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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

L'histoire que je vais raconter ici est absolument véridique. Elle m'est arrivée il y a environ vingt ans, délai suffisant pour que je puisse la rapporter sans manquer de respect à quiconque.

 

Agé de 22 ans, je vivais alors avec une jeune femme très attirante, mais très peu intéressée par les choses du sexe : elle se contentait du strict minimum et je la soupçonne même rétrospectivement de s'être parfois forcée.

 

Nous avions été invités à passer le réveillon de 1992 dans un restaurant de Brest, ville dans laquelle nous vivions. Avant de nous rendre au restaurant, nous devions passer prendre l'apéritif chez de vagues connaissances, qui accueillaient de nombreuses personnes que nous ne connaissions pas. Très rapidement, un des invités, éméché, s'est mis à faire des blagues graveleuses, auxquelles tous les mecs de l'assistance ont ri et ont répliqué.

 

C'est alors que j'ai remarqué qu'une des jeunes filles me regardait avec insistance, ne me quittant pratiquement pas des yeux. Elle était mignonne, mais je ne lui prêtais pas trop d'attention, étant même gêné par son attitude en présence de ma copine.

 

Arrivés au restaurant, la même jeune fille s'est installée en face de nous et a poursuivi son manège. Ma compagne, très rapidement saoule, n'a plus été en mesure de se rendre compte de quoi que ce soit. Ma séductrice, Stéphanie, s'est montrée de plus en plus entreprenante. Alors que je me rendais aux toilettes, elle m'y a suivi sans l’ombre d’une hésitation. Directe, me regardant droit dans les yeux, elle m’a proposé de passer « un bon moment ».

 

J'ai refusé énergiquement, mais elle m'a souri d'un air entendu, en me faisant comprendre qu'elle avait compris qu'elle ne m'était pas indifférente. Avant de sortir des toilettes, elle m'a plaqué la main sur le sexe, le serrant à travers mon pantalon. J'étais littéralement estomaqué par un tel comportement, auquel je n'étais pas du tout habitué.

 

A partir de ce moment, je n'ai plus pensé qu'à une chose : envoyer ma copine se coucher et rester seule avec Stéphanie. Tous mes scrupules s’étaient envolés…

Me débarrasser de ma compagne n'a pas été bien difficile, vu son état d’ébriété, et Stéphanie a proposé aux derniers convives de la suivre chez sa mère, qui était absente, pour prendre un dernier verre. Je raccompagnai ma femme chez nous, et revins au plus vite chez Stéphanie.

 

Là, elle m'a sorti le grand jeu : la conversation s'est orientée presque aussitôt sur le sexe, et notamment sur le triolisme, qu'elle disait refuser, et sur la fellation, qu'elle prétendait adorer. J'étais de plus en plus excité, mais, naturellement, je ne pouvais manifester mon intérêt pour la belle en public.

 

Deux heures se sont passées ainsi, jusqu'à ce que, très fatigué, je décide de rentrer chez moi, en me disant que Stéphanie n'était qu'une allumeuse. Au moment où j'ai quitté son appartement, elle m'a suivi sur le pallier. J'étais encore en train de chercher une formule pour lui demander s'il me serait possible de la revoir quand elle s'est littéralement jetée sur moi.

 

Mi-excité, mi-paniqué (j'avais peur que quelqu'un nous repère), je l'ai entraînée un peu plus bas dans les escaliers. Très rapidement, et avec une assurance qui m'a sidéré, elle a défait ma ceinture, ouvert ma braguette et sortit mon sexe, tendu à se rompre. Elle a commencé à me branler très fort en me disant de ne surtout pas jouir. Je n'ai pas voulu être en reste et j'ai commencé à lui caresser les seins.

 

Au bout de quelques secondes, elle m'a demandé -littéralement- de la branler. J'étais véritablement comme un fou. J'ai retroussé sa jupe, abaissé légèrement son collant, et j'ai commencé à la caresser à travers sa petite culotte, qui était déjà complètement trempée. Elle gémissait et me demandait tout bas à l'oreille si j'étais excité de lui caresser la chatte. Je lui ai répondu par quelques grognements et elle m'a demandé, ou plutôt ordonné, de la lécher. Je me suis exécuté aussitôt, me mettant à genoux, baissant sa culotte et me jetant avidement sur sa chatte.

 

La position était très inconfortable, le lieu risqué, mais j'y ai pris un plaisir fou, tandis qu'elle gardait plus nettement son contrôle, me donnant des conseils un brin autoritaires qui ne faisaient que renforcer mon excitation.

Je la dévorais avec une passion que je ne me connaissais pas !

 

Au bout de quelques minutes, elle m'a dit de me relever, et m'a entraîné vers le sous-sol, dans un box où sa mère conservait quelques meubles. Elle m'a poussé sur une banquette de béton qui longeait un mur, et, en me regardant, s'est débarrassée de son collant et de sa culotte. Elle s'est alors mise à genoux devant moi, et a commencé à me sucer très lentement, en m'avalant entièrement, et surtout en serrant très fort les lèvres.

 

J'étais réellement sur le point de jouir dans sa bouche, mais elle contrôlait très efficacement ses mouvements. De temps à autre, elle sortait ma queue de sa bouche, passait sa langue sur mon gland et me regardait dans les yeux avec un air aguicheur. Tout était nouveau pour moi, et je vivais là un moment que j’avais fantasmé des centaines de fois !

 

Après quelques instants de ce traitement, elle s'est assise sur la banquette en retroussant sa jupe, m'a littéralement saisi par la queue, et l'a glissée dans sa chatte. J'ai encore le souvenir des sensations merveilleuses que cette pénétration a provoqué en moi. Elle ne quittait pas des yeux ma queue qui allait et venait, et, au bout de quelques instants, s'est mise à se toucher le clitoris.

 

Elle m'a lors demandé de lui parler. Un peu interloqué, je lui ai demandé de quoi elle voulait que je lui parle. Elle m'a répondu qu'il fallait que je lui décrive ce que je ressentais et ce que je voyais. Je lui ai alors dit à quel point j'étais bien dans sa chatte, à quel point elle m'excitait. J'ai vu que les compliments avaient un effet très sensible sur son état et j'ai poursuivi dans ce registre, en me prenant au jeu.

 

Rapidement, je me suis mis à la traiter de « petite cochonne », de « salope », et à ma grande surprise, elle a apprécié. Sur la fin, je la pilonnai littéralement, en proférant des obscénités que je n’aurais jamais osé prononcer avant ! Elle gémissait, puis a enfin atteint l'orgasme. Elle m'a alors demandé de sortir ma queue et de me finir à la main devant elle, ce que j'ai fait avec le plus grand plaisir. J’ai joui à grands jets devant elle, qui semblait ravie du spectacle…

 

Depuis ce fabuleux réveillon, Stéphanie, que je n'ai jamais revue, conserve une place à part dans mes souvenirs…

 

Par Anonyme - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Au royaume des salopes
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