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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Gilles est le nouveau moniteur de gym de la salle de sport. C’est un superbe athlète d’un mètre quatre vingt dix, pour cent dix kilos, assez bien monté. Une belle paire de couilles, et une bite dans la moyenne. Il fait l’admiration de ses copains d’entrainement, sauf peut être de Doumé et de Moussa, deux jeunes blacks, inscrits depuis peu. Gilles se sent complexé quand il les croise lors de la douche. En effet, en voyant se qui pend entre leurs jambes, il comprend qu’ils ne jouent pas dans la même catégorie.  Les deux blacks ont un sourire moqueur en voyant le sexe épilé de leur moniteur, comme des couilles de petits garçons.

 

Mais quand Gilles cache un secret : quand il rentre chez lui, il est réduit à l’état de lopette, soumis, humilié par les jeux sadiques de son épouse Sarah, âgée de vingt cinq ans. Il est dix-sept heures ce samedi, et après avoir fait un peu de jardinage, Gilles va prendre une bonne douche, puis regagne sa chambre, pour revêtir une tenue un peu spéciale.  

 

C’est Sarah qui s’occupe des quelques accessoires qui appareillent certaines parties du corps de son soumis de mari. Le visage est caché par une cagoule qui ne laisse apparaitre que les yeux, le nez et la bouche. Un large collier avec mousqueton lui enserre le cou. Entre ses jambes, un cockring séparateur de couilles est fixé à un anneau placé à la base de la bite. De cet anneau, partent deux filins munis de pinces qui se fixent sur les mamelons, quant à la queue, elle est prise dans une espèce de cage. L’ensemble est fait de cuir. Il attend patiemment que son épouse vienne le chercher.

 

Quant à Sarah, elle est vêtue de cuir noir. Short moulant, soutien gorge au bout saillant, campée sur des cuissardes à talon haut. Elle saisit un fouet, puis une laisse pendue derrière la porte, qu’elle fixe au mousqueton. Elle vérifie la bonne mise en place de cet accoutrement pour le moins bizarre.

 

« Allez mon toutou, à quatre pattes, ordonne-t-elle. Je t’emmène à la niche rejoindre ton mâle, il a besoin d’une femelle pour lui vider les couilles.

- Non maitresse, supplie Gilles… Pas le chien… j’ai mal quand il m’encule... il  me griffe le dos…

- Oh ça va, lopette, ça reste qu’un coup de queue, tu rigolais bien quand tes copains me sodomisaient en levrette, je n’en suis pas morte. Tu verras, après quelques va et vient, tu vas aimer. Allez, mets-toi en place. Dick, mon chéri, viens voir, maman t’a apporté de quoi jouer. »

 

Un énorme molosse sort de la niche, les babines dégoulinantes de baves, la respiration saccadée. Toute l’attitude du mâle en manque de chienne. Sarah passe sa main sous le ventre, caresse les testicules, branle la bite déjà en érection. Dick saute sur place, tourne en rond, jusqu’à ce que sa maitresse le stabilise contre les fesses de son mari. Le chien glisse son museau entre les cuisses de son nouveau jouet, lèche la bite qui balance entre les jambes, prend les couilles dans sa gueule. Dieu merci, il ne serre pas.

 

Puis il monte sur le dos de Gilles. La bite cogne contre le petit trou du moniteur de gym. D’un coup sec, il fait sauter le verrou du sphincter, pénètre les entrailles à sec. Sa femme ne s’est pas donnée la peine de lubrifier l‘étroit conduit anal.. Le cri est horrible, Gilles en larmes, hurle de douleur.

 

Sans broncher, Sarah assiste à la saillie de son époux. Elle prend plaisir à voir son colosse de mari, se faire prendre par un molosse en manque de femelles, à tel point, qu’elle ne peut s’empêcher de glisser une main dans son short, et de se doigter violemment le clitoris. Dick, la langue pendante, s’acharne sur Gilles, lui laboure le dos. Les premiers couinements de la bête se font entendre. Au moment ou Sarah atteint l’orgasme, le chien se vide les couilles dans le cul de son maitre. Gilles sent le liquide chaud gicler en lui.

«  Ah !!! Assez… s’il te plait, dis lui de se retirer… j’ai mal… aie… aie…

-Tout doux mon chien, dit-elle en le caressant, papa a sa dose… tu lui as bien donné, la soirée  n’est pas finie… ; »

 

Puis le couple regagne l’intérieur de la villa, pour une rapide toilette. En plus de sa tenue de soumis, Gilles ressort les mains menottées dans le dos. Sarah se met à table pour un repas léger. Gilles, à genoux près d’elle, attend sa maigre pitance. A peine la table débarrassée, voilà qu’on sonne à la porte. Sarah va ouvrir.

« Bonsoir, dit-elle, je vois que vous êtes ponctuels, c’est bien. Venez, finissez d’entrer. »

 

Sarah revient au salon, encadrée par deux supers mâles blacks qui la tiennent par la taille. Doumé et Moussa.

« Non, se dit Gilles, pas eux !!! »  Il se sent encore plus humilié que lorsque le chien le sodomisait quelques heures auparavant.

 

Les deux hommes caressent la jeune femme partout où leurs quatre mains peuvent s’insinuer.. leurs langues ne tardent pas à en faire autant… Sarah est là, offerte à ces deux mâles en rut  qui en rêvent que de la baiser, et d’humilier leur moniteur de sport. Elle dévore littéralement la queue de Doumé, pendant que Moussa lui avale goulument la chatte. Sarah jouit une première fois devant son mari en larmes. Elle y prend un plaisir malsain, qui vient de l’époque où c’est lui qui l’offrait en pâture à ses copains de beuverie.

 

Doumé s’allonge sur le canapé et Sarah vient s’empaler sans difficulté sur le gros pieu dressé. Elle entame une série de mouvements lents, qui permettent à Moussa de se positionner derrière elle. Il lui introduit un doigt plein de cyprine, et lubrifie la rosette qui se distend avec facilité. Il stoppe Sarah dans ses mouvements, et s’introduit avec une douceur inattendue dans le cul de la jeune épouse. Elle en frémit de plaisir.

 

Maintenant, les deux hommes la prennent Sarah en sandwich. Elle sent le souffle de Doumé qui l’embrasse dans le cou, qui lui caresse les seins, Moussa lui prend la bouche, glisse une main entre les cuisses. Elle a un nouvel orgasme, et les hurlements résonnent dans la pièce.

 

En époux soumis et humilié, Gilles baisse la tête. Et quant il la relève, c’est pour voir Sarah à genoux, entièrement nue, entrain de tailler une pipe aux deux jeunes blacks. La vision des deux énormes bites qui font des va et vient dans la bouche de sa femme, confirme bien sa première vision. Il n’est pas dans la même catégorie. Après un long râle, c’est Doumé qui dégaine le premier dans la bouche de Sarah. Cette dernière se lève et s’approche de son mari.

« Ouvre », ordonne-t-elle.

 

Gilles, au bord des larmes, obéit. Sarah se penche, et recrache le sperme dans sa bouche. Moussa suit derrière en se branlant. Sarah saisit la bite en érection et l’approche des lèvres de son mari.

« Une autre dose mon chéri, t’as rien mangé ce soir… hum… c’est bon hein ? T’inquiète, t’en auras encore… »

 

Les deux mâles entrainent Sarah sur le canapé, pour poursuivre leurs ébats érotiques devant le regard impuissant de Gilles. Il voit les énormes calibres labourer la chatte et le cul de son épouse. Malgré tout, d’entendre son épouse jouir l’excite. Il pousse de petits gémissements. Sarah le regarde en souriant. Elle se lève et ôte le bout de la cage qui maintenait la bite recroquevillée. A peine libérée, la queue jaillit, se décalotte au passage, et éjacule sur la moquette. Folle de rage, Sarah lui retire la cagoule.

« Connard, crie-t-elle, tu as mis la moquette comme un cochon, lèche moi ça, et vite… tu entends.

- Oui…oui… ma chérie, bafouille Gilles, mais ne me frappe pas…s’il te plait… »

 

Le mari soumis fait de son mieux pour réparer sa bêtise, sous peine de recevoir une raclée. Les deux blacks, morts de rire, assistent à la scène. Puis, les activités reprennent sur le canapé. A chaque orgasme ou éjaculation, Gilles fait office de décharge. Quand il ne lèche pas la chatte de son épouse, il nettoie la bite des  deux jeunes blacks, qui finissent de vider leurs couilles au fond de sa gorge.

 

Son corps entier est souillé, le sperme, la mouille, la cyprine dégouline de sa bouche, rejoint par les larmes qui glissent sur ses joues. Doumé et Moussa participent à la déchéance, l’humiliation, la soumission de leur moniteur.

« Tiens, ironise Moussa, encore un peu de came… Doumé, viens larguer ta purée… il aime le gros cocu… »

 

Les deux athlètes black se projettent plus loin. C’est ainsi qu’après chaque séance d’entrainement, Moussa et Doumé les entrainent Gilles sous la douche en le tirant par les couilles, pour une partie de plaisir. C’est Gilles lui-même qui s’occupe de la toilette de leurs énormes bites, avec la langue ou les lèvres bien sur.

 

Là encore, le sperme déferle dans sa bouche. Pour finir, les deux élèves l’enculent. Pendant qu’un lui lime violemment le cul, l’autre se fait tailler une pipe. Après avoir copieusement vidé leurs couilles, les jeunes blacks lui tapent amicalement sur les fesses en ricanant.

« Allez, une bonne douche te fera du bien, dit Moussa, bonne soirée, et à ce weekend end, chez toi. On va bien niquer ta femme… bien t’enculer…

- Non Doumé, quel salaud tu es… tu veux faire participer le chien ???

- Oh que oui, j’ai hâte de voir ça !!! »

 

 

Par L'Amoureux et Sophie - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : Zoo en fête
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