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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

Toujours la suite de la "Vie de Julia"

 

Deux jours sont passés depuis cette soirée bowling, et pendant ces deux jours, je me suis fait d’immenses plaisirs en adoptant des tenues toujours très sexys, et surtout en continuant d’appliquer le principe du « sans dessous-dessous ». Je me suis faite remarquée quelques fois, en ville, en vélo aussi, et chaque fois un très grand frisson dans le bas des reins. Enorme frisson également au mini-golf. La position de jeu permet de se retrouver dans une posture affolante, de ce que je peux relever des mines de certains joueurs… I

 

ls ne peuvent pas vraiment voir si je suis nue, mais ils se le demandent, ce qui est très plaisant. Juste ma jupe, mes jambes nues et le bas de mes fesses. « Elle a un string ? Ou est-elle nue ? »…

Moment sublime aussi dans cette boutique, où j’essaye une robe et me retrouve nue sous les yeux de la vendeuse qui me conseille par le rideau demi fermé. Surprise au départ, puis amusée et ravie.

 

Ce matin, j’arrive en vélo à la boulangerie en même temps qu’un jeune couple en voiture. Elle descend. Magnifique brune, cheveux en chignon mal attaché, lui donnant un air très coquin, moulée dans un short blanc presque trop court, superbe poitrine libre sous un maillot très échancré. Je vois ses seins danser par l’échancrure. Elle se fait remarquer par nombre de clients, et elle semble apprécier le fait d’être ainsi observée.

 

Sur mon vélo avant de descendre, et puisqu’elle me regarde gentiment, j’ouvre mes cuisses sans hésiter, comme un signe. Ces yeux s’arrêtent sur mon sexe. Etonnée. Mais ravie elle aussi. Quand je ressors de la boulangerie, ils sont dans leur voiture, et lui aussi attend mon apparition. Elle à du lui dire, et je vois qu’il me guette. Avec un beau sourire complice, je monte sur mon vélo en m’offrant à eux. Quelques instants sans bouger. Puis je pars et ils me font des signes « au revoir » avec amusement. En passant à coté, je vois qu’elle a la main sur le short de son mec, et le masse un peu en me regardant partir. Je souris. Contente de moi.

 

Nous avons un invité pour cette fin de semaine. Un ami de mes parents. Alain. Photographe de métier. Qui deviendra prochainement « mon photographe ». Il m’a demandé de poser pour lui un jour, pour une marque de lingerie, et depuis c’est très régulièrement que nous faisons des séances. Un jeu de séduction très plaisant également que d’être prise en photo, et je m’en amuserai beaucoup plus tard. Surtout avec sa complicité.

 

Il a l’âge de mes parents. Divorcé depuis deux ans. Il profite de sa nouvelle vie pour s’amuser. Il a une maison ici aussi, mais occupée par son ex-épouse, et il attend le règlement de sa situation pour récupérer cette maison qui doit se conclure dans quelques jours. Cette maison servira de cadre à pas mal de mes shoots. J’ai compris plus tard qu’il était « intime » avec mes parents. Avec son ex-épouse aussi d’ailleurs. Un couple d’amis très proches. Il est brun, plutôt gris même. De taille moyenne, ni musclé, ni ventru. Normal. On se connait depuis toujours.

 

J’ai compris aussi que quand il vient ici, comme avant, il est toujours très proche d’eux. Maman semble apprécier de passer quelques jours avec lui et papa. J’ai vite compris que le soir, il n’occupait pas trop la petite chambre d’amis. Ce que j’entends de mon studio, me le confirme le 1er soir. Cela m’intrigue et me fait comprendre que ma façon d’être me vient peut être de là…

 

Et puis aujourd’hui, en route pour une petite crique à vingt minutes de voiture pour un après-midi plus au calme que sur la plage de la ville. Jupe en jeans et brassière. C’est tout. Cette crique est nudiste pour la majorité des gens.

De la place pas très loin des rochers.

Un couple dans la quarantaine, en maillot, sur ces rochers, et un autre plus âgé, nu, devant nous sur le sable. Ils nous regardent arriver machinalement, petit bonjour de la tête. Le couple sur les rochers nous salue également.

 

Papa nous fait remarquer qu’ils sont la, plus pour regarder les gens de la plage, que pour surveiller la mer… Ma tenue fait que je suis plus observé que mes parents. Logique. J’étale ma serviette. Regarde autour de moi. Me déshabille.

 

En fait, je quitte déjà ma brassière pour libérer ma poitrine nue, ce qui, sur cette plage, semble naturel. Malgré tout, les regards sont insistants. Puis je laisse tomber ma jupe, dos au couple des rochers. Mes fesses nues, mon minou dans cette position comme un cadeau à leurs yeux… Je me retourne et tous les deux sont restés bouches ouvertes, yeux écarquillés… Me voir nue, ils s’y attendaient, mais réaliser que j’arrivais déjà nue en dehors de mes vingt centimètres de jeans…

 

Il donne un coup de coude à sa femme en lui faisant remarquer. Sentiment étrange de leur part. Plage nudiste oui, mais arriver nue !!! Contente de mon effet.

L’autre couple à remarqué aussi, mais le sourire plutôt complice qu’ils m’adressent est plus proche d’un compliment que d’un reproche. Je leur retourne un sourire tout aussi complice. Du coup la femme fait remarquer son érection à son mari, et il doit se retourner. Décidément, ces jeux et ses échanges me ravissent et cela semble se passer avec toujours une sorte d’amusement respectueux. Un échange, un cadeau, un regard et un sourire. Je me sens merveilleusement bien dans mon rôle.

 

Installés depuis dix minutes, je me passe de l’huile, papa et maman se le font mutuellement. Puis maman aperçoit une « copine » de plage avec qui elle parle bouquins à chaque fois. Elle part s’installer à ses cotés pour papoter un moment. Papa l’accompagne pour parler avec son mari. Je demande à Alain de me passer de l’huile dans le dos. Il est à genoux sur sa serviette, je viens m’asseoir en tailleur devant lui, de dos, aux trois quarts.

 

Dans cette position, son sexe pend naturellement entre ses jambes. Il m’enduit le dos, tranquillement. En tournant la tête, je peux voir son beau membre. Très joli. Lisse. Comme papa. Déjà plein d’huile et brillant. J’aime. Je regarde maman partie dans ses critiques littéraires. Et de nouveau ce sexe à côté de moi. Tiens ? Il est plus gros. Pas une érection, mais un petit sursaut qui le redresse un peu. Encore plus joli comme ca. Et il brille au soleil à cause de l’huile, surtout son gland bien rouge, gonflé. Beau bijou en fait.

 

Mais pourquoi cette demi-érection ? Le soleil ? L’heure ? Souvent en début d’après midi les messieurs dorment sur le ventre pour palier à ce réflexe naturel. Ou est-ce de ma faute ? Peut-être en me massant ? Peut-être mes tenues de ces derniers jours ? Je sais qu’il m’a observé depuis qu’il est arrivé hier, et qu’il a déjà pu profiter de mes nouveaux jeux. Et puis, comme il l’a souligné en arrivant, j’ai changé…

« Très jolie jeune fille », m’a-t-il dit ce matin au petit déjeuner quand je suis sortie de mon studio, quasi nue en l’embrassant.

 

Je regarde avec plaisir ce sexe qui est prêt à monter en me disant que j’y suis pour quelque chose. Ca me fait venir d’un coup une forte humidité entre les jambes, et mon minou légèrement ouvert dans cette position semble sourire. J’aime beaucoup ces moments la.

 

Il me fascine son membre ! Je sais que cela doit arriver pendant mes jeux, de le faire bander, et surement depuis ce matin ou nous sommes retrouvés dans je jardin, nus, en attendant mes parents pour sortir, et que de son transat il m’observait me faire les ongles de pieds dans une position que je savais assez provocante. Mais à cet instant ! A coté de moi ! Si proche !

 

Et puis d’un coup, sans même trop réfléchir, juste par envie, par curiosité, je tends ma main et la pose sur ce sexe ! Un réflexe que je ne peux retenir. Ca me fait frissonner de façon inouïe ! Je tiens un sexe dans ma main ! C’est Chaud ! C’est tendre ! C’est doux ! Un petit animal ! Quelle sensation ! Quel plaisir !

 

Il arrête d’un coup son massage dans mon dos. Je sens un sursaut. Je le regarde. Il est blanc, rouge, ou vert je sais plus. Bouche bée. Les yeux hors de lui ! Il meurt !

 

Quelques secondes pour réaliser qu’il est dans ma main. Et il me repousse le bras énergiquement. On se regarde. Je comprends que je n’aurais pas du. Je suis folle. Je suis aussi mal que lui du coup. Surement moins malgré tout. Le regard qu’il me jette n’est pas noir, mais perdu. Pas de la colère en fait mais plus un vrai reproche. Je lui dis combien je suis désolée.

 

De l’après midi, il n’a pas pu trop bouger. Très mal. Déboussolé. Gêné.

 

Moi aussi très mal. Mais je n’arrive pas à oublier ce court instant ou je le tenais dans ma main. Je m’en veux, mais je suis aussi très émue. Je regrette mais suis toujours troublée agréablement de cette sensation procurée par ce sexe qui m’attirait. Que je voulais connaître mieux. Qui semblait me le demander lui aussi. Toute l’après midi je suis ennuyée et en même temps trempée comme rarement, au point que je dois retourner ma serviette plusieurs fois pour cacher le résultat de mon émotion. Je mouille sans me contrôler. Je revois ma main entourant ce membre brulant. Tendre.

 

J’avais en main un sexe pour la première fois. Immense plaisir ! Malgré le petit drame que j’ai provoqué.

 

Le soir, sur la terrasse, à la fraîche, nous sommes tous les deux. Maman est au lit avec son livre et nous a abandonné. Papa l’a rejoint assez vite. On a du mal à communiquer. Il n’est pas nu ce soir. Moi je le suis, mais je suis un peu gênée. Et puis on parle, on EN parle, et encore. Sans colère. Sans reproches. Trop complices depuis un moment pour que cela soit une catastrophe. Juste pour comprendre que cela ne se fait pas. Pas de ma faute, plus de la sienne. Même un moment, il avoue avec un sourire, reconnaître le coté agréable de l’incident. Longue discussion, où l’on fini par admettre que, passé la surprise légitime de sa part, ca devait en rester là, mais  ne pas non plus s’en faire un drame à casser toute notre complicité.

 

Ce matin au réveil je me dis que dans deux jours Agnès arrive. Je me lève encore humide de mes pensées suite à ma curiosité d’hier et de m’être donné du plaisir en oubliant le côté négatif de mon geste, et en me fixant sur l’image de cette main et de cette queue, et du plaisir intense que cela m’avait procuré. Ce matin, je suis déjà bien excitée.

 

Maman au petit déjeuner nous dit qu’elle doit échanger des livres avec sa copine de plage. Donc de retour dans la crique.

 

Presque même endroit qu’hier. Presque les mêmes personnes. Même complicité avec le couple âgé qui me regarde arriver et me déshabiller, si l’on peut dire. Il ne me cache pas son érection cette fois le Monsieur. Je lui fais remarquer avec un petit sourire amusé et un petit air faussement étonnée et choquée. Il est content et du coup se montre encore mieux. Il veut ainsi me montrer combien je suis désirable. Sa femme rigole, puis lui demande à nouveau de se retourner. Ils sont joueurs aussi. Sympa.

 

Et maman de retourner voir sa copine. Papa l’accompagne.

 

Même demande pour l’huile dans mon dos. Même position. Et pour moi, même regard. Il ne faut pas, mais c’était bien. Alors je regarde.

 

On se regarde. Il me masse le dos. On se sourit. On se comprend.

 

Puis on rigole un peu. Je regarde son sexe, et je vois que comme hier, il se tend un peu. Il doit y penser évidement et ce n’est pas facile pour lui. Encore un regard et on rit un peu plus. Et puis comme si de rien était, avec l’air de lui dire de ne pas s’inquiéter, je le saisis comme hier.

 

Blocage à nouveau. Je le tiens, je le fixe dans les yeux, et on part dans un vrai éclat de rire. Il reprend son massage huileux, et moi je continue de le tenir dans ma main. Il grossit rapidement au point d’être énorme. Je le masse de toute la longueur. Je caresse ses boules comme on découvre un nouveau jouet. Il est brûlant dans ma main. Dur. Long. Beau ! J’ai gagné ! Je suis toute abasourdie de mon audace et lui aussi, mais on a compris d’un regard et il s’est résigné à se laisser toucher. Il semble même fortement apprécier de ce que je ressens dans ma main. Je sens qu’il vibre.

 

Il met du temps à passer l’huile et moi je regarde ma main aller tout autour de sa queue. Le sentir et l’observer me procure un plaisir intense. Mon premier sexe en main. Et quel sexe ! Je le masse sans le branler vraiment, avec douceur, avec tendresse, peut-être maladroite, et parfois fermement. Je sens cette queue qui réagit à mes caresses. Elle sursaute. Elle se gonfle. Elle se tend. Elle vit et se sent bien comme ca. Elle est de plus en plus dure et de plus en plus brûlante.

 

Son gland énorme pour moi, quand je le tends. Je suis très fière de procurer cette sensation. Je branle presque une belle bite. Elle est à moi. Mon geste est plus un massage. Je veux en découvrir toutes les facettes de cette queue. Je ne pensais pas que cela soit aussi chaud, aussi doux, aussi agréable. Je suis trempée. Je finis de le caresser avec douceur, et je le lâche à regret.

 

Vite, il s’allonge sur sa serviette pour cacher cette sublime érection. Je m’installe à coté de lui, sur le ventre également. Et on reste ainsi à se regarder. Pas un mot. On finit par rire et il me fait signe, un peu ennuyé, que son sexe ne diminue pas de volume. Je regarde et en effet d’où je suis, je vois son gland ressortir de dessous lui. Il est rouge et tendu. Je repasse doucement ma main dessus, jouant avec mes doigts sur son gland. Il gémit et ferme les yeux de plaisir, puis se pousse.

 

La mer n’est pas loin, alors il me dit de lui passer son chapeau qu’il prend devant lui, et en courant, se cache le sexe pour aller plonger dans l’eau. Je le rejoins. Debout dans l’eau je vois sa queue gonflée en transparence. Il lui faut cinq bonnes minutes pour qu’enfin, il retrouve une allure presque normale. Maman nous rejoint. On nage, et il joue un peu avec elle de façon à excuser la petite érection qu’il a encore en se frottant à elle. Je les laisse ensemble et retourne sur ma serviette. Au passage le monsieur me suit des yeux et je lui fais un clin d’œil en regardant son sexe gonflé. Il se marre. Content et enjoué ne notre complicité silencieuse. Il bande de plus belle. Décidément !

 

Sur le ventre, je glisse une main sous moi pour fouiller mon intimité et me confirmer que je suis détrempée de plaisir… Je fais bander des messieurs, et j’en suis ravie. J’ai touché un membre superbe. Avant je ne faisais qu’imaginer, mais aujourd’hui j’en ai tenu un, masser, et j’en ai pris un vrai plaisir. J’ai chaud dedans.

 

Le soir dans mon lit, je me donne un plaisir immense en revoyant ma main entourant cette superbe queue tendue rien que pour moi.

 

Durant cette semaine, nous avons recommencé dés que l’on pouvait. Lui avec l’huile, et moi, avec sa queue gonflée en main. Plus ou moins longtemps selon les moments, mais toujours avec pour les deux un plaisir fou à le faire. Une caresse agréable pour moi aussi. Heureuse !

 

Et un après-midi, Agnès et maman partent en vélo pour aller réserver une table dans un restaurant de paëlla. Papa est chez un voisin à quelques maisons de chez nous. Je reste seule avec Alain. Nus sur nos transats. D’un regard je demande si je peux venir à ses cotés. Sans réponse, je prends donc la place sur le transat voisin. Et sans attendre, je le saisi alors qu’il commence à bander. Et je fais comme à mon habitude. Je le caresse. Il me regarde faire. Je me regarde aussi. Je suis contente de mon travail, de ce que je peux procurer comme bonheur en tenant cette queue.

 

Mon autre main se retrouve naturellement entre mes cuisses et tout en massant son superbe sexe, je fouille et caresse mon minou. Je coule de bonheur. Pendant un instant, sans le lâcher, je me donne du plaisir sous ses yeux. Il me regarde faire, un sourire tendre qui me fait réagir encore plus.

 

Et il se laisse aller sur le dos, s’allonge, écarte ses jambes de chaque coté du transat pour dégager au mieux sa queue que je trouve du coup encore plus belle, plus grosse. Elle semble heureuse aussi. Il est tendu vers le ciel. Puis il me prend la main et commence à la guider pour lui donner un mouvement de va et vient. Il me relâche, se détend et je continue. Il veut que je le branle cette fois. Je n’ai jamais fait mais je comprends vite comment je peux faire.

 

Et tout en continuant de me caresser, et en insistant sur mon bouton, je reprends mon geste avec application. Je monte et descend ma main autour de sa queue, superbe, droite, dure et tendre. Il pose sa main sur ma cuisse, ce qui me fait sursauter de plaisir et couler de plus belle. Et je le branle en douceur, je ralentis quand il me serre la cuisse, et accélère ensuite. Il souhaite que cela dure. Je le branle comme ca un bon moment. C’est trop bon. Je remonte au dessus de son gland et redescend au plus bas en tendant sa queue qui est de plus en plus énorme.

 

Il me regarde avec un sourire et je vois une goutte sur le bout de son gland. Mon minou en libère aussi. Je mouille énormément. Elle pleure de joie peut être ? Puis il me fait signe, et je sais qu’il va jouir. Je n’ai jamais vu en vrai. Je resserre bien ma main fermement et je prends un rythme très lent, mais continu. Je monte et descend sur toute la longueur. Elle me semble encore plus grosse et plus longue. Quand je la tends, on dirait qu’elle va jaillir, exploser, il frémit. Je la vois encore gonflée. Magnifique. Je ne me caresse plus, mais je suis envahie d’un immense frisson à regarder cette queue qui semble prête à exploser.

 

Puis il se crispe sur ma cuisse, tend sa queue et ne bouge plus, et d’un coup je vois jaillir un jet puissant de sperme chaud. Je jouis aussi, plus de ce que je vois et ressent, que de mes propres caresses. Il gémit et continue d’exploser comme ca. Ma main est recouverte de sa semence, et je continue de branler en utilisant son jus comme une lotion. Cet instant dure deux ou trois minutes, et je sens que tout son corps se détend. Sa bite aussi se reprend dans ma main. Je ne veux pas la laisser. Je la tiens. Elle m’appartient. Il caresse ma cuisse en me souriant, et sa main effleure mon minou, reste posée la au plus prés, juste une petite caresse douce. Je coule à mon tour.

 

Nous restons un moment comme ca, allongés cote à cote, moi le tenant par le sexe et lui me caressant la cuisse. Pas un mot. Juste des sourires entendus.

 

Je l’ai branlé. Je l’ai fais jouir très fort. Je suis contente. J’ai recommencé parfois. Sans un mot. Juste des regards complices. Douceur, tendresse et plaisir.

 

Par Julia B. - Publié dans : La vie de Julia - Communauté : Histoire érotique
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Commentaires

Superbe ce récit. J'aime beaucoup cette complicité à la fois tendre et érotique qui ajoute à la perversité. Terriblement excitant. Et quelle belle "leçon de choses" pour Julia!!!
commentaire n° :1 posté par : brunobi le: 22/03/2011 à 15h29

Julia a une façon fabuleuse de nous faire entrer dans son univers... moi, je ne ne m'en lasse pas !

réponse de : Sophie de R. le: 23/03/2011 à 23h20
tres beau recit tres senssuel que de la douceur de la complicitée aucun geste deplacé
commentaire n° :2 posté par : romain57 le: 26/03/2011 à 09h44

J'aime aussi beaucoup cette façon de raconter les choses...

réponse de : Sophie de R. le: 03/04/2011 à 20h15
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