Présentation du blog

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Contact
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recommandez ce blog à vos amis

Recherche

Suivi RSS

  • Flux RSS des articles

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,


Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

J'espère que vous l'appréciez !

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie


Alice raconte : Au mois de septembre, après plusieurs mois de chômage, j’ai enfin décroché un contrat à durée déterminée. Un remplacement de quatre mois dans une grande entreprise qui occupe plusieurs étages d’une des tours de bureaux de La Défense dans la banlieue ouest de Paris. C’est un poste d’hôtesse d’accueil qui me convient parfaitement. Je suis contente de cet emploi, la société est vivante, son personnel nombreux est dynamique et sympathique. Ainsi, je retrouve avec plaisir ce travail qui m’a toujours plu au contact des autres. A 35 ans, j’ai toujours ma silhouette longiligne de jeune fille. Grande brune avec de cheveux lisses taillés en carré tombant à quelques centimètres des épaules et les yeux bleu foncé, j’ai une poitrine menue et des hanches étroites. Je partage ma vie depuis plusieurs années avecTony, un espagnol d’origine qui, hélas, trois fois hélas, est très souvent absent de la maison pour des raisons professionnelles. Lorsque nous nous retrouvons, parfois après deux ou trois semaines de séparation, nous nous offrons des parties de jambes en l’air qui me laissent épuisée, tellement c’est un amant fougueux et endurant. Avec lui, je suis parfaitement heureuse […]
Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Divines et Libertines
Donnez votre avis... - Lisez les 1 messages

Je réponds d'une manière hésitante, non pas par inquiétude, mais parce que dans le même temps, je me demande ce que ces deux-là me réservent. Je sais que ce ne peut être que formidable. Ils sont tellement beaux, sensuels et doux. Je sais qu'ils vont me faire jouir. Mais comment ? « Bon, dépêchez-vous, mes chéris, je meurs d'impatience ! » Je m'étais à nouveau installé sur le canapé. Cindy et Claude quittent leurs chaises. Ils sont debout devant moi. Ils se tiennent par la taille. Ils sont beaux tous les deux. La nudité leur va à ravir. Claude, grand et mince, son côté asiate lui donne un charme fou. Sa queue longue et fine frémit tandis qu'il me regarde avec un petit sourire. Cindy, elle, ou lui, est splendide. Sa poitrine n'est en rien incongrue. Sa taille est bien prise ajoutant encore à sa féminité, mais cet épais rouleau de printemps qui pend entre ses jambes, rappelle que c'est un homme. Cela le rend encore plus attirant. Lui aussi sourit en me regardant. Ils restent là silencieux, semblant se demander à quelle sauce ils vont me déguster. Cette attente et leur beauté m'excitent. Je bande de désir. C'est une version plus que très savoureuse du supplice chinois. Des moments […]
Par Mario. - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
Donnez votre avis... - Lisez les 3 messages

Fils unique de petits fonctionnaires de l’administration coloniale, j’habitais alors une grande ville du littoral algérien et nous avions coutume avec mes parents de nous rendre dès les premières vacances de Pâques, chez mon oncle et ma tante, modestes agriculteurs de la Mitidja, propriétaires d’une ferme située à une trentaine de kilomètres de la côte. Nous y étions invités en général le dimanche des Rameaux, pour le déjeuner, fort copieux, pris dans la demeure familiale après la messe du matin. J’avais quatorze ans et ma cousine Elizabeth que nous appelions familièrement « Babeth » en avait treize, et au grand désespoir de mon oncle, était aussi l’enfant unique du couple qui ne pouvait plus avoir de descendance. Cette année-là, j’avais été frappé par la transformation qui s’était opérée en elle, superbe jeune fille dont les formes commençaient à s’épanouir sous la robe légère qu’elle portait ce jour là, la chaleur du printemps algérien faisant déjà son œuvre. Fuyant le repas qui s’éternisait, nous avions gagné la grande et belle terrasse pavée de tomettes de terre cuite qui, à l’étage, prolongeait la chambre de ma cousine et nous nous étions assis à même le sol, contre le […]
Par El Seductor 84 - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Histoire érotique
Donnez votre avis... - Lisez les 3 messages

L’Oncle ne disait mot et fixait de ses yeux bleus ceux de sa Nièce, ils échangeaient leurs âmes et ce, pour la première fois, rivés par le regard, troublés, l’on aurait presque dit déjà deux Amants cherchant là à se séduire… Le Tonton tendit la main vers le petit sexe encore légèrement entrouvert par où coulait toujours un filet de foutre à demi figé… il y mit un doigt… le porta à sa bouche et le suça, en regardant toujours sa Nièce dans les yeux… elle rougit un peu, mais ne cilla, sûre de sa jeunesse et de sa beauté de petite Faunesse jouant un peu de son charme sur le vieux Monsieur… Il suivit à nouveau d’un doigt la belle fente offerte à sa convoitise et goûta une seconde fois au sperme qui en sortait, embroussaillant les fines soies blondes poisseuses et collées… Il s’agenouilla, écarta de ses deux mains les genoux de la nubile jeune fille et là se laissa aller à laper doucement le fin lait séminal de l’animal, écartant le petit con ourlé de rose, humide et parfumé de foutre et de cyprine… Il se régalait, comme au temps où son épouse, la belle et blonde Marquise de Villey partageait avec lui ce genre de caresse au débotté en un salon… La Petite commença à se tortiller […]
Par Marquis de Chair - Publié dans : Le Boudoir du Marquis - Communauté : Les récits érotiques
Donnez votre avis... - Lisez les 4 messages

Le vieil homme sommeillait, assis en un profond fauteuil, la perruque de travers, un beau septuagénaire ne manquant point d’allure, ayant la superbe d’un noble Aristocrate. Le Marquis de Villey était en sa Gentilhommière en Sologne, vivant seul avec sa jeune nièce, une belle jeune fille de seize printemps, fille de sa sœur et dont il était le tuteur depuis la disparition de ses parents avant l’heure. Il fut tiré de son assoupissement par un ensemble de petits cris et d’aboiements répétés… C’était à l’étage et semblait provenir de la chambre de sa nièce, montée se reposer en ses appartements pour une sieste peut-être… la domestique n’ayant point entendu, occupée au jardin à cueillir quelques roses au fond de la roseraie, pour fleurir, comme à son habitude, le Grand Salon, l’homme se leva donc et monta lentement le grand escalier de marbre, se tenant à la large rampe au verni noir et brillant. Parvenu à l’étage, il souffla un instant… plaintes et aboiements reprirent… entrecoupés de sanglots étouffés ; le vieux colla une oreille à la large et haute porte décorée à l’or fin… écouta… rien… Des pleurs comme retenus assortis de gémissements couineux de chien se faisaient entendre, […]
Par Marquis de Chair - Publié dans : Le Boudoir du Marquis - Communauté : Zoo en fête
Donnez votre avis... - Lisez les 3 messages

Alfred de Musset : Quand je mets a vos pieds un éternel hommage, Voulez-vous qu'un instant je change de visage ? Vous avez capturé les sentiments d'un cœur Que pour vous adorer forma le créateur. Je vous chéris, amour, et ma plume en délire Couche sur le papier ce que je n'ose dire. Avec soin de mes vers lisez les premiers mots, Vous saurez quel remède apporter à mes maux. Et la réponse de George Sand Cette insigne faveur que votre cœur réclame Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
Par Sophie de R. - Publié dans : Mes petites infos... - Communauté : Les récits érotiques
Donnez votre avis... - Lisez les 1 messages

Lettre envoyée par Aurore Dupin (romancière francaise du XIXe siècle), dite George SAND (son nom de plume) à Alfred de MUSSET (écrivain francais). Cette lettre est authentique. A vous de découvrir l’érotisme caché. Je suis très émue de vous dire que j’ai bien compris l’autre soir que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit là une preuve que je puisse être aimée par vous. Je suis prête à vous montrer mon affection toute désintéressée et sans cal- cul, et si vous voulez me voir aussi vous dévoiler sans artifice mon âme toute nue, venez me faire une visite. Nous causerons en amis, franchement. Je vous prouverai que je suis la femme sincère, capable de vous offrir l’affection la plus profonde comme la plus étroite amitié, en un mot la meilleure preuve que vous puissiez rêver, puisque votre âme est libre. Pensez que la solitude où j’ha- bite est bien longue, bien dure et souvent difficile. Ainsi en y songeant j’ai l’âme grosse. Accourez donc vite et venez me la faire oublier par l’amour où je veux me mettre GEORGE SAND (1835) Vous avez compris ? Si ce n'est pas le cas, trelisez-la en sautant les […]
Par George Sand - Publié dans : Les textes historiques - Communauté : Histoire érotique
Donnez votre avis... - Lisez les 7 messages

Troisième partie A la maison, chaque fois que le téléphone sonne, je sursaute craignant que ce soit Sophie. Heureusement, ma ligne est protégée et seuls quelques collaborateurs triés sur le volet connaissent son numéro. Le weekend se passe calmement, mais je suis angoissé. Je n’ai pas cessé de retourner le problème dans tous les sens, cherchant la meilleure solution. A un moment, je pense tout avouer à ma femme et déposer plainte à la police, mais je finis par comprendre que cela pourrait me couter très cher : un divorce, le scandale dans l’entreprise, bref ce n’est pas le bon choix… Dès la première heure le lundi, je contacte un ami en qui j’ai une confiance absolue, dans son jugement et sa discrétion. Je lui expose mon problème et il me conseille « d’allumer un contre feu ». Je ne vois pas trop bien ce qu’il entend par là ! Mais il m’explique que, si je le veux il peut contacter un détective privé pour nous fournir des renseignements compromettants sur le passé de Sophie, afin de l’obliger à laisser tomber son chantage ignoble. Ainsi, j’aurais de la matière pour la neutraliser définitivement. Mon ami me propose d’appeler lui-même l’enquêteur. Cela me soulage profondément et […]
Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Récits Erotiques X
Donnez votre avis... - Lisez les 1 messages
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés