Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
En début de mois, vous vous souvenez, j’avais été « dépannée » par un homme très laid, mais très « serviable ». Comme il avait mon numéro de portable, communiqué par l’Assistance pour me retrouver sur la route, il n’arrête pas depuis de me relancer, pour recommencer.
Mais comme je le dis souvent, pour moi, c’est une fois, et puis, basta.
Toujours est-il qu’il m’a encore appelée hier. J’ai profité de cela pour lui demander où trouver les pneus les moins chers de la place. Il a réfléchi, et m’a proposé de me rappeler plus tard.
Ce qu’il a fait une heure après.
Il m’a indiqué un garage et m’a demandé :
« Es-tu prête à payer de ta personne ?
- Ca dépend, du lieu, de qui demande quoi…
- Tu verras, si tu es ok, fais un signe au patron. Il saura de quoi tu parles. »
Bon, je savais à quoi m’attendre, et cette possibilité me faisait déjà mouiller... Je compte bien profiter de mes trois derniers jours de liberté pour continuer mon overdose de sexe.
Je me rends donc dans le garage indiqué. Là, tous les volets roulants sont clos, sauf un. Je rentre, cinq hommes sont là. Tous des mécanos, au vu de leurs tenues et de leurs mains bien noires de graisse…
Ce que je vois me convient. Ils ont des bonnes tètes. Je me fais peut-être des idées, mais je suis sure d’en voir un bander…
La patron s’approche, me demande de le suivre près de la voiture, pour la taille des pneus. Il me glisse à l’oreille :
« Pour vous, c’est gratuit, Jo m’a parlé de vos talents. Vous me proposez quoi ?
- Je m’exhibe, vos ouvriers me matent, se branlent, mais ne me touche pas. Ou juste de la langue. Leurs mains sont trop sales. Je ne les touche pas non plus. Pour vous, on fait la totale. Devant eux ou sans eux, comme vous voulez. Mais tenez-les !
- Ok, pas de soucis, ils obéiront. Je vous prends devant eux.
- Et aussi, j’exige la plus grande discrétion sur ce marché. Si un de vos mecs parle, je dis que vous m’avez violée…»
Il rentra, ordonna d’un ton sec de changer mes pneus. Jamais je n’ai vu cette opération se dérouler si vite !!!
Puis il prit une planche, un coussin trouvé dans le bureau, et les posa sur le pont.
Je compris où il voulait en venir. Je m’assis dessus, et il leva l’engin. Il le stoppa quand la planche fut à hauteur des yeux de tous. Je portais une jupe noire, ample, sans culotte dessous. Pas la peine, vu ce qui m’attendait !
J’étais assise à la hauteur de ces inconnus, et je devais leur en donner pour leur argent ! Le parton leur rappela brièvement les conditions, ils acceptèrent tous.
Alors, j’ouvris mes jambes, pour leur exposer ma chatte épilée trempée. Ils s‘approchèrent, et en baissant les yeux, je voyais qu’ils commençaient à se branler.
Jolie brochette de bites…
De voir leurs yeux exorbités m’a excitée à mort, tout autant que de les voir se masturber à fond. J’en ai fait autant, titillant mon clito, ouvrant largement ma fente à deux mains. Je coulais bien, trop excitée par la situation. J’ai toujours adoré m’exhiber comme ça.
Un des mecs, un chabin, se passait la langue sur les lèvres, je lui demandais donc de venir…
Il obéit immédiatement, et bonheur de la situation, avait sa langue pile à la hauteur de ma grotte. J’ouvris à nouveau bien grand ma chatte, et il plongea dedans, avec une langue puissante et bien dure.
Du coup, les autres se branlaient encore plus fort. Un premier n’y résista pas, et jouit. Je vis le sperme blanc s’écraser mollement sur le sol noir du garage.
Moi non plus, je ne résistais pas. J’eu un premier orgasme, assez fort, sous la bouche experte du mécano.
Du coup, il but mon liquide intime avec avidité. Ce qui le fit jouir, lui aussi.
J’en avais déjà achevé deux…
Soudains, je vis la lumière du soleil apparaitre. Un peu inquiète, j’ai rabattu ma jupe. Fausse alerte, ce n’était que le dépanneur, bien décidé à profiter aussi de la situation.
Très vite, en habitué, il vint aussi me dévorer l’abricot, prêt à éclater. Les mots crus ont commencé à fuser, et dans cette situation, j’adore ça…
« Putain, la blanche, elle est bonne !
Quelle salope, elle en veut !
Je veux bien la baiser à fond, lui défoncer la chatte !
Une garce comme ça je veux la planter avec mon pieu, etc… »
Je jouis encore, plus fort cette fois. Le patron s’approcha, avec un morceau de gros tuyau, recouvert d’une capote. J’attrapai ce gode improvisé, et me l’enfonçai sans problèmes dans ma chatte avide… Après deux orgasmes, j’avais trop besoin d’un gros machin pour me labourer un peu.
En me voyant me pistonner toute seule, deux autres explosèrent. Un lâcha vraiment pas mal de foutre. Je suppose qu’il n’avait pas éjaculé depuis longtemps !!!
Seuls le patron et le dépanneur n’avaient pas joui.
Le boss fit descendre le pont. Il l’arrêta à la hauteur de son bassin, juste un peu plus bas.
D’abord, il me fait allonger sur le dos, les jambes posées sur ses épaules. Il avait les mains propres, et avait enfilé une capote. D’un seul coup de rein, il me pénétra, assez fort. Mais j’avais besoin de cette poussée, besoin d’un gros pieu chaud et vivant. Le tuyau n’était pas le mieux…
Il saisit mes hanches pour leur imprimer un puissant mouvement de va et vient. Les ouvriers se sont approchés pour mieux voir comment il me baisait. Du coup, je les ai tous vus rebander illico !
J’étais bien, là, bien pistonnée, et avec sous les yeux de jolies queues prêtes à jouir. Le dépanneur passa sous le pont, et me présenta sa bite à sucer. Je le fis pour le remercier de m’avoir offert cette superbe partie d’exhib. Il éjacula très vite, comme la dernière fois. Je laissais sa crème couler de mes lèvres.
A ma grande surprise, je vis le patron cueillir cette semence, et la manger… Jo était aussi ahuri que moi !!!
Alors, il redoubla son pilonnage intensif, ce qui me provoqua mon quatrième orgasme. Il jouit aussi, si fort que je sentis le liquide chaud à travers le latex.
Épuisée mais comblée, je me relevais, et descendis du pont. J’allais m’assoir dans la voiture, pendant que les mécanos me demandaient tous de me voir seul, ou à plusieurs, mais pour un vrai gang bang. Je ne sais pas encore si je vais dire oui.
Ce matin, j’y réfléchis encore !
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