Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Hervé et Laure sont mariés depuis sept ans, et elle a un appétit sexuel démesuré. Hervé le sait, et a fini par se résigner à laisser sa femme vivre ses envies sexuelles à sa guise. Secrètement, il est heureux d’avoir une telle salope à baiser comme et quand il veut…
Il profite donc de l'absence de Laure, partie en séminaire avec sa société. En clair, elle est allée se faire niquer, et tailler des pipes à son directeur. Ainsi, il a toute liberté pour inviter son copain Louis, un jeune métis, à passer le week-end à sa villa avec piscine. Ils sont tous les deux âgés d'une trentaine d'années. Louis est célibataire, et on lui prête pas mal d'aventures avec les deux sexes. Mais il n’a jamais eu de manières déplacées avec le jeune couple.
Ses talents de cuisinier étant limités, Hervé a prévu de faire des grillades. Il fait une chaleur caniculaire. Les deux hommes, vêtus d'un simple caleçon de bain, prennent l'apéritif sur la terrasse.
« Enfin une soirée sans femme, dit Hervé, tu le crois ça ? Cà s'arrose.
- Te plains pas, répond Louis, Laure est une super femme, très belle. Je t’envie, mon pote ! »
Le rosé aidant, les deux copains commencent à rire, se taquinent. Louis devient plus entreprenant avec son ami.
En plaisantant, il essaie d'attraper le sexe d'Hervé. Pour arrêter ce petit jeu, celui-ci sert les grillades. Louis semble se calmer, et engloutit sa viande avec voracité. On dirait qu’il prend des forces pour plus tard…
Mais la dernière bouteille à raison de leur lucidité. Il est bientôt minuit, et il fait encore très chaud.
« Et si on prenait un bain, propose Louis, à poil bien sur, l'eau doit être bonne.
- C'est pas con, répond Hervé, çà me réveillera ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Louis retrie son caleçon, pour plonger dans l’eau. Hervé est surpris de voir le sexe de son copain, douze centimètres au repos.
C'est à peine s'il ose quitter son caleçon, tant il a peur d'être complexé par l’engin qu’il vient de voir…
- Ben dis-donc, dit-il, tu es monté comme un âne !
- Tu sais bien que les blacks ont toujours une petite avance sur vous, mais vas-y, n'est pas honte… »
A son tour, Hervé ôte son caleçon, et saute dans la piscine. Son sexe doit mesurer six centimètres, à tout casser, au repos…
Il est tout de suite rejoint par Louis. Les deux copains font quelques longueurs, et Hervé s'aperçoit que Louis a tendance à le coller d'un peu trop près, ses mains frôlant un endroit précis de son anatomie.
Hervé se colle contre la paroi de la piscine en se tenant aux margelles, se demandant i son intuition est la bonne. Et il a raison. Louis arrive immédiatement derrière lui, et le prend fermement par la taille. Plus aucun doute, Louis veut le baiser…
Une main glisse entre les jambes et saisit les testicules, tandis que l'autre entoure la queue.
Et là, surprise. Hervé se laisse faire, et commence même à avoir une petite érection. Il a du mal à comprendre ce qui lui arrive. Jamais il n’aurait imaginé une chose pareille ! Il l’a toujours refusé à Laure, qui le supplie depuis des années de se faire pendre par un homme devant elle.
Louis caresse la hampe durcie de son copain, joue avec la prépuce pour décalotter le gland, fait courir son majeur sur le frein, ce qui a pour effet de faire gémir Hervé. Celui-ci sent l'énorme bite de Louis contre ses fesses.
« Salaud… c'est quoi que tu me caresses là… Je ne suis pas pédé… Laisse-moi tranquille, dit-il d’une voix peu convaincue.
- Chut, calme-toi, murmure Louis, tu vas voir comme je vais te faire du bien… »
Hervé se laisse faire, pétrifié par l’excitation qu’il sent monter en lui, à son insu.
Louis accélère ses va et vient sur sa queue, lui presse les couilles. Ce dernier passe ses bras en arrière, et se tient aux hanches de son ami, essaie d'attraper le calibre de vingt-deux centimètres, maintenant qu’il est bandé à fond.
« Ah... Tu vas me faire cracher… Ha oui… Vas-y… décalotte moi… que c'est bon... ha... salaud… Branle bien ma petite queue ! »
Les jets de sperme transpercent l'eau. Hervé a maintenant réussi à saisir les énormes couilles de Louis. Il en veut plus, il a envie de lui, maintenant.
« Rentrons, dit Hervé, allons nous sécher. »
Arrivé au milieu du salon, Louis fait pivoter Hervé, le prend par la taille, et se colle à lui. La queue de Louis dépasse celle de son copain de cinq bons centimètres, sans parler des proportions imposantes des couilles. C'est le mâle dominant dans toue sa splendeur. Doucement, les deux copains glissent sur la moquette. Louis force Hervé à se mettre sur le dos. Il lui bloque les mains derrière la tête. Les deux hommes se défient du regard.
Louis se penche jusqu'à ce que sa bouche soit en contact avec celle de son pote. Il sort sa langue, et la fait courir sur les lèvres d'Hervé. Celui-ci répond à l'invitation intime. Le baiser est charnel, sensuel. Jamais Hervé n’aurait pensé trouver autant de douceur et de sensualité dans ce baiser entre hommes.
Toujours soudés par les lèvres, Louis se place sur le côté, et entreprend de caresser le corps de son copain. D'abord, il s’attaque aux mamelons, qu'il excite avec un ongle, puis vient le tour du ventre, puis enfin, le sexe. Les testicules roulent entre ses doigts, et la queue est entièrement décalottée. Le gland est rouge, congestionné par le désir qui le traverse sans fin.
« Gratte-moi comme tout à l'heure, c'était bon tu sais. Tu veux qu'on aille au lit ? »
Sans perdre une minute, ils montèrent dans la chambre, s’adonner à leurs ébats homos.
Le séjour amoureux de Laure a été écourté, à son grand regret. Tous les hommes prévus n’étaient pas là, et elle n’a pas eu sa dose de sexe pour la soirée... Aussi, c'est vers quatre heures du matin qu'elle rentre, à l'improviste.
Attirée par des bruits étranges, elle monte directement à la chambre, dont la porte est légèrement entre baillée. Elle ouvre doucement, et découvre un spectacle hallucinant.
« Tu m'encules, sale black, râle Hervé, tu te régales de ta taper un blanc, hein ? Prends-moi les couilles... Décalotte-moi et tape-moi une bonne branlette… vas-y... Bien sur le bout… comme la piscine...
- Mais c'est qu'il y a pris gout, l'enfoiré, sourit Louis, il aime se le faire mettre, ce petit salopard. C'est bon de prendre un bon coup de queue, hein ? Tu vas sentir comme je vais me vider les couilles dans ton cul… ha… tiens… petite tapette...
- Moi aussi je viens… Décalotte-moi bien la bite ! Oh putain… Regarde comme tu me fais gicler…ha… Ma femme me fait pas des trucs comme çà… aieee… aie... ne tire pas sur ma queue… Je sais bien qu'elle est plus petite que la tienne !!!
- Hi hi hi, s'esclaffe Louis, même tes couillettes, hi hi hi… Allez, taille-moi une pipe maintenant… Et tu as intérêt de tout avaler ! »
Laure en a assez vu et entendu. C'est avec un sourire vicieux qu'elle regagne sa chambre.
Vers huit heures du matin, en regagnant la salle de bains, elle entend des râles qui proviennent toujours de la chambre d'Hervé. Elle glisse un regard à l'intérieur. L'énorme colonne de chair de Louis est engloutie par la bouche d'Hervé, jusqu’aux couilles.
« Allez, ordonne le jeune black, avale bien ton biberon… Oh, mais c'est qu'il a une grosse faim mon bébé… Suce bien mon petit chéri... »
C'est dans un « han » de bucheron que Louis vide sa semence âcre au fond de la gorge d'Hervé. En garçon obéissant, il avale tout, et nettoie les dernières gouttes.
« Hum… hum… Que c'est bon, apprécie Hervé, j'en prendrai aussi à mon gouter ! Ne bouge pas, je vais chercher ton café. »
En revenant avec le plateau du petit déjeuner, Hervé ne se doute pas de la surprise qui l'attend : Laure est là, assise sur Louis, de dos, empalée sur la colossale bite.
D'une main, le black lui caresse les seins, et avec le majeur de l'autre, excite le clitoris entièrement sorti de son fourreau.
« Heu... Mais que fais-tu là, ma chérie ?
- Tu ne vois pas que je me fais baiser ? soupire-t-elle. Ma petite chatte aussi avait une grosse faim. J'espère qu'il y aura des restes pour mon petit trou…. Tu e joins à nous ? j’ai vu que tu as bien aimé te faire prendre par ton ami… on ne va pas en rester là, quand même ! Pour une fois que je peux m’éclater avec toi !!! »
Hervé pose aussitôt le plateau du petit-déjeuner sur la table, et rejoint le couple sur le lit. Il fait pencher sa femme en avant, et lui enfonce sans ménagement un doigt dans sa rosette bien ouverte. La pression du gros pieu la fait s’ouvrir presque toute seule. Il sent le membre qui pistonne son épouse contre son majeur enfoncé à fond dans l’étroit conduit. Il bande comme un fou. Sa femme lui saisit sa queue, et le branle avec rage, en rythme aves les coups de boutoir de son amant. Hervé n’a jamais sodomisé son épouse, elle a toujours réservé ce « privilège » à ses nombreux amants. Elle prétendait ne rien ressentir avec un sexe aussi petit….
Mais ce matin, elle se laisse faire. Elle l’encourage, même. Elle se couche sur le torse de Louis, offrant encore un peu plus son cul àa vue excitée d’Hervé. Il se met derrière elle, et positionne son gland contre le rond brun qui lui fait de l’œil… Louis ralentit ses va et vient, pour que le mari cocu puisse la pénétrer plus facilement.
Laure gémit : « Baisez-moi, baisez-moi bien, Hervé mon chéri, encule-moi. Je veux ta bite au fond de mon cul. Je veux mes trous bien plein de vous deux… vas-y, force, encule-moi…. »
Hervé est peu habitué à es paroles, et il en bande encore plus fort. Sans précaution, il fonce, et pénètre brusquement l’anus de sa femme. Laure sursaute sous la poussée, pour aussitôt crier de plaisir : « Oh oui, encule-moi, baise, défonce-moi. Je suis bien pleine, vos bites sont bonnes, défoncez-moi comme une chienne…Ha oui.. Ha... Encore !!! C’est trop bon…. »
Elle crie à s’en déchirera la gorge, quand elle jouit violemment. Hervé ne peut se contenir et éjecte sa purée dans les intestins de Laure. Louis, à peine plus endurant remplit le vagin de la jeune femme d’un foutre épais et poisseux. Elle retombe tel un pantin, sur son amant.
Louis ne perd pas le nord. Cet, homme, on dirait une machine à baiser !!!
Il fait se coucher Laure sur le lit, et dit à Hervé : « Ta femme a besoin d’une petite toilette… Vu que tu aimes bien ma crème, viens tout lécher… »
Hervé, un peu honteux devant sa femme, hésite à s’exécuter. Mais Laure l’encourage : « Lèche bien ma chatte et mon petit trou, comme ça, je vais nouveau avoir envie de baiser… vas-y mon chéri, suce-moi bien… Tu ne le regretteras pas ! »
Hervé se penche sur sa femme, et commence à avaler tout le sperme qui ressort de ses deux orifices ; le sien et celui de Louis… Laure gémit, et Louis, infatigable, bande à nouveau… La jeune femme se tourne légèrement, et embouche la grosse bite bien dure…
La journée va se passer ainsi, à baiser tous les trois, se prenant pas tous les trous, se suçant, se pompant, jouissant à n’en plus finir, jusqu’à l’puisement…
Et ce ne fut que le premier jour d’une longue série de partie de baises à trois mémorables….
Tu as raison, mais il faut aussi savoir les provoquer !
Ca se trouve, il faut juste aller sur les bons sites de rencontre !
On ne s'en lasse pas. Merci ma chère.
Merci.. il me manque un peu de temps, en ce moment pour écrire plus.. alors,, je remets en "une" mes textes favoris... J'espère que personne ne m'en voudra trop !
Moi j'envie la place de Laure… euh… mais en inversant les sexes, hein !
QUand on aime, on ne compte pas ! J'ai encore en mémoire, un week end de feu.. nous avons passé 48 heures à baiser, avec des arrets juste pour manger et dormir un petit peu.. nous étions 10.. l'eclate intense !
Es-tu deja passé à l'acte ?
Elle n'est pas encore prévue.... mais si tu as envie d'en écrire une, tu peux le faire !
Comme je l'ai dit plus bas, je ne suis aps sure qu'il ya it une suite... sauf si un volontaire la redige ! ;-)
Merci
J'espère au moins qu'elle en profitera !!!!
Alors, il en a été quoi ?
Dommage... elle a raté quelque chose !