Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Comme les histoires zoophiles battent à nouveau tous les records de fréquentation, je publie ce soir l’histoire écrite par Fran. Merci à lui.
Carole, superbe blonde de vingt-quatre ans, sort de la douche. Elle admire son corps splendide dans la glace, avec ses seins hauts perchés au bout proéminent, et son minou épilé de frais. Une bombe. Elle ne peut s'empêcher de se caresser. Elle s'enroule dans une serviette, et décide de piquer une tête dans la piscine.
Le couple de dobermans, Lady et Duc, se prélasse sous le murier platane. Soudain, le téléphone sonne. Carole se précipite dans le salon. Lady, surprise, part après elle. Trop tard, arrivée près du combiné, la sonnerie s'arrête.
En se retournant, Carole reçoit Lady de plein fouet sur sa poitrine, et roule sur la moquette. La serviette s'ouvre et tombe au sol. Suite au choc, les jambes se sont largement écartées. Lady fixe la chatte de la jeune femme en passant sa langue sur ses babines.
« Mais, qu'est-ce qu'il t'arrive ? Tu as eu peur, mais c'est juste le téléphone. »
La tête de Lady se faufile entre les cuisses de sa maitresse, et renifle la fente.
« Lève toi de là, gronde Carole, tu entends, allez, couché. »
Carole essaie de repousser la chienne en la saisissant par les oreilles, en vain. C'est un combat inégal qui s'engage. Petit à petit, Carole perd pied. A plusieurs reprises, la langue râpeuse lèche les lèvres, jusqu'à décalotter le clitoris. Elle tente une nouvelle fois de repousser les assauts de la chienne, mais la sensation qu'elle sent entre ses cuisses, l'agréable chaleur qui se consume au creux de son ventre sont plus fortes. Lady a compris, elle accélère ses léchages, vrillant même sa langue pour fouiller l'intérieur du vagin.
« Oh… mon dieu, gémit Carole, polissonne, qu'est-ce-que tu fais à la petite chatte de maman ? Ah... c'est bon tu sais... Vas-y, gouine moi ma chérie... Bien sur le petit bouton… oui...oui… »
Carole fait rouler le bout de ses seins entre ses doigts en hurlant de plaisir. Lady, pensant avoir fait mal à sa maitresse, lui lèche le visage, et s'allonge à côté d'elle. Après avoir repris ses esprits, Carole prend la tête de la chienne, et l'embrasse sur la bouche. Elle va à la salle de bain pour se laver, et monte à sa chambre, entièrement nue. Elle s'assied sur le lit, et réfléchit à se qui vient de lui arriver.
« Mon dieu, se dit-elle, comme je me suis faite sucer, quelle garce je suis ! »
Carole sent une présence dans la chambre. Elle lève la tête, et aperçoit les deux gros chiens assis devant elle. Elle remarque la bite de Duc à moitié sortie du fourreau de poils. Les pensées les plus érotiques traversent son esprit.
« Alors mes bébés, on surveille maman ? Toi, je suis fâchée Lady, tu as été vilaine avec moi ! »
L'odorat du chien, très développé, capte l'odeur de mouille qui émane de la chatte de Carole, et ce malgré la brève toilette. A voir la façon dont Duc tire la langue, Carole comprend qu'il a des envies bien précises. Il s'avance et se dresse devant sa maitresse.
Celle-ci, essayant de s'enfuir, tombe à genoux sur la moquette. Duc la pousse en avant, et lui monte dessus. Carole prend appui sur ses mains. Elle sent la queue de Duc, devenue énorme, glisser entre ses fesses.
« Pas çà Duc, supplie-t-elle, tu as une chienne toi. Ce n’est pas bien ce que tu fais. !!! »
Mais la queue a commencé à s'introduire entre les lèvres de sa maitresse. Il entame de brusques va et vient dans la chatte de Carole. Elle hurle de douleur. Lady, impassible, assiste à la scène.
« Aie... aie... Duc, implore-t-elle, tu me fais mal… aie... tu es fou… assez… assez… »
Comme si elle la plaignait, Lady vient se placer face à sa maitresse, et lui lèche le visage. Petit à petit, la douleur qui tenaillait Carole, s'estompe pour laisser la place à une agréable chaleur de bien être. La queue du chien est maintenant enfoncée jusqu'au fond, énorme.
« Ah...Salaud… comme tu me niques mon chien...vas-y...régale ma petite chatte...ah… il te nique comme çà Lady ? Quelle chance tu as... Quel coup de queue... Putain... Comme je suis en train de me le faire mettre... oui… oui… »
Duc aussi commence à couiner. Soudain, dans un mouvement brusque, il passe une patte par dessus le dos de Carole. Ils se retrouvent cul à cul, collés entre eux. Au cours de la manœuvre, la queue s'est vrillée dans la chatte de Carole.
-Aie… aie... il va me déchirer le salaud... aie…Lady… Aide-moi. je t'en supplie... il me remplit... oh.oui… »
Carole ouvre la bouche pour embrasser Lady. Sa langue est happée par celle de la chienne. Un baiser de feu, indécent et vicieux. Duc finit de vider sa semence dans la chatte de Carole. Il se retire, la queue pleine de mouille. Il bouscule Lady, et vient placer sa bite contre les lèvres de sa maitresse. Carole a compris. Elle saisit la queue, et commence à la sucer pour la nettoyer. Lady, elle, change de place, et nettoie la chatte de sa patronne.
Carole va se faire prendre tout l'après midi, le couple de dobermans a décidé de s'amuser avec elle, de la faire hurler de plaisir. Elle offre même son petit trou pour que Duc l'encule. Puis, épuisée, les yeux cernés, elle s'écroule sur la moquette.
L'après-midi a été torride, intense, riches en découvertes sexuelles.
A la suite de cet après-midi si plein de surprises, Carole a définitivement pris gout aux rapports zoophiles.
Le matin, quand son mari est parti au travail, elle ouvre la baie vitrée, et fait renter les deux chiens. Elle s'accroupit et les embrasse sur la bouche. Puis l'instinct animal prend ses droits. Duc passe son museau sous la serviette, et renifle la chatte déjà humide. Lady arrache le semblant de vêtement. Carole se retrouve entièrement nue. Puis, lentement, les trois amants regagnent la chambre.
Ils passent des moments de luxure et de totale débauche tout le temps où son mari est absent…
Ecrit par Fran.
J'ai commencé, je vais continuer. Il m'a aussi lapé la queue, mais j'avais un peu peur... J'ai joui dans sa gueule, il a tout mangé !
Ces derniers temps je suis à fond sur les histoires les plus... choquantes... Zoophilie, humiliation...
Je culpabilise un peu mais c'est si bon... a l'état de fantasme c'est tellement agréable, mais je ne sais pas si en réalité je serais capable de tout ça...
Merci, je suis heureuse que ca e plaise. Il ne faut pas culpabiliser.. les fantasmes sont aussi un exutoire. Il est logique d'y mettre les choses les plus folles. Après, il n'est pas toujours necessaire de passer à l'acte, surtout si c'est trop "extreme". Et là, chacun a ses limites. Libre à lui, ou à elle, de les franchir ou pas. Mais ce doit etre en pleine conscience, et sans danger !
Tant mieux si ces histoires te plaisent;.. Qui sait, un jour tu passeras peut-être à l'acte...
Félicitation trés belle histoire. J'image ses moment de luxure.
Bisous
Ils ont été intenses !
Et c'est une deocuverte pas facile à faire, puis à assumer !