adolescence, m'habiller sexy et court. Mais Philippe poussa les choses encore plus loin. Il m'encourageait à porter les tenues les plus sexys, les plus osées. Les robes qu'il m'offrait devaient être courtes pour mettre en valeur mes jolies jambes et mes petites fesses, avoir des décolletés vertigineux, le dos nu. Il disait qu'il était fier de lire dans le regard des autres hommes le désir que je leur inspirais. J'ai fini par céder et je dois dire que je me suis prêtée au jeu. Le regard de désir des hommes, la barre qui déformait leur pantalon, la manière courroucée dont certaines femmes me dévisageaient, au départ tout cela m'a gênée, j'avais honte.




Beaucoup de ses amis, de nos voisins, de ses collègues de travail, me draguaient ouvertement. Je ne donnais pas suite et repoussais ces avances, plus ou moins brutalement selon leur origine, mais sans laisser le moindre espoir.

Philippe tenait souvent des propos qui les encourageaient ouvertement, disant par exemple que j'étais totalement libre et qu'il ne verrait aucun obstacle à ce que je prenne des amants. Je passais à tort pour une allumeuse, le comportement de Philippe m'agaçait, mais en même temps me troublait, m'excitait et me poussait au plaisir solitaire, imaginant des amants vigoureux me satisfaire. Je me disais que si mon mari le souhaitait, pourquoi ne pas lui faire plaisir. Et en même temps, ma morale, mon statut social, me poussaient à persister dans mon refus.
Je voulais rester une épouse sage. Dans les réceptions, je n'étais pas dupe des baisemains où l'homme se penchait bien, pas par déférence mais pour bien mater ma poitrine.

Philippe avait gagné cette première étape. Je ne rechignais plus à participer aux sorties et dans des tenues que l'on ne pouvait pas ne pas remarquer. J'essayais de maintenir le fragile équilibre entre ma fidélité et cette exhibition, de ne pas céder aux tentations et aux invitations candaulistes de mon mari. Ma ligne de défense étant que ce n'est pas parce qu'une femme s'habille sexy, voire provocante, qu'elle doit être forcée.

Ma tête disait non quand mon corps disait oui, appelait le mâle, demandait des étreintes viriles. J'ai fait une ultime résistance à cette nature entre mars et juillet 2007, après le retour d'un voyage au Brésil. Là bas, je ne m'étais pas offerte une seule fois, mais plusieurs fois à des inconnus, nous avions eu avec Philippe notre première expérience de candaulisme auditif puisque mon époux avait pu suivre en direct, sur le haut-parleur du téléphone, tout ce que ces deux inconnus faisaient à son épouse enfin adultère. Pour éviter toute tentation, je me privais de sorties, au grand dame de Philippe.

Le paradoxe apparent fut que mon adultère "définitif" a commencé, non dans une sortie mondaine, genre dîner ou autre, mais à l'occasion d'un bref passage au supermarché du quartier. C'était là que m'attendait mon prédateur, Rachid et c'est dans mon immeuble même (et pour être plus précise dans l'ascenseur de mon immeuble, cet abominable concierge, complice de Rachid, ne perdant pas une miette des preuves auditives de ma capitulation) qu'il a remporté sa victoire éclair et complète. J'ignorais à ce moment là que, en désespoir de me convaincre de continuer ce que j'avais commencé à Rio, Philippe avait fait appel à ce fauve pour obtenir ma capitulation. Il me l'a avoué plus tard et, alors que j'aurais du être furieuse d'être traitée ainsi, je n'en veux pas à Philippe. Sans cette initiative, je ne sais pas ce qui se serait passé. Soit je serai devenue folle à force de refuser ce que mon corps réclamait, soit j'aurai fini par prendre un amant "classique", un adultère mesquin, hors cadre candauliste. J'aurai divorcé et je n'aurai pas vécu tout ce que j'ai connu et que je ne regrette pas.

 

L'attitude de mon mari, suite à ma rencontre avec Rachid, a été déterminante pour la suite des événements. Non seulement je l'avais fait cocu à nouveau, mais je l'avais publiquement bafoué, puisque le concierge nous avait vus, Rachid et moi, sortir de l'ascenseur, dans un état et une tenue qui ne laissaient aucune ambiguïté sur ce que nous venions de faire. Avant peu, tout l'immeuble serait au courant de mes frasques car je ne doutais pas que ce sale type se ferait un plaisir de répandre la nouvelle.

Rachid m'avait besognée dans le lit conjugal toute l'après-midi. Quand Philippe est rentré peu après le départ de Rachid, j'étais restée sur le lit, nue, portant sur mon corps et en moi les séquelles de mes ébats. Il a commencé par recueillir dans ma chatte et sur mon corps le sperme de mon amant. Je lui tenais la tête, le traitant de cocu, de petit pédé.

J'ai tout raconté à Philippe et je dois dire que, ce soir là, il m'a baisée comme il ne l'avait plus fait depuis longtemps. Certes, comparée à la queue de celui qui était désormais mon mâle, le sexe de mon cocu était ridicule. Il avait du plaisir non à me baiser, mais qui venait de ce que je lui racontais, en n'omettant aucun détail, la chatte encore pleine des œuvres de Rachid.

Je me suis efforcée d'aller au fond des choses avec Philippe. J'ai donc relancé la discussion et j'ai été directe, alors qu'il était dans mes bras :


- Chéri, j'ai découvert au cours de ces derniers mois un plaisir que je n'imaginais pas et dont je ne veux plus me passer. Mais que vas-tu faire? Je ne veux pas te perdre car je t'aime toujours.


- Mon Olga, je t'aime plus fort que jamais, comme un fou. Je t'encourageais depuis des années à avoir des amants. Bien sûr ça m'excite énormément de t'imaginer, et, pourquoi pas, de te voir jouir sans retenue sous les assauts d'un homme. Mais avant tout, je t'aime et je te donne la plus grande des preuves d'amour. Tu ne me trompes pas, non seulement parce que je t'ai toujours dit que tu étais libre, que je suis d'accord et que je t'encourage. Je suis heureux que tu aies enfin le plaisir que tu mérites. Je veux que tu sois heureuse.


- Tu te rends bien compte de la situation ? Je suis amoureuse de Rachid, je suis folle de lui, je suis désormais à lui. Il sera non seulement mon amant régulier mais il viendra ici et me fera l'amour à chaque fois qu'il le pourra et en aura envie. Il a exigé que je lui réserve ma chatte. Il me prendra sans préservatif. Pour le moment, je prends la pilule mais je lui ferais un enfant quand il le souhaitera. Toi, tu ne te videras plus en moi. Tu acceptes tout cela? Tu n'es pas jaloux?


- J'accepte tout. Je n'ai qu'un souhait, celui de rester près de toi si tu m'acceptes.

Quelques semaines après le début de notre relation, Rachid a fini par répondre aux vœux de Philippe et a accepté de me prendre devant mon mari.

Rachid a pris ensuite des initiatives avec pour but ou conséquence d'humilier le mari cocu, le bafouer aux yeux des voisins, des connaissances, des amis, des relations sociales et des collègues de travail. C'est Rachid qui a eu l'idée de m'offrir à des collègues de travail de Philippe et que les choses se passent sur son lieu de travail.

 


J'ai participé à tout cela, et Philippe ne s'est pas opposé à une action systématique de démolition de notre réputation. Je ne me trouve pas d'excuses, sinon que j'étais folle amoureuse de Rachid, au point d'accepter que nous sortions dans la rue main dans la main, enlacés, que nous embrassions en public.

Philippe est un vrai candauliste qui ne connait pas la jalousie. Il est convaincu que l'égalité entre homme et femme passe par une liberté réciproque dans l'amour et le choix des partenaires. Il a accepté qu'un autre se comporte en privé et en public comme le vrai mari, le remplace dans le lit conjugal, remplisse le devoir conjugal, se réserve seul le droit de jouir dans ma chatte, finisse par me féconder. On peut me dire que Rachid ne m'aimait pas et se servait de moi et donc qu'avec lui, Philippe ne risquait pas de me perdre.

C'est très différent avec Hassan, mon "mâle " actuel, qui se revendique comme mon mari. Hassan est mon homme mais je ne veux pas me séparer de Philippe. Pourquoi? Certains diront qu'il a à peine les attributs légaux de l'époux, que je ne suis plus à lui, que notre mariage n'est plus qu'une fiction. Mon plaisir, mon bonheur ne seraient pas identiques, sans sa présence, sans son regard amoureux et excité sur moi quand je fais l'amour devant lui. La communion du plaisir passe par ces échanges de regards lors de l'acte ou par des "aveux physiques" lors de leur intimité retrouvée.

Oui les choses ont été beaucoup plus loin que Philippe ne les imaginait au départ. Il voulait que je prenne un amant, des amants, pouvoir mater. Me voir devenir bisexuelle l'avait réjouit. Oui, je pouvais pratiquer sans restriction adultère, fellation, sodomie, doigtage, gode et même fist. Il voulait me voir dans des partouzes et des gang bang. Mais nous ne pouvions imaginer les milliers de rapports, les centaines d'amants qui ont "déshonoré" mon mari depuis deux ans. Il ne pensait pas que je tomberais amoureuse de certains de mes amants (et de mes maîtresses), que je serais par moments sous la coupe de la redoutable Marie, que Rachid se vengerait sur nous de sa haine de la bourgeoisie de sa ville. Il ne voulait pas, mais n'a pas su empêcher, certaines dérives.

Nous ne pensions pas que cela m'amènerait à concevoir un enfant hors mariage. Là encore, l'amour de Philippe a été sans limites. Il l'a accepté tout de suite, il a assisté à la conception. Philippe a raison, cet enfant est le sien, il n'aurait jamais été conçu sans notre aventure candauliste.

Et pourtant, Philipe est toujours à mes côtés, alors qu'il aurait du me perdre. Je n'ai jamais voulu, même en étant amoureuse d'un autre, reconstruire avec un autre le lien exclusif que Philippe m'avait tant invitée à transgresser. J'ai toujours refusé le divorce. Pas seulement parce que la présence de Philippe, lors de mes ébats, son regard, son humiliation, m'excite tout particulièrement. La récompense de Philippe, c'est le plaisir qu'il lit dans mes yeux quand je me fais prendre devant lui. Mais avant tout parce que je l'aime et que je n'envisage pas de vivre sans lui

Rien ne pourra nous séparer, dans l'équilibre très particulier que nous avons trouvé.

Olga

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L'amour est la condition primordiale aux plaisirs et à la réalisation du Candaulisme. Contrairement à l'échangisme et au triolisme, il n'est pas question pour le couple de partager avec d'autres leur fantasme ou leur plaisir. Leur démarche est égoïste, une recherche de l'absolu, il s'agit d'abord du plaisir des deux uniquement. Même si, pour le réaliser, ils doivent obligatoirement avoir la présence d'un tiers. Pour revenir à Olga et à moi, personne ne peut nier mon amour absolu, aveugle, pour Olga.

J'ai accepté ce que d'autres prendraient pour une humiliation car, pour moi, l'essentiel est qu'Olga jouisse, qu'elle ait du plaisir, qu'elle soit heureuse.

Oui, j'aime ses "oh oui, vas-y mon amour, oui comme ça plus fort oui, bien à fond", ses gémissements, ses plaintes de plaisir, qui deviennent des cris, des hurlements. Ca tourne quelquefois à l'humiliation quand l'amant lui demande si "c'est meilleur qu'avec ton cocu", qu'elle répond "évidemment" et qu'ils échangent des paroles d'amour, sans se soucier de ma présence.

Oui, Olga et moi sommes un couple fusionnel, ce qui explique que nous sommes toujours ensemble et qu'elle n'a toujours refusé qu'une seule chose, que j'étais tout prêt à accorder si elle l'avait demandé: le divorce.



Pour Olga, son plaisir, son bonheur ne serait pas identique, sans ma présence, sans mon regard amoureux et excité sur elle quand elle fait l'amour devant moi. La communion du plaisir passe par ces échanges de regards lors de l'acte ou par des "aveux physiques" lors de leur intimité retrouvée.
On peut être cocu sans le savoir. La principale caractéristique du candauliste est qu'il est un cocu qui sait, qui ne considère pas ce qu'il lui arrive comme une infortune, comme une disgrâce ou comme une honte. Il est un cocu qui, non seulement sait ce qu'il lui arrive, mais qui l'a voulu, qui a tout fait parvenir à ce résultat, et qui en tire un grand plaisir.
Quelquefois, j'ai droit d'embrasser ou de caresser Olga pendant qu'elle se fait prendre. Mais mon vrai plaisir de candauliste est d'assister, je jouis sans même me toucher. Nous pratiquons surtout, à mon grand bonheur, le candaulisme visuel et je ne m'en lasse d'autant moins que Rachid, puis Hassan n'ont cessé de varier les situations en offrant ma femme à d'autres.

Oui les choses ont été beaucoup plus loin que je les imaginais au départ. Je voulais que mon épouse prenne un amant, des amants, que je puisse mater. La voir devenir gouine m'a réjouit. Je voulais aussi qu'elle pratique sans restriction adultère, fellation, sodomie, doigtage, gode et même fist.

Oui je voulais voir Olga dans des partouzes et des gang-bang. Je ne pouvais rêver aux milliers de rapports, aux centaines d'amants qui m'ont "déshonorée" depuis deux ans. Et bien j'espère, si Olga le veut, qu'il y en aura encore beaucoup d'autres.

Il y a deux ans, elle était une épouse honorable, la femme de Monsieur Philippe T, un notable. Elle était fidèle mais en même temps profondément frustrée, hautaine, méprisante, malheureuse. Aujourd'hui, femme adultère, elle passe aux yeux de beaucoup pour une salope, une putain. Elle est heureuse, c'est tout ce qui compte pour moi !

Philippe

 


Par Sophie de R. - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Couples candaulistes
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