Je venais d'avoir quatorze ans quand mon père se mit en ménage avec une femme plus jeune et très autoritaire envers moi. J’étais un jeune garçon très timide et gringalet et ma belle-mère était tout le temps après moi et ne me supportait pas. Elle réussit à convaincre mon père de m'envoyer chez des amis à elle pour passer les trois mois de vacances d'été. Je me rendis donc chez ces amis par le train, et fus accueilli à la gare par une femme de quarante ans, très jolie, elle me dit qu'elle était une très bonne amie de ma mère et que je devais l'appeler « ma tante ».

Arrivés à la maison, elle me présenta, son mari et son fils de dix-sept ans, puis elle me fit visiter la maison en m'indiquant les corvées que je devais effectuer tous les jours (faire les lits, nettoyer la salle de bain, préparer les repas avec elle…).

Nous arrivâmes dans la chambre de son fils Amir: il y avait un lit de deux places et elle me dit que j'allais dormir avec lui et que, comme ça, elle gardait la chambre d'amis pour mes parents. Puis elle m'explique comment ranger les vêtements d’Amir et où mettre son linge sale. On retourne dans la cuisine, elle m'explique où se trouvent les ustensiles et elle me dit après les repas :

« Nos  hommes vont se reposer devant le télé et nous, on débarrassera et on fera la vaisselle toutes les deux. »

J'ai été étonné qu'elle parle de moi au féminin mais je n'ai rien répondu. Je me rendais surtout compte que j’allais être le larbin de service pour la famille, et que ces vacances n’en seraient pas !

La soirée s'est passée normalement et on a regardé la télé tous ensemble, moi assis à coté de Amir, chacun de son coté du canapé. A vingt-trois heures, elle nous dit :

« Allez vous coucher et toi Karim, viens faire un bisou à ton oncle et à ta tante.»

J’embrasse mon oncle et j'arrive à ma tante, là elle me prend la tête entre ses deux mains et me dit d'un air très tendre :

« Tu vas dans la chambre, tu mets ton pyjama, tu te couches et tu fais un très gros bisou à Amir. D’accord ma grande ? »

Je lui réponds que je suis d'accord, même si je me demande pourquoi elle précise cela.. Elle dit alors à Amir qui me prend par la main :

« Ne sois pas trop pressé, va doucement avec elle. »

Mais pourquoi parle-t-elle toujours de moi comme une fille ???

On se couche, moi en pyjama, Amir nu, mon regard a été attiré par son zob de quinze centimètres au moins au repos. Amir le voit et me dit :

« Elle te plaît ma bite ? »

Je ne réponds rien, je suis bien trop timide, et je n’avais encore jamais vu d’autres queues que la mienne, bien plus petite.

Alors Amir me souffle :

« Approche et embrasse-moi comme ma mère te l'a dit. »

Sans broncher, je m'approche de lui, il ouvre les bras, me serre contre lui et me fait quatre ou cinq petits bisous sur la bouche. Je me sens toute chose et un peu gêné, mais je reste dans ses bras contre lui à attendre. Il me fixe dans les yeux, passe sa langue sur ses lèvres, s'approche doucement de ma bouche et me roule ma première pelle. Je m'endors difficilement, plein d’idées contradictoires... Normalement, c’est une fille qui embrasse un garçon comme ça, pas un homme… Mais c’était si bon…

Je suis réveillé au petit matin par Amir, qui est collé dans mon dos et me parle à l'oreille :

« Ma chérie, réveille-toi… »

Je tourne la tête vers lui, il m'embrasse et me dit :

«  J'ai mal dormi cette nuit et j'ai envie que tu me suces, ma chérie… »

Je ne bouge pas, (trop timide), et je ne suis pas sur de ce qu’il veut vraiment. Je reçois une claque sur les fesses qui me fait descendre immédiatement sous les draps jusqu'à happer la queue d’Amir dans ma bouche. Elle sent fort, mais le goût me plaît tout de suite et je me mets à le sucer avec plaisir, à mon grand étonnement.

Assez vite, Amir m’ordonne :

« Arrête je vais jouir, mets-toi à genoux et ouvre la bouche. »

Docile, je me mets à genoux, bouche ouverte: il pose le gland de sa queue sur le bord de ma lèvre et se branle, il jouit quatre grosses saccades et me dit de ne pas avaler et de rester la bouche bien ouverte. il prend son téléphone et me filme et, tournant autour de moi, il baisse mon pyjama, me fait écarter les fesses avec les mains, revient vers mon visage et me dit : « avale ! »

Ce que je fais sans faire de grimaces, bien au contraire. Il me fait nettoyer sa queue puis toujours, en me filmant, il me demande de lui dire si j'ai aimé, si je veux qu'il recommence et si ça me plait d'être sa femelle. J'ai répondu oui à toutes les questions.

Voila comment, en une journée et une nuit, ma belle-mère a fait de moi une petite salope de quatorze ans, amoureuse d'un jeune de dix-sept ans, avec la bénédiction de ses parents.

A suivre...