Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
L'épouse de Michel a du s'absenter une semaine, pour aller soutenir leur fille qui est prête à accoucher. Il se retrouve donc seul pendant quelques jours, ce qui va lui permettre de surfer sur le net, à la recherche des blogs les plus chauds. Ce n'est pas qu'il soit surveillé, mais il est plus tranquille. Il peut mater à loisir les photos pornos, regarde des bonnes vidéos bien hot. Il peut même se branler devant !
Il est en pleine « navigation », quand le téléphone sonne.
« Allo, tonton ? C'est Aurore, j'ai appris que tu étais tout seul, tu viens manger avec moi ? »
Aurore est une très jolie fille de vingt-quatre ans, toujours célibataire. Elle n’a que des copains de passage. Elle est restée très proche de son oncle et sa tante. Ce sont eux qui l’ont aidée quand ses parents l'ont mise à l'écart, et ça, elle ne l'a jamais oublié.A côté de cela, c'est vrai qu'elle a une vie assez tumultueuse. Son sport favori : le sexe. Michel l’a souvent surprise en train de lire des revues cochonnes.
« C'est gentil, ma chérie, apprécie Michel, dans une heure, ça te va ?
- D'accord, j’ai donc le temps de prendre une douche.
- J'espère que j'arriverai à temps pour t'essuyer le dos, ironise Michel. »
Il fait une chaleur caniculaire. Michel enfile un bermuda, et un polo, et se rend chez sa nièce. Celle-ci sort juste de la salle de bains, et accueille son oncle, vêtue d'un peignoir en cotonnade très légère.
« Ah, sourit-elle, tu arrives trop tard pour le dos. Dommage... Je te sers un apéritif ?
- Avec plaisir ma chérie, répond-il. Je peux me servir de ton ordi ?
- Bien sur, tu cherches quoi encore ? Un site de cul. Tu ne changeras donc jamais !
- Oh, ma chérie, tu es mal placée pour me faire la leçon ! »
Aurore s'avance, pose les boissons sur la table basse, et s'assied sur les genoux de son oncle, comme une petite fille. Michel frémit sous le poids de la jeune fille. Il commence même à bander…
« C'est quoi ce blog ? demande Aurore, » Sophie marquise de R. », une de tes relations ? Tata le sais ? Je peux lire ? Tiens, une histoire de pompiers. J’adore les pompiers, ils me font fantasmer grave… »
Un long silence s'installe. Aurore est littéralement emportée par le récit érotique. Son cul commence à s'agiter sur les genoux de son oncle. Machinalement, elle écarte ses jambes, ce qui provoque l'ouverture du peignoir. Michel aperçoit les petites lèvres de la chatte de sa nièce. Son excitation s’intensifie. Il transpire un peu. Et ce n’est pas que la chaleur de la pièce. Il se demande comment se contrôler, avec cette bombe prête à exploser sur ses genoux. Après tout, il est son oncle !
« Quelle chance a cette femme, dit Aurore, tous ces pompiers rien que pour elle. Comme j'aimerai être à sa place, c’a l'air chaud !
- Et moi, j'aimerai être à la place d'un pompier. Surtout qu'elle doit bien leur tailler de bonnes pipes aux pompiers... »
Comme par hasard, Aurore se tend en arrière pour attraper les verres. Le peignoir fini de s'ouvrir. Michel découvre l'intégralité du corps de sa nièce. Le pubis fraichement épilé, les petits seins hauts perchés.
Il se sent attiré par cette tendre chair, si appétissante… Il ne tient plus, même s'il sait qu'il va faire une énorme bêtise.
« Oh, Sophie de R. Qu'est-ce-que tu vas me faire faire, pense-t-il. »
Il pose une main sur la cuisse chaude de sa nièce. Ne sentant aucune résistance, la main progresse. Il attend la partie renflée de son sexe, qui l’hypnotise. Un doigt court sur la fente, taquine le clitoris. Aurore se retourne et le fixe dans les yeux. Elle hésite, puis penche lentement son visage sur celui de son oncle. Les lèvres s'effleurent, s'ouvrent doucement, comme si elles se testaient, puis, ce sont les langues qui se frôlent, pour finir dans un baiser sulfureux. C'est maintenant Aurore qui prend les initiatives. Lire la trop excitée : oncle ou pas, elle a envie de baiser, et il est là, juste prêt à la sauter comme elle en a envie…
Elle envoie une main entre les jambes de son oncle, et sent le membre en pleine érection sous le tissu. Elle se lève, et l'attire vers le canapé. Le bermuda et le polo, rejoignent le peignoir sur la moquette.
Aurore force Michel à s'asseoir, glisse sa tête d’autorité entre ses jambes. Elle saisit la queue entièrement décalottée, joue avec le gland massif, puis l'avale sans sourciller. Elle entame une lente fellation, tout en faisant rouler les testicules entre ses doigts.
Michel se cambre, il va jouir. Il veut la repousser, mais elle refuse. Les jets épais de sperme giclent dans la gorge de la jeune fille. Elle s'éternise sur le gland, le nettoie à coup de langue, en insistant sur le frein. Puis, elle lui gobe les couilles, comme elle le ferait avec des œufs frais.« Sophie de R. c'est une amie ? Tu vas lui dire que tu t'es fait tailler une pipe par ta nièce ?
- Salope, sourit Michel, c'est son récit qui t'as excitée, hein ? Tu veux quoi maintenant ?
- Là, de suite ? J'ai besoin d'un bon coup de queue, tu vois comme ma petite chatte est mouillée ? Elle a envie d'un rat… ton rat. Et tu vas voir comme elle va le faire chialer. Tu ne vas peut être pas t'en vanter à Sophie de R… »
Aurore s'empale sur la bite qu'elle a maintenue en érection par de savantes caresses. La bite rentre comme dans du beurre, tant elle mouille. Elle ne peut s'empêcher de pousser un cri de plaisir. Elle est carrément assise sur les couilles de son oncle. La jeune poitrine d'Aurore est à portée de bouche. Il en profite pour lui mordre les bouts surdimensionnés.
« Tu me maques salaud… mon clitoris est en feu... ha... ha... c'est ma chatte qui pleure... vas-y… nique moi... oui... oui… Tu suceras mon bouton après... ce salaud… il est tout décalotté… prêt à être mangé… ha… enfoiré… Tu vas lui dire comme tu m'as fait gueuler... oh putain... comme je me le suis fait mettre... woua… oui...
- Tu vois comme un récit bien écrit peut donner des idées, fait remarquer Michel. Elle en a écrit plein d'autres, tout aussi excitants. On peut en lire un par jour si tu veux ? Ce sera l'occasion de te prendre par le petit trou. Tu n’aimerais pas que je t'encule ? J'aimerai voir bouger ton petit cul au bout de ma queue.
- Hum… si… si… je suis d'accord, accepte Aurore, la prochaine fois, je vais te mettre les couilles minables. Tu pourras lui dire. Tu pourras lui dire aussi que je passerai bien une nuit avec elle pour qu'elle s'amuse avec moi... oh... putain... Tonton... donne-moi encore... s'il te plait... c'est la faute à Sophie tout çà... elle me rend folle... ta queue… vite… oui… oui. »
Elle monte et descend sur la colonne de chair, qui s’enfonce au plus profond de son intimité. Elle branle furieusement son clito, ultra bandé. Elle a envie de jouir, mais sous la langue de son tonton chéri.Finalement, à cause de Sophie de R., ils n'ont encore rien mangé. Du coup, Aurore invite son oncle à diner.
« On lira une histoire après, tonton ?
- Vicieuse, répond-il, tu veux que je te donne encore ? »
Michel quitte l'appartement vers quatre heures du matin, Aurore dort. Il lui laisse un petit mot :« Voici la marche à suivre pour aller sur le blog de Sophie de R. Quand tu es chaude, tu m'appelles… Je viendrais te baiser comme tu le mérites, ma petite salope. Tu feras bien juter ton oncle préféré… »
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