Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Ce matin, vous aurez le plaisir de lire la suite de l’histoire vécue de Virginie.
Les Enchères
Quelques semaines après cette soirée à Megève, nous étions alors fin août, Paul me dit :
« Samedi prochain nous irons à Megève chez Serge, tu seras officiellement présentée aux membres du réseau, ce sera une soirée pleine de surprises. »
J’étais à la fois inquiète et curieuse. Tout ce que j’avais fait jusqu’alors par amour pour Paul, m’avait laissé un gout amer, mais j’avoue que parfois j’y avais pris du plaisir.
Cette histoire de réseau m’intriguait plus qu’autre chose, bien que je n’aie aucun doute sur la finalité au moment des faits.
Nous nous sommes retrouvés, Paul et moi, un samedi soir devant le même chalet où avait eu lieu mon « initiation ».
Il y avait sur le parking plusieurs voitures. Aussitôt que nous fumes rentrés, je fus prise en main par une femme, que j’appellerai Mme X, à qui il était difficile de donner un âge .Elle m’amena dans un petit salon situé au rez-de-chaussée. Il y avait là deux autres femmes, l’une était très jeune, vingt-cinq ans au plus, l’autre je m’en souviens très bien une brune de mon âge semblait comme paralysée.
Mme X nous décrivit ce qui allait arriver. D’abord elle allait nous préparer pour que nous soyons présentables selon son expression à « ces messieurs ». Ensuite, nous serions, en quelque sorte, mises aux enchères pour servir « ces messieurs ».
Je compris que la plus jeune femme était là de son plein gré, c’était en fait une occasionnelle. L’autre femme comme moi était présentée par son mari . Mme X nous demanda de nous déshabiller et elle nous donna à chacune des tenues très sexy. Manifestement ces sous-vêtements avaient été choisis spécialement pour nous, car ils correspondaient tout à fait à nos tailles. Je fus pour ma part affublée d’un soutien-gorge à balconnet, d’une guêpière avec portes jarretelles, de bas et d’un string, le tout de couleur anthracite. J’avais gardé aux pieds mes souliers à talon haut qui exagéraient la cambrure de mes reins.
Une heure s’était passée depuis mon arrivée lorsque Mme X nous conduisit au premier étage. Je reconnus la pièce dans laquelle j’avais subi les deux hommes lors de ma première visite. Il avait au milieu de la pièce une estrade avec trois fauteuils, dans un coin brulait un feu de bois dans une cheminée que je n’avais pas remarquée la première fois. Une douzaine d’hommes se trouvaient autour de la cheminée. Chacun portait un masque, je reconnus parmi eux Paul à ses vêtements.
Mme X nous incita à monter sur l’estrade et là, elle nous demanda de prendre place chacune sur un des fauteuils en prenant des poses lascives et abandonnées. J’avais l’impression d’être une marchandise à la merci de ces hommes qui nous scrutaient de façon aigue et pénétrante.
La femme brune à coté de moi semblait ne pas apprécier du tout, quant à la plus jeune elle semblait à l’aise et se prêtait au jeu de l’exhibition sans retenue.
J’étais pour ma part, comme toujours, partagée entre la honte de se que je faisais et la curiosité. Au bout de quelques minutes, je vis les hommes qui levaient leur main de façon un peu aléatoire. Je compris qu’après qu’il s’agissait d’enchères, dont nous étions les objets.
Au bout d’un quart d’heure, Mme X me demanda de la suivre. Elle me conduisit au deuxième étage où je crus discerner plusieurs chambres. Elle m’introduisit dans l’une d’entre elle et me demanda d’attendre en me disant : « Vous avez remporté la première enchère, c’est un bon début pour vous, soyez maintenant à la hauteur… »
Quelques minutes plus tard, « l’heureux élu » entra. C’était un homme de forte corpulence, j’avais à peine eu le temps de le remarquer lors des enchères. En silence et avec brutalité, il m’enleva les quelques sous-vêtements que je portais. Il me dit alors :
« Couche-toi sur le lit et écarte. »
Il se déshabilla rapidement et plus de cent kilos de chair s’abattirent sur moi. Je fus soulevée, il avait relevé mes cuisses avec ses bras, et m’écartait à me faire mal. Il me pénétra avec violence et je dus, quinze minutes durant, subir ses assauts. Il éjacula finalement dans un râle bestial, et à bout de souffle, il me dit :
« Putain, tu es bonne, je te reverrai !»
Il avait gardé son masque tout au long de notre rencontre. Il se rhabilla et quitta la chambre sans un mot de plus. Dans la chambre d’à coté, je pus entendre quelques sanglots qui provenaient probablement de la femme brune. Je venais juste de me rhabiller lorsque Mme X entra dans la chambre. Elle me conduisit de nouveau au premier étage. Ce fut encore la séance des enchères, nous n’étions plus que deux, la jeune femme et moi-même.
Après dix longues minutes, je fus de nouveau reconduite dans la chambre. Quelques instants après on frappa à la porte, surprise j’ouvris la porte. L’homme était cette fois beaucoup plus svelte, avec des allures de gentleman et d’emblée il enleva son masque. Il me déshabilla avec beaucoup de délicatesse, puis il me coucha sur le lit et se mit à me caresser le clitoris tout en embrassant mes seins. Au bout de quelques minutes, je sentis monter en moi du désir.
« Tu coules », dit il en m’introduisant un, puis deux doigts dans mon vagin. Et soudain mon plaisir explosa. Il se déshabilla et vint s’étendre sur le lit à mes cotés. Je fus alors prise d’une envie très forte de lui faire plaisir à mon tour. Je mis son sexe dans ma bouche et doucement l’amena a sa taille d’érection. Je me mis à cheval sur lui et m’empalais sur sa verge. Je me mis à faire des mouvements de va et vient, prenant soin de contrôler son érection. Après plusieurs minutes, il me fit me retourner. De nouveau, je m’enfonçais sur lui, il avait une vision sans équivoque sur mes fesses et mes lèvres qui l’aspiraient à chaque remontée de mes reins.
Je l’entends encore dire : « Tu es magnifique, ton cul est beau, tu m’excites ! »
J’étais comme dans un état second, je ne me maitrisais plus. Je ne sais plus à quel moment nous avons joui en même temps.
Il est resté plusieurs minutes contre moi, puis m’a dit : « J’aimerai te revoir, j’habite Lyon, je t’appellerai, tu veux bien.
- Oui je veux bien », ai-je répondu.
La soirée s’est terminée ainsi lorsque Paul est venu me chercher dans la chambre une demi-heure plus tard. Alors que nous allions vers notre hôtel, il me tendit une enveloppe, il y avait à l’intérieur plusieurs centaine d’euros.
« Voila ce que tu as gagné, j’ai donné ton numéro de portable aux membres du réseau qui étaient présents ce soir, ils te contacteront.
- Et si je refuse de les voir qu’arrivera t il ?
- Rien, répondit Paul. Tu n’es pas obligée, mais je sais que tu iras à leur invitation ne serait ce que pour ton plaisir… »
Paul avait probablement raison, car à ce moment-là, j’étais toujours par amour pour lui, et aussi par curiosité, partagée entre l’envie de dire stop et l’envie de continuer ce que je considérais comme un jeu. J’allais être amenée a faire des choses dont je n’avais pas envie, je refuserai j’en étais sûre, je ne savais pas alors les conséquences que cela pourrait avoir pour moi , mais c’est la suite de mon histoire .
Ce récit est passionnant.