Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
♥ Chapitre VI : Une nuit pleine de surprises ♥
Je me retrouve alors au bout de la laisse tenue par cet homme qui me rebute. Mon regard apeuré se transforme en rage quand je croise celui de mon « maître d'un soir ». Il ne perd vraiment rien pour attendre. Quelle n'est pas ma surprise quand, au lieu de lire du dépit ou une certaine gêne dans ces yeux, il me répond d'un sourire narquois du genre : « j'ai réussi mon coup ».
Et voici que le gros monsieur m'emmène avec lui. Sentant une certaine réticence de ma part à le suivre, il tente, comme pour m'amadouer :
« Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te faire de mal, ma belle, je n'abîme jamais mes investissements. »
Pensait-il vraiment que cela me calmerait ? Son sourire me laisse croire le contraire. Il m'entraîne derrière lui et nous montons l'escalier.
« Tu es vraiment très belle K., ton maître a beaucoup de chance.''
- Merci Monsieur. »
Mon cœur bat la chamade et je ne sais ce qui m'attend. Il s'arrête devant une porte.
« Nous voici arrivés », dit-il en ouvrant la porte.
Il me fait entrer dans une chambre à la décoration tout aussi surannée que le reste de la maison. Les lais de papier peint pourpre alternent avec les lais noirs. Un lit à baldaquin circulaire trône au centre de la pièce. Il s'assoie sur un fauteuil et me demande de me mettre au centre du tapis. Croisant les jambes, tenant toujours la laisse, il me toise du regard, jaugeant la jeune femme qui se dresse devant lui. Il me demande de retirer le haut de ma robe.
Lentement, je fais glisser la bretelle de mon épaule, puis la seconde, découvrant ma poitrine nue. Son regard se fixe alors sur mes deux petites pommes dressées par la peur et je dois bien l'avouer, par l'excitation que la situation provoque en moi.
« Caresse-les. me dit-il, tout à coup plus directif. Je vois bien qu'ils durcissent mais ce n'est pas suffisant. »
Je pose alors mes mains sur mes seins, les soupesant doucement. En enserrant un, les doigts de mon autre main, viennent lentement tourner autour de l'aréole. La sensation de sentir la pointe durcir irrémédiablement sous ma caresse m'arrache un gémissement que je tente de contenir en me mordant la lèvre inférieure. Puis, je fais glisser les pointes tendues entre mes index et majeurs. Je joue sensuellement de mes seins, ondulant mon corps, caressant mes lèvres avec ma langue, le regardant dans les yeux. Il se délecte de ce spectacle. Son cigare presque fini passe de ses lèvres à ses doigts, il sourit, commente de petits « humm, quelle poitrine », « 'c'est bien ma belle ».
« Retire ta robe maintenant.
- A vos ordres Monsieur. »
Je m'exécute et doucement fais glisser ma robe à mes chevilles. Il sursaute et se tortille sur son siège :
« Mon Dieu mais quelle œuvre d'art !!! tu es vraiment sublime Mademoiselle K. J'ai eu raison de mettre autant pour avoir le plaisir de te contempler.
- Au prix que vous avez payé, je suppose que vous n'allez pas faire que me contempler, Monsieur.
- Ma pauvre mademoiselle K., je suis désolé pour toi, et pour moi aussi d'ailleurs, mais un malheureux accident m'a privé de ma virilité. Je ne pourrais rien te faire de plus que te contempler et te caresser. Ce qui fait que j'ai développé d'autres jeux, n'aies crainte, tu prendras du plaisir ma belle, et moi aussi par la même occasion. Allée, continues de te caresser, mets-toi à genoux et caresse-toi. »
La révélation qu'il ne peut pas me baiser me rassure, je dois bien l'avouer. Ce vieux porc ne me touchera pas et je ne sentirai pas son corps adipeux suinter sur le mien. Ce nouvel élément me rassure, me libérant de toute peur. Je m'agenouille donc sur le tapis et recommence à parcourir mon corps de plus belle. Mes mains courent sur mes seins, les malaxant, je porte un sein jusqu'à mes lèvres et je joue de langue sur l'aréole tendue. Il exulte de plaisir. Je porte deux doigts à ma bouche pour les mouiller puis viens jouer sur mes tétons. Je tire doucement dessus, les relâche, en éprouve l'érection. Puis mes doigts entament un voyage de mes seins jusqu'entre mes cuisses.
Doucement, je caresse mes lèvres déjà gorgées de désirs et de plaisir. Mes doigts se couvrent de mouille que je porte à ma bouche en souriant. Me voici, nue, cuisses ouvertes, légèrement cambrée en arrière, une main tirant un sein, et les doigts sensuellement enserrés entre mes dents à goûter mon plaisir, plus provocante que jamais. De toute façon, il ne peut rien me faire et la situation m'excite de plus en plus. Son regard ayant changé, je subodore qu'il a compris mon soulagement.
« Couche-toi sur le tapis et écarte tes cuisses.
- Oui, Monsieur. »
Je me couche face à lui sur le tapis, relève et écarte mes jambes. Il a une vue imprenable sur ma vulve ouverte. Mon clito durci me brûle. J'ai une irrésistible envie de le toucher, de le caresser. Il le sait et me l'interdit.
« Non, ne touche pas ta chatte belle demoiselle, laisse-moi l'admirer encore. Joue avec tes seins et bouge ton bassin. »
Je me cambre et reprends le jeu sur me seins, le laissant jouir du spectacle de mon intimité. Au bout de quelques minutes, je suis totalement excitée et je sens ma cyprine couler doucement entre mes cuisses et la naissance de mes fesses. J'ai toujours adoré cette sensation.
« Tu peux te caresser maintenant, joues avec tes lèvres. »
Je ne me fais pas prier et mes mains fondent entre mes cuisses dans un lascif « Merci Monsieur ». Les doigts d'une de mes mains écartent mes lèvres, dégageant ma chair intime et mon clitoris. Le majeur de mon autre main prend alors la place ouverte pour jouer en moi et sur mon clito. La pulpe de mon majeur tourne sur mon petit bouton tendu d'envie. Je me cambre plus encore et gémis de plaisir. Je m'abandonne à mon plaisir devant cet homme qui n'était qu'un inconnu repoussant il y a encore une heure. Au bout de quelques minutes, il m'ordonne d'arrêter.
« Ça suffit jeune chienne. Arrête de te rouler par terre et redresse-toi. »
Je me remets à genoux comme une bonne petite soumise.
« Derrière toi, dans le tiroir de la commode, il y a une boîte à cigares, va m'en chercher un.
- A vos ordres Monsieur. »
Je me retourne et me mets à quatre pattes. Je me dirige vers la commode, tortillant mes fesses à la vue de mon ''propriétaire'' d'un soir.
« C'est bien, tu as tout compris. Tu as un cul magnifique ma belle. »
Me redressant, j'ouvre le tiroir de la commode et en extrais la boîte de cigares.
« Prends-en un et apportes-le moi. Mais attention, il ne doit pas toucher le sol. »
Je réfléchis un instant à une manière de lui amener sans qu'il touche le sol. Si j'ai bien compris, je ne dois pas le tenir en main, et il n'y a qu'un seul type de cigare qui puisse se trouver entre mes lèvres, et il n'est pas constitué de feuilles de tabac, roulées sous les aisselles de mamas cubaines. Je le cale alors entre mes seins et avance à genoux.
« Non non non, une chienne est toujours à quatre pattes petite futée.Me dit Monsieur Serge en souriant. Et puis tu sais, Mademoiselle K. un cigare doit être bien humide pour pouvoir l'apprécier en bouche. »
Je souris, sachant pertinemment ce qu'il attend. Je me retourne et, à quatre pattes, caresse mes lèvres intimes de cet objet oblong. Il est vrai que ce barreau de chaise a des allures de godemiché. Je le fais aller et venir entre mes lèvres, sur mon clito.
« Oui c'est ça ma belle, branle-toi avec mon cigare, je veux qu'il soit plein de ta mouille. »
Je dois bien me rendre à l'évidence, J'adore ce jeu et je commence à oublié la présence de Monsieur Serge.
« Je crois t'avoir demandé de me l'apporter non ?
- Oui, pardon Monsieur.
- Ne t'excuse pas, j'adore te voir prendre du plaisir, mais approche, viens jusqu'ici, tu es trop loin. »
J’enchâsse alors le cigare dans mon intimité et reviens jusqu'à lui à quatre pattes, lui lançant mon regard le plus lubrique.
« Humm, j'adore ton regard de chienne. Si seulement j'avais toujours mes capacités, je te défoncerais comme la petite putain que tu es !
« Heureusement pour moi que tu ne bandes plus, vieux dégueulasse », ne puis-je m'empêcher de penser.
Une fois en place sur le tapis, je lui tends le cigare. Il le porte à son nez et à ses lèvres.
« Il n'est pas assez humecté, recommence.
- Bien Monsieur. »
Je reprends ma place sur le tapis et mon jeu avec le cigare.
« Tu es trop loin, approche encore. Viens poser tes pieds sur mon fauteuil. »
A contre-cœur, je m'exécute et viens me placer selon sa demande. Sur le dos, je pose mes pieds en appui sur les accoudoirs du fauteuil. Il me regarde d'en haut. Je me surprends à penser que plus jeune il ne devait être mal. Son regard posé sur moi, envieux, cupide, lubrique m'excite et je m'en donne à cœur joie avec ce gode improvisé. Ses doigts se posent sur mes jambes et il commence à me caresser de la pulpe. Ces mains sont douces, agréables, elles m'électrisent. Mais je le sens hésitant, peut être attendant mon approbation. Il ne fait que me frôler. Alors que le cigare entre en moi, interprétant le fait que je l'ai laissé me caresser comme un oui, il prend mes jambes et les ramène sur ses genoux.
« Retire tes mains d'entre tes cuisses, chienne, caresse tes seins. »
Je m'exécute et les poses sur mes seins. Le cigare fiché dans ma chatte, il caresse mes jambes. Puis lentement il me fait monter et redescendre. Le cigare frotte en moi comme un sexe et l'orgasme ne tarde pas à me submerger, inondant par là même le cigare. Je ne peux m'empêcher de jouir bruyamment.
« Voilà, il est parfait maintenant. Comme je sais que tu ne voulais pas que je te touche, me permets tu de le récupérer moi même ? »
Je le regarde étonnée. Comment a-t- il su ?
« Eh oui, Mademoiselle K. il ne faut pas sortir de Saint Cyr pour savoir que je te révulse. Me dit-il en souriant.
- Bien sûr Monsieur, vous pouvez. »
Il ne se fait pas prier et en profite pour enfoncer deux doigts dans ma chatte en récupérant son bien.
« Humm, cette chatte a du en voir des bites. Réponds petite chienne, dis-moi qu'elle en a vues.
- Oui Monsieur, elle en a vu beaucoup.
- C'est bienn dit-il en portant le cigare à sa bouche. Humm quel goût tu as petite chienne, un vrai délice. Ce cigare est parfait. »
Puis il l'allume. Je m'apprête à quitter ma position.
« Qui t'a dit de bouger petite putain ? Reste là. »
Son regard c'est fait plus dur.
« Pardon Monsieur. »
Je reste ainsi posée pendant plusieurs minutes, le laissant déguster son cigare.
« Tu es vraiment sublime Mademoiselle K., vraiment sublime. J'aurais adoré pouvoir te posséder. J'aurais été fier d'exhiber à mon bras un tel chef d’œuvre. M’autoriserais-tu à te caresser ma belle ? J'en ai très envie. »
Sans même comprendre comment j'ai pu, je lui réponds oui. Il attrape alors ma jambe et porte ma cheville à sa bouche. Il la caresse de ses lèvres, de sa langue. Mes doigts de pieds se retrouvent rapidement dans sa bouche et il commence à les sucer fortement. Il change de pied et lui administre le même traitement. Tout à coup il s'arrête.
« Viens t’asseoir sur mes genoux petite chienne, vite. »
J'obéis et me mets à cheval sur ses genoux. Il ne lui faut pas plus de temps pour saisir mes seins. Il tente de m'embrasser mais je le lui refuse en tournant la tête. Ses lèvres se retrouvent au contact de mon cou. Je peux en éprouver la chaleur et la douceur. Il m'embrasse le cou, pressant mes seins l'un contre l'autre. Sa langue sort et il lèche mon cou en descendant sur mes seins. Ses mains, dont l'une est encombrée du cigare enserrent tendrement mes seins comme pour en projeter les tétons tendus d'excitation.
Sans plus attendre, sa bouche se saisit d'une aréole. Il commence à l'aspirer, la mordiller doucement comme pour en éprouver la dureté. Sa langue tourne lentement dessus, me provocant des râles de plaisir. Je me cambre sous ses traitements. De son autre main, il caresse le téton à l'aide de son cigare. Je peux sentir l'humidité de sa bouche sur le cigare qui tourne sur mon téton. Je me colle à lui pour caresser mon intimité sur son pantalon.
« Tu mouilles bien petite salope, » grommelle-t-il entre deux succions.
Je me cambre doucement en arrière, les mains posées sur ses genoux et joue de mon bassin. J'en arrive même à regrette qu'il ne puisse pas bander. Comme s'il lisait dans mes pensées, une de ses mains se pose sur mon ventre et le caresse doucement, remontant entre mes seins, mon cou, mon menton puis ma bouche.
« Ouvre », me dit-il.
Je ne me fais pas prier et accepte l'introduction de son index et son majeur dans ma bouche. Très vite mes lèvres se referment et je commence à sucer ses doigts. Ma langue tourne autour de ses phalanges retenues par mes dents. J'aspire ses doigts comme s'il s'agissait de son sexe.
« Humm, je regrette vraiment de n'avoir que ça à te donner à sucer, chérie. Tu m'as l'air d'être une sacrée bonne suceuse. »
J'avale ses doigts comme si ma vie était en jeu, saoulée d'excitation, sans aucun contrôle sur mon comportement. Au bout de quelques minutes, il extrait ses doigts de ma bouche et suivant le chemin inverse, les dirige vers mon intimité. Sans aucune précaution, il me pénètre violemment, m'arrachant un gémissement.
« Oui, t'aimes ça petite pute, réponds !
- HUMMMM OUI MONSIEUR !!!! »
Sans douceur, il entame une sauvage pénétration de ses doigts. Il me force à me pencher en arrière pour me retrouver couchée sur ses genoux, cuisses parfaitement ouvertes, ma chatte offerte à ses désirs. Je gémis, crie mon plaisir. Il exulte, me traitant de chienne, de salope. Il commence à se lâcher. Son autre main, qu'il a libéré du cigare en le portant à sa bouche, caresse mon ventre, mes seins, mon cou. Ses doigts viennent à ma bouche et je les suce. La violence de ses doigts me fait balloter sur ses genoux. Dire qu'il y a peu de temps ce type me dégoûtait, maintenant il provoque en moi une excitation incontrôlée. Il s'arrête.
« Couche-toi sur le lit, j'ai envie de te lécher la chatte. »
Il me relève et me repousse sans tendresse. Je me dirige vers le lit.
« Oh tu fais quoi ? À quatre pattes, chienne.
- Oui, pardon Monsieur. »
J'obéis et me dirige vers le lit à quatre pattes.
« Attends. »
Je m'arrête, il saisit la laisse :
« Tu peux y aller. »
Arrivée au lit, je grippe dessus et me couche au bord sur le dos, cuisses écartées, les pieds sur le lit. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il est à genoux devant moi et sa bouche fond sur mes lèvres. Il les aspire, en prend une entre ses dents, joue à lécher ma chair intime en remontant sur mon clito. Ses mains, tenant le cigare, il reprend ses caresses sur mes seins. Je me tortille de plaisir sous sa langue, gémis comme une vraie petite chienne. Il sait qu'il me tient à sa merci et accentue son cunnilingus.
Il fait maintenant descendre une de ses mains qui rejoint sa bouche sur mes lèvres. Il écarte mes lèvres pour mieux me lécher. Ces coups de langue sont si puissants que je ne peux m'empêcher de saisir ses cheveux gominés. La sensation désagréable de gras n’entame en rien mon excitation. Il sait dés lors qu'il a partie gagnée et qu'il pourra faire de moi ce qu'il veut.
« Tu es vraiment une sacrée belle chienne K. Tu vas prendre du plaisir, crois moi. »
Il introduit son index et son majeur en moi, tout au fond et fait tourner ces doigts, les écarte, les resserre. Je n'en peux plus et porte mes doigts à ma bouche pour les sucer. Au bout de quelques minutes, il se redresse, m'attrape par les hanches et me retourne violemment sur le lit. À plat ventre, il tire mes chevilles pour que je me retrouve à genoux, au bord du lit. Il m'oblige à me pencher pour poser mon buste sur le lit en me tenant la nuque.
« Penche-toi salope. »
Sa main droite claque sur ma fesse comme pour me signifier que je lui appartenais. Puis il me force à écarter les jambes. Du plat de sa main, il frotte énergiquement ma vulve, joue sur mon clitoris. Il insère son majeur en moi et entame un va et vient violent. Je gémis doucement.
« On dirait qu'un seul doigt ne te suffit pas jeune chienne, on va en rajouter alors. »
Il ajoute son index et reprend de plus belle. Je gémis plus fort mais ça ne semble pas le satisfaire puisqu'il ajoute deux autres doigts et accélère encore le mouvement. Je m'agrippe aux draps et enfonce ma tête dans le matelas pour ne pas hurler. C'est sans compter sur sa main gauche qui saisit alors mes cheveux pour tirer ma tête en arrière.
« Je veux t'entendre hurler Mademoiselle K. »
Son pouce tourne alors sur mon petit œillet alors qu'il me pénètre sauvagement de ses autres doigts. Les hurlements qu'il m'arrache semble lui plaire. Je sens sa salive tomber entre mes fesses sur mon anus et son doigt forcer l'entrée.
« Humm, mais lui aussi on dirait qu'il n'est plus vierge. C'est bien ! Allée, ouvre-toi bien. »
Son doigt entre doucement dans mon cul. Je crie de douleur mêlée de plaisir. Très vite sa main gauche quitte ma chevelure et son majeur remplace le pouce. Il me pénètre maintenant des deux côtés, sauvagement, sans précaution, sans tendresse. Mes deux orifices me brûlent et cette sensation me procure un plaisir que je ne peux dissimuler plus longtemps. L'action de sa main droite dans ma chatte provoque un orgasme qui inonde ses doigts, facilitant sa pénétration.
« C'est bien petite chienne, jouis fort. Tu aimes ça. »
Ce n'est pas pour autant qu'il arrête ce doigtage en règle et pendant quelques minutes encore, il continue son entreprise. Je suis presque sans réaction quand il arrête et me couche doucement sur le lit. Je suis nue, repue de plaisir alors que ses mains se font tendres sur mon corps, le caressant comme un sculpteur modèle son œuvre. C'est sous la douceur de ses caresses que je finis par m'endormir, oubliant même que Marc devait certainement m'attendre.
♥ Chapitre VII : Rien n'est fini ♥
À mon réveil le lendemain, il me faut quelques instants pour me remémorer la situation et l'endroit où je me trouve. La nuit passée me reviens en mémoire et mon corps ressent encore les effets des plaisirs vécus. J'ai envie de prendre une douche mais je ne sais pas où est la salle de bain et si j'en ai le droit. La porte s'ouvre. M. Serge entre portant un plateau avec café, thé, lait et tartines.
« Bonjour Mademoiselle K. bien dormi ?
- Oui Monsieur, très bien, merci. Quelle heure est-il ?
- Presque dix heures et demie.
- Déjà ? Je vais devoir vous laisser Monsieur, Monsieur Marc doit m'attendre. Je ne voudrai pas abuser de votre hospitalité. Et puis j'ai des choses à faire.
- K., je vais être franc. Il n'est pas question que tu partes. Je sais que tu n'es pas du tout la soumise de Marc.
- Pardon ? Mais si je vous assure…
- Le mensonge est un vilain défaut, K. Tout ceci était parfaitement préparé. Je vais t'expliquer. En fait, les cinquante trois mille euros correspondent à la somme que ton ami me devait. N'ayant pas la somme pour me rembourser, il m'a proposé de le faire d'une autre manière. Je ne sais pas pourquoi il a pensé à toi, enfin maintenant je le sais », dit-il en souriant.
« Mais un jour il m'a conduit devant chez toi. Quand je t'ai vue sortir, j'ai accepté son mode de remboursement.
- L'enfoiré !!!! Je vais le tuer
- Eh oui, K. les hommes sont comme ça.
- Mais ne me dites pas que toute la cérémonie d'hier soir était bidon ?
- Ah non, du moins pour ce qui était des autres. Disons que pour toi l'arrangement était déjà passé. Mais tu te doutes bien que pour cinquante trois mille euros, la nuit que nous avons passé ne suffira pas.
- Et si je ne veux pas ?
- Penses-tu réellement avoir le choix, jeune femme ? Vois-tu ta robe dans la pièce ? Ne te souviens tu pas que tu es venue dans la voiture de ton ami ? Sais-tu où se trouve cette maison ? Et surtout n'as tu pas remarqué à quoi est relié ton collier ? »
Je réalise soudain qu'il a raison sur tous les points et me rends compte qu'effectivement le collier est relié à une chaine dont le dernier anneau coulisse dans un réseau de barres fixé dans le plafond. Je suis prise au piège. Ce salopard de Marc m'a bien roulée dans la farine.
« Thé ou café ? »
Le ton neutre et presque amoureux de Monsieur Serge me désarçonne, et je réponds presque machinalement :
« Un thé merci.
- Mais ne t'inquiète pas K. je ne te ferai aucun mal. Ce n'est pas mon genre. Même si tu es attachée, je ne t'obligerai à rien de dégradant. Je souhaite juste que nous nous amusions ensemble.
- Oui enfin, je crois que je n'ai pas trop le choix non plus.
- Ce n'est pas faux effectivement. »
A suivre…
Elle arrive dès demain matin :
Et on le ressent, car il est criant de vérité !
Merci Michel, la suite te plaira asurement....