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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Chapitre 10  

Éric et Sébastien

 

Une douce musique s'élevant du rez-de-chaussée me sort de mon sommeil. Je m'étire sur mon lit, reprenant doucement conscience. La nuit que je viens de passer m'a passablement fatiguée, comme le week-end d'ailleurs. Mon corps me tire, me fait mal, mais c'est une douleur si agréable. J'aime ressentir ces tiraillements synonymes d'un plaisir intense. De moments passés à baiser sans retenue. M'être retrouvée attachée ainsi, livrée en récompense à ces quatre hommes pendant toute cette nuit a été une expérience si excitante, que me la remémorer provoque un désir irrésistible de me caresser.

 

Sortant lentement de ma torpeur, mes doigts courent doucement sur mes seins, de la pulpe de mon index, je fais doucement le tour de mes aréoles, provoquant une chair de poule agréable. Doucement mes tétons se tendent. J'aime cette sensation que me procurent mes caresses. Lentement, j'ouvre mes cuisses et plie mes jambes. Je mordille ma lèvre inférieure en gémissant. Je caresse mes seins, les prends à pleines mains, les presse l'un contre l'autre. Je me cambre à former une sorte de tunnel entre mes épaules et mes fesses.

 

Le plaisir que je me procure rien qu'à la caresse de mes seins ouvre irrésistiblement mes lèvres intimes. Les yeux fermés, les images de la nuit me reviennent. Ces sexes qui se succèdent dans ma bouche, dans ma chatte, dans mes mains. Ces bouches qui me fouillent et me procurent du plaisir. Je me tortille sur le lit. Ma main droite glisse entre mes seins, le long de mon ventre pour arriver à mon pubis. Mon index se fraie alors un chemin entre mes lèvres déjà humides. Sans me pénétrer, mon doigt glisse entre, venant au contact de mon petit bouton. Je gémis de plus belle. Les plaisirs solitaires m'ont toujours procuré énormément de plaisir, mais les images qui me viennent décuplent mon envie de jouissance.

 

Très vite, mon index entre en moi pendant que ma paume masse l'entrée de mon intimité. Lentement, le plaisir monte, mais je le retiens, je ne veux pas venir trop vite. Mon majeur rejoint mon index et c'est de deux doigts que je me pénètre. Je me souviens soudain que la chambre est sous surveillance vidéo et j'imagine que M. Serge est derrière son moniteur à profiter du spectacle que je lui offre, ce qui ajoute encore à mon désir de jouissance, désireuse de le remercier du plaisir qu'il m'a offert toute la nuit.

 

La tête en arrière, je remarque le traversin qui trône au sommet du lit. Je m'en saisis et l'amène sur moi entre mes cuisses par dessus ma main droite toujours collée à mon intimité. J'enroule mes jambes dessus et pose ma main gauche dessus afin de mimer un rapport sexuel avec ce semblant de corps. Fait de plûmes, sa lourdeur fait presque illusion. Je bouge mon bassin avec ardeur imaginant un homme me besognant amoureusement. Au bout de quelques minutes, je bascule sur le coté, maintenant toujours le traversin entre mes cuisses. Je les serre contre et bouge sensuellement le bassin, me penchant en arrière mes lèvres vont et viennent contre le tissu de la taie de traversin.

 

Je sens que Monsieur Serge me regarde, je ne sais pas pourquoi mais j'en suis persuadée. D'un mouvement nonchalant, je finis à califourchon sur le traversin. Écartant les cuisses pour être au maximum en contact avec ce mannequin de chiffon, entament un allé-venu de bon bassin comme je le ferais sur un homme. Ma main droite reprend sa caresse et joue avec mon clitoris. Ma main chauffe,  court de mes seins à mes cheveux, puis sur ma bouche. Je mordille mon index, fixant du regard l'un des caméras. Je deviens folle de désir, d'envie de me faire prendre sauvagement par un homme.

 

Toute à mon plaisir, je n'entends pas la porte s'ouvrir. La voix de M. Serge raisonne alors et me fait sursauter.

« Tu es décidément insatiable, Mademoiselle K. Être ton mari ne doit pas être de tout repos.

- Pardon, je n'ai pas pu m'en empêcher.

- Au contraire, jeune femme, au contraire, j'aime ton appétit. Depuis une heure que je te regarde, je me suis rendu compte que tu aimes ça. J'ai donc appelé du renfort. Messieurs, vous pouvez entrer »

 

Je sursaute. Comment ça ? Il a invité des hommes ?

 

Deux hommes font leur entrée dans la chambre. Leur regard en dit long sur leur excitation.

« Cela fait dix minutes qu'ils t'observent et je peux te dire qu'ils ont très envie de toi. ».

 

À peine a-t-il fini sa phrase que les deux hommes sont déjà debout sur le lit, de chaque côté de mon corps, encore à cheval sur le traversin.

« Je te présente Éric et Sébastien, et tu peux voir qu'ils sont impatients de s'occuper de toi. »

 

Éric est un jeune homme brun, d'environ un mètre soixante-quinze, à peine trente ans, il semble plutôt musclé. Son charmant visage presque innocent dénote avec son comportement présent. Son regard presque violent en dit long sur son intention.

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Sébastien lui, semble un peu plus vieux. Plus mince qu’Éric, il doit mesurer un mètre quatre-vingt-dix. Émacié, il est bien moins beau que son complice. Il dégage pourtant un certain charme. À peine ai je eu le temps d'observer les deux garçons que leurs sexes tendus se dressent devant moi. Comme en dehors de mon corps, spectatrice de ce qui se passe, je me vois alors saisir ces deux membres dans mes mains et les masturber en cadence.

 

Mes mains glissent sur chaque sexe, les tendant un peu plus à chaque passage. Impatients, presque maladroits, les deux hommes quittent leurs chemises. Éric est le mieux bâti des deux. Ses abdominaux bien dessinés sont en harmonie avec ses pectoraux et ses bras musclés. L'absence de poil et le hâle de sa peau rehaussent la quasi perfection de son torse. Sébastien est lui tout le contraire. Sa peau blanche fait ressortir sa maigreur. Il est plutôt poilu du torse dont aucun muscle n'est dessiné.

 

La différence entre les deux hommes se voit aussi au niveau de leurs sexes respectifs. Éric est doté d'un sexe qui s'en être court n'impressionne pas par sa longueur. Sa largeur, par contre, me surprend puisque je ne peux en faire le tour avec ma main. Circoncis, son gland est épais, bourrelé. Je ne peux m'empêcher de penser que je vais le sentir passer. Le sexe de Sébastien est un peu comme lui. Long, très long, il est assez fin, presque sans aucun relief. La courbure vers le haut laisse présumer des levrettes absolument jouissives.

 

Ces deux sexes en mains et l'idée de les sentir en moi me font littéralement tremper le traversin sur lequel je continue de me caresser. Je les regarde tous les deux et croise leurs regards pervers. J'ouvre la bouche et sors ma langue. Je la dirige sous le gland d’Éric et  je joue à le faire rebondir sur le  petit matelas sortant d'entre mes lèvres. Il semble aux anges et gémit en basculant sa tête en arrière. Je n'en oublie pas ce cher Sébastien, que je continue à branler fermement.

 

Les deux hommes se sourient en se tapant dans la main. Ma langue tourne autour du gland d’Éric. Je recentre les cercles pour venir récolter le plaisir qui perle de son méat, d'un grand coup de langue. Puis je passe au sexe de Sébastien que j'emprisonne entre mes lèvres. N'en saisissant que le gland, je creuse mes joues comme pour le lui arracher. Un soupir de plaisir et de surprise s'échappe de sa bouche. Mes reins s'activent sur le traversin.

 

Alors que je caresse la queue d’Éric, les mains de Sébastien se pose sur ma tête et me pousse à l'avaler. Sans résister, je le laisse attirer ma tête vers lui et j'avale avec gourmandise son sexe. Arrivé à la moitié, il sent que je ne peux pas plus et relâche l'étreinte. Je recrache son sexe pour pouvoir reprendre mon souffle mais, à peine son gland sorti de ma bouche, ne m'en laisse pas le temps et tire de nouveau pour me pénétrer plus loin encore. Je manque de m'étouffer et de déglutir, mais expertement, il sait le moment où il faut ressortir pour mieux y revenir.

 

Éric, se sentant quelque peu délaissé, tient ma main fermement et se masturbe dedans. Après quelques va et vient du même type, c'est presque tout le sexe de Sébastien qui entre dans ma bouche. Ses testicules peuvent presque toucher mon menton. Il tient alors cette position quelques secondes, ses deux mains fermement agrippées à mon crâne, jambes légèrement pliées, le dos courbé sur moi. Il grommèle comme un ours avant de quitter ma bouche. Un filet de bave relie encore ma bouche à son sexe, quand il attrape ma tête, la tourne vers le sexe d’Éric qui s'engouffre entre mes lèvres sans attendre.

 

Seul son gland arrive à entrer dans ma bouche, écartelée par la grosseur de son sexe. Les yeux exorbités, j'ai du mal à retenir les larmes perlant aux coins de mes yeux. C'est avec difficulté qu'il profane ma bouche. Ma langue ne peut faire autrement que de caresser le dessous de son sexe ce qui semble décupler le plaisir qu'il ressent à prendre ma bouche. Il commence alors un va et vient sauvage. J'aime sentir ma bouche déformée par son sexe. Il baise littéralement ma bouche, la main enroulée dans mes cheveux qu'il tient fermement.

 

Mon bassin, toujours actif sur le traversin, s'électrise au contact de la main de Sébastien qui descend le long du sillon de mes fesses. Son index stoppe sa course sur mon œillet qu'il commence à caresser pour le détendre. Je m'associe à son traitement en me cambrant un peu plus et en accompagnant sa caresse par des mouvements de bassin plus précis. Je prends plaisir à être la chose de ces deux garçons. Continuant à sucer Éric, qui ne me laisse aucun répit, je sens l'index de ce cher Sébastien se frayer un chemin dans mon petit trou.

 

La première phalange est presque entièrement entrée en moi et d'une légère poussée, je l'aide à entrer plus avant. Il décide qu'il n'est plus nécessaire que je le masturbe et il vient se positionner à genoux derrière moi pour mieux me pénétrer de son doigt. Éric vient alors se positionner devant moi et écartant les jambes pour mieux se stabiliser, se cambrant fièrement, il me baise carrément la bouche en me tirant à lui par les cheveux. J'explose sur le traversin. Sébastien récolte le plaisir entre mes lèvres pour faciliter la pénétration de son doigt. Je le sens tourner en moi, se plier se redresser, fouiller mon conduit. C'est une telle sensation !

 

Profitant d'un répit laissé par Éric, sa main se pose sur mes reins pour me forcer à me baisser et ainsi ouvrir encore plus mes fesses. Éric le réprimande et comprenant où il veut en venir, s'assoie en souriant, passant ses jambes de chaque côté de moi pour que son sexe dressé puisse se trouver directement sous ma bouche ouverte. Sa main me pousse à le ravaler et c'est de plus belle qu'il m'oblige à un va et vient.

 

Ainsi cambrée, plaquée contre le traversin, Sébastien présente son gland sur mon petit trou. Je l'entends cracher et sens immédiatement la chaleur de sa salive sur mon œillet, que son gland vient étaler. Je le désire tellement que mon corps tremble. Mon anus palpite à ce contact et c'est moi qui viens, par un mouvement, réclamer la pénétration. C'est presque sans difficulté que son gland entre en moi. Je pousse afin qu'il entre encore plus loin. D'un grand mouvement du bassin, c'est tout son sexe qui me pénètre dans un grand râle. Il pèse alors de tout son poids sur mon corps pour me plaquer plus fort sur le traversin. Ses va-et-vient m'obligent à ressentir la caresse du tissu. Sa main rejoint celle d’Éric pour m'obliger à l'avaler.

 

Au bout de quelques minutes de ce traitement, les deux hommes se retirent. Je reprends doucement mon souffle. Poussant le traversin, Éric vient prendre sa place sous moi. Son sexe tendu caresse mes lèvres gorgées de désir, dégoulinantes de plaisir. Il n'a aucun mal à me pénétrer malgré la taille de son sexe. Je m'empale sur lui avec envie et je me mets à le chevaucher avec frénésie. Les mains d’Éric, se posent sans tendresse sur mes fesses pour les écarter. Il relève la tête pour que sa bouche puisse se saisir d'un de mes seins et mordiller un téton. Il le mâchouille, l'aspire, le maltraite. Les fesses écartées par Éric, Sébastien n'a aucun mal à reprendre sa place dans mon anus, et c'est avec coordination qu'il entame un lancinant mouvement chacun de son côté.

 

J'explose de plaisir à cette double pénétration. J'aime sentir ces deux sexes coulisser en cadence de chaque côté de la paroi qui sépare mon vagin de mon anus. Très vite, l'orgasme monte et c'est en criant de plaisir que je m'affale sur Éric. Ce n'est pas pour autant qu'ils ralentissent, et c'est dans un mouvement frénétique qu'ils continuent leur forage de mes orifices. C'est avec plus de sauvagerie qu’Éric malmène mes seins, et me pénètre. D'un coup, sans prévenir, Sébastien se retire de mon anus. Sans  ménagement, il m'attrape par les bras et me relève. Mes lèvres restent béantes de la pénétration d’Éric.

 

Sébastien passe mes bras autour de son cou et d'un mouvement m'oblige à me soulever de terre. Comme un bilboquet, je m'empale sur son sexe qui entre en moi sans problème. Je crie de plaisir. Ainsi pendue à son cou, il s'agenouille puis s'allonge. Son sexe, plus fin mais plus long que celui d’Éric vient buter au fond de mon intimité alors que je me retrouve à genoux sur lui. Éric saisit mon cou et me pousse à me coucher sur Sébastien. La peur me prend lorsque je sens son gland flirter avec ma petite rose pourtant détendue du traitement que m'a infligé Sébastien. C'est avec appréhension que je le sens se frayer son chemin. Je crie de douleur et de plaisir mêlés.

 

Mon sphincter tire, j'ai peur qu'il me déchire mais au bout de quelques instants de tous petits coups rapides, il cède et c'est avec un plaisir infini qu'il réussi à entrer presque entièrement en moi. Mes deux amants reprennent leur pilonnage intensif et c'est de nouveau que mon plaisir explose. Jamais je n'avais ressenti un tel plaisir à être embrochée par deux hommes.

 

Le torse d’Éric se désolidarise de mon dos, saisissant mes bras, il me force à me redressée, toujours fermement empalée sur leur deux sexes. S'asseyant pour coller ses fesses à celles de Sébastien, je me retrouve à cheval sur leurs deux sexes. Leurs jambes s’entremêlent et couchés sur le dos, ils se regardent en souriant, croisant leurs mains derrière leur tête. Sébastien me sourit et je comprends que, fatigués, ils me demandent de faire un peu le travail à leur place. Je commence alors à bouger sur leurs deux sexes fichés en moi.

 

Je tourne la tête et sourit à Monsieur Serge. Mes mains caressent mes seins et je m'active empalée à la fois par le sexe et par l'anus sur mes deux étalons. C'est moi maintenant qui mène la danse. Et je bouge sur ces deux bites comme une ballerine. Sentant qu'ils sont sur le point de jouir, ils tentent de bouger pour reprendre le contrôle. Mais l'inconfort de la position ne leur permettant pas de bouger suffisamment, je garde les commandes et accentue le mouvement. C'est dans un râle commun qu’ils viennent ensemble dans chacun de mes orifices. Alors que je les sens convulser en se répandant leur sperme au fond de moi, une nouvelle vague de jouissance me submerge et au bout de quelques secondes, je m'affale sur Éric.

 

Ses mains se posent sur mes seins et les caressent. Le visage renversé, je regarde M. Serge en lui souriant. Je lui envoie un baiser suivi d'un « Merci ». Je me désunis de mes deux amants. Pendant plusieurs minutes, allongés tous les trois sur le lit, leurs mains douces et puissantes parcourent langoureusement mon corps. Rien qu'à me caresser ainsi, ils me mènent à nouveau au plaisir. C'est vers dix-huit heures que nos hôtes prennent congés.

 

Monsieur Serge les remercie et ils quittent la maison. Je les soupçonne d'être aussi heureux que je le suis au même instant.

 

A suivre... pour la dernière partie !

Par Miss K. - Publié dans : Les plaisirs de la domination/soumission - Communauté : plaisirs SM
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