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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Le passage de la nouvelle année a marqué un tournant. Cette année, j’ai décidé de fêter le nouvel an au ski avec mon amie d’enfance, des amis communs, et les amis de son jeune frère. Parmi eux, Axel, qui m’avait tapé dans l’œil dès le premier jour. De plus, je voyais bien ses regards insistants et lourds de sens, mais bon c’était un gamin !! Il avait à peine vingt ans !


Cependant, le soir du Nouvel An, après la « champagne shower » et les nombreuses coupes bues, nous sommes tous sortis dans le carré VIP voir mixer Martin Solveig, qui se trouvait à seulement deux mètres.

 

J’étais vêtue d’une petite jupe en velours noir, très courte avec des collants en cachemire et des guêtres beige. En haut, j’avais un petit débardeur noir en dentelle, qui laissant voir mon nouveau soutien-gorge, lui aussi en dentelle plutôt affriolante.

Pour la soirée, je portais une perruque rose fuchsia, avec mes grosses chaussures.

Ce style ne passait pas inaperçu. Tous les hommes me remarquaient et j’aimais ça, mais il n’y en avait qu’un seul qui m’attirait vraiment. Son nom ? Axel… l’ami du frère de mon amie, un mètre quatre-vingts, brun, un peu fashion, pas mon genre habituel, mais tellement craquant. Un regard qui vous transporte et qui mélange style et tendresse...

 

Je m’explique, il faisait à la fois sûr de lui, mais aussi très sensible. Cette combinaison me fascinait complètement, je voulais savoir ce qui se cachait derrière ce garçon mystère qui osait à peine m’adresser la parole. Je n’étais même pas sûre de lui plaire….


Et là, pendant que j’étais en pleine discussion avec trois charmants espagnols, Axel s’est approché, m'a pris par la main et m’a embrassée fougueusement, comme ça, sans prévenir. C’était juste parfait ! Très glam'…


Nous avons alors décidé de quitter la soirée pour aller manger un peu. Mais c’est un autre type de faim qui s’est alors emparé de nous…


Il fait plutôt froid ce soir-là. Il ne neige pas, mais le sol est tout blanc, les lumières vacillent de tous les côtés, il y a beaucoup de monde, la musique à fond. Alors que nous nous faufilions dans la foule, le bras d’Axel m’enveloppe pour me réchauffer, mon bras enlaçant ses hanches. Certes, j’aurais dû me couvrir davantage, mais la tenue que j’ai choisie de porter ce soir était inévitable, c’était quand même le nouvel an : sous mes collants, bien sûr, je n’avais pas de culotte sinon ça me gêne pour danser, et puis surtout comme ça je suis prête à tout…


Nous avons volé une luge en bois, il m’a fait assoir dessus, l’a tirée, et m’a emmenée un peu l’écart, je lui dis alors :
« Brrr… Je ne pensais pas qu’il faisait si froid ! Oh, réchauffe-moi s’il te plaît ! » en lui faisant des yeux doux.


Cette supplique n’était pas anodine, il a lâché la luge, m’a relevée brutalement pour m’enlacer.
« Viens là », me dit-il en ouvrant sa veste pour qu’elle nous recouvre tous les deux.


Je ressens aussitôt la chaleur de son corps et je devine sa peau sous ses vêtements. L’envie de la caresser me saisit. Mes mains coquines ont juste le temps de fureter (pour se réchauffer, bien sûr) dans les multiples poches et au niveau de la ceinture (pas trop serrée) de son pantalon. De plus, ce petit jean’s moule ses fesses juste comme j’aime.

 

Alors, je ne me prive pas ! Mes doigts le chatouillent presque innocemment et, à travers le tissu, je sens se contracter ses cuisses, ses fesses et ses parties plus intimes. Je reste timide, nous soomes entre deux maisons, et il y en a une avec de la lumière allumée sur la facade. Mais Axel en décide autrement.
« Et bien, tu te lâches… tu vas voir », me dit-il d’un air joueur.

Je lui réponds :
« Tu crois que tes mains sont plus sages ? Elles se baladent sans mon autorisation depuis un moment ! »


Son bras puissant qui m’enserrait me placent soudain face à lui et je sens ses mains courir le long de mon dos, s’aventurer sous mon pull et s’égarer sur mes fesses, sur le tissu velouté de ma petite jupe.
Il me murmure avec envie :
« Mais t’as rien mis sous ta jupe !
- Ah… J’ai dû oublier quelque chose… »


Sagement, je pose ma tête sur son torse et je souris, amusée de le sentir se contracter contre mon bas-ventre. Alors que mon bras gauche enlace ses hanches, j’enlève mes gants. Il fait froid, mais ma main droite s’immisce dans une poche de son pantalon afin de se réchauffer et j’en profite pour vérifier sa montée d’adrénaline. Axel resserre son étreinte et, avec douceur, prend mon menton pour rapprocher nos visages, nos lèvres.

 

Il y dépose d’abord de légers baisers, puis prend mes lèvres avec gourmandise. Sa langue explore ma bouche qui répond en laissant échapper les sourds gémissements d’un désir en pleine ascension. Je plaque mon corps contre le sien. Mes fesses et les muscles de mon vagin se contractent d’envie, ma cuisse remonte entre ses jambes sous sa verge en pleine montée érectile. Aussitôt, les pointes de mes seins s’érigent avec une légère douleur (exacerbée par le froid) : celle de l’impatience du désir !

Il laisse sa main droite descendre plus bas sur mon ventre, caresse ma cuisse et remonte vers mon antre intime et chaud, nu sous ma petite jupe droite.
« Tu as vraiment oublié ta petite culotte ? Et c’est quoi, ça ? »

Intrigué, il tire sur la petite cordelette entre le haut de mes cuisses : les boules de geisha… Je ne le crois pas, il les a trouvées du premier coup !
Discrètement, je les range dans leur pochette au fond de mon sac. Je tourne ma tête et ma bouche gourmande mouille ses lèvres entrouvertes qui n’y résistent pas.

­
Fougueusement, ses bras me soulèvent, me retournent. Je lui fais face. Il prend ma tête entre ses mains, couvre mon visage et mon cou tendu de ses baisers torrides. Sa langue s’excite, fouille ma bouche qui lui répond avec ardeur. Oubliant tout autour de moi, j’ouvre la fermeture de son pantalon et libère son sexe déjà raide de désir. Je le chatouille et le caresse de mes doigts fiévreux, sentant monter sa sève qui déjà laisse pointer une petite goutte. Je la lèche et ma main se referme sur sa bite rougie, chaude, douce, qui appelle ma bouche.
« On risque de nous voir, il y a de la lumière, tu veux continuer ? » me dit-il, mi-amusé, mi-excité.


En même temps, vu le contexte, je me dis :

« Pourquoi pas ? »

 

On est dans la neige, que peut-il arriver ?! Je sens bien qu’il ne veut pas que je m’arrête, j’en suis certaine ! D’ailleurs, en cet instant, moi non plus !

Il me lance alors crument :
« Vas-y, suce ma bite. Tu deviens très cochonne et j’adore ça ! »


Je me place sous lui, les genoux dans la neige froide, son sexe s’offre à moi, je le caresse avec mes lèvres et le lèche avec ma langue affamée. Il pénètre ma bouche gourmande. Ma langue s’affole et, rapide et agile, fait tournoyer son sexe, excite la fente de son gland et l’engloutit tout entier. Il reprend ma tête de ses deux mains dans mes cheveux en bataille et la plaque plus encore contre son sexe gonflé qui s’engouffre jusqu’au fond de ma gorge. Tel un volcan, il crache sa lave chaude, m’inonde, et ma bouche se délecte de son sirop au goût incomparable.
C’est là, qu’une vieille femme sort avec son chien, en criant
« Mais qu’est-ce qui se passe ici ? Bande de cochons, vous pourriez aller faire ça ailleurs !!! »


On se reprend, on se rhabille rapidement, pris de panique, et nous nous éloignons près de la piste bleue juste au-dessus. Nous n’allions pas en rester là…


Axel m’entraîne donc vers le fond, sur un côté plus déserté, plus intime. Je l’installe, j’enlève son manteau et je le jette par terre et je le couche dessus. Me tendant la main, il m’attire fermement pour me caler dos à lui, assise entre ses jambes, mes fesses tout contre son sexe. J’ai juste le temps de lire la malice que dégagent ses yeux. Il m’étreint et dépose de sensuels baisers sur ma nuque.


Je sens déjà sa main gauche caresser mon bras, mon épaule et mon sein dont le téton se durcit. Il me relève et m’attire sur ses cuisses en dévoilant et en caressant mes fesses, nues sous ma jupe. Juste libérées par les collants, elles lui sont totalement offertes. Ses doigts lestes pénètrent mon cul en un doux va-et-vient qui fait onduler mon bassin.

 

J’étouffe mes cris au creux de son épaule, puis ma bouche couvre son cou de baisers goulus. Une nouvelle vague d’excitation fait alors dresser son sexe… Ses mains saisissent mes cuisses et me soulèvent pour que je le chevauche et m’empale sur lui. Sa bite pénètre ma chatte, défonce mon cul, fourre à nouveau ma chatte trempée. Il plaque sa bouche contre la mienne pour étouffer le son de la jouissance qui nous submerge et éjacule tout son plaisir dans ma grotte brûlante. Elle recueille toute sa sève qui se mêle à la mienne, et c’est un torrent qui déborde et inonde nos cuisses.


Heureux, emplis et vidés tout à la fois, je réalise que nos ébats ont surpassé notre fantasme en improvisant bien au-delà de notre imaginaire délirant ! Faire l’amour dans la neige, c’est magique ! même si on a très froid !


Encore haletants, nous cherchons l’apaisement jubilatoire qui suit nos ébats amoureux. Et nous nous dirigeons vers l’appartement. Au pied de l’ascenseur, sa bouche prend tendrement et délicieusement mes lèvres fermées, les frôle, les entrouvre, les aspire et les suçote délicatement. Ces dernières minutes où le temps tourne au ralenti gravent avec une infinie tendresse le bonheur que l’on vient de se donner. Cet échange est l’expression des sentiments qui nous enflamment l’un l’autre, même si nous ne nous connaissons à peine…

 

 

 

Puis il me tint le mention, et me dit tendrement :

« Regarde, ma belle, il est minuit ! Je te souhaite une très heureuse année, et plein de coquineries !

- Oh oui, moi aussi, ej te souhaite une très bonne année... Elle ne peut qu’être bonne, vu comment elle commence !

- Tu as raison, d’ailleurs, si nous continuions au chaud ce que nous avons commencé dans la neige ?

- Petit coquin, tu es vorace ! »

 

Pour toute réponse, il m’embrasse à nouveau, et c’est ainsi « collés » que nous primes l’ascenseur. Visiblement, une année de plaisirs très charnels s’ouvre devant moi !

 

Par May. - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Divines et Libertines
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