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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Il y a quelques semaines, j’ai invité mes contacts sur Facebook, mais ça vous concerne aussi, à écrire la suite des mes textes. Un lecteur fidèle m’a donc envoyé cette superbe suite, très chaude, à mon histoire « ma femme baisée par les vigiles ».

 

 

Les semaines ont passé, et mon besoin de cleptomane s’est fait jour à nouveau, ou peut-être est ce la perversité et l’envie de revoir les vigiles qui nous ont humiliés, ma femme et moi.

Je suis allé dans le même magasin, et je ne me suis pas caché quand j’ai planqué deux CD dans ma veste.

 

Ils étaient là à m’attendre, à la sortie du magasin, et m’ont immédiatement conduit dans leur bureau.

Pas besoin de présentation pour deux d’entre eux, mais ils étaient quatre dans la pièce.

Le gros n’a pas fait dans la délicatesse. A peine la porte du bureau fermée, il a ouvert la braguette de son pantalon et a lancé à l’intention de ses collègues :

« Venez voir comme elle suce bien, cette salope »

Me prenant par les cheveux, il m’a fait mettre à genoux et m’a fourré sa queue encore molle et odorante dans la bouche.

« Allez, fait moi jouir, salope »

Sans sourciller, j’ai ouvert la bouche et avalé sa bite. Je l’ai rapidement sentir grossir et, tenant fermement ma tête entre ses mains, il a entamé un mouvement de va et vient. Il y est allé avec force, m’enfilant sa queue au plus profond de ma gorge, m’arrachant des hauts le cœur. Je sentais son gros ventre cogner sur mon visage, et en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, j’ai senti son membre durcir, il s’est enfoncé encore un peu plus dans ma bouche et j’ai senti deux gros jet épais inonder ma gorge.

« Avale, salope ! »

Le souffle court, je me suis exécuté, sous les sarcasmes de ses collègues.

 

« Bon, on fait comme d’habitude, on passe te voir ce soir en  sortant du boulot ! Nous serons quatre, cette fois. N’oublie pas de faire en sorte que ta femme soit habillée en pute, et habille toi comme elle, avec ses sous vêtements, ce sera plus excitant »

« Allez, avale le filet qui coule sur le bord de ta bouche avant de partir. A ce soir »

 

Quand je suis arrivé à la maison, un peu penaud, j’ai du annoncer à Mathilde que je m’étais à nouveau fait piquer dans un magasin, et que nous aurions de la visite ce soir. Mathilde m’a fait la morale pour la forme, mais elle est allée fouiller dans sa garde robe pour nous habiller en pute. Des basses résilles noires tenus par un porte-jarretelles et un soutien gorges assorti pour elle, une panoplie rouge pour moi. Mathilde est assez excité par l’idée de cette soirée, et elle a poussé le vice jusqu’à me mettre du rouge à lèvre. En me regardant dans la glace, je découvre avec horreur un travesti assez peu reluisant.

 

Mais déjà la sonnette retenti, et c’est moi qui me charge d’ouvrir la porte. Ils sont là tous les quatre. Le gros et laid qui a joui dans ma bouche ce matin ouvre la marche, le jeune le suit. Ils sont accompagnés d’un beau black, et d’un grand balaise qui ferme la porte. Ce dernier porte un sac de voyage. A peine entré dans la maison, il m’attrape par les cheveux pour me trainer vers le salon, que ses collègues ont déjà investi. Mathilde les attendait dans sa tenue de pute, assise sur le canapé.

 

 

Il ne leur faut que quelques minutes pour se mettre à l’aise, et entourer mon épouse, leur braquemart bien en vue. Le black est encore au repos, mais il présente un engin déjà fort impressionnant. La queue du gros est plus épaisse et déjà en érection, excité par les nichons proéminents de Mathilde, alors que le jeune est un peu en retrait, avec ses couilles rasées de près.

 

Pendant ce temps, le balaise a ouvert son sac de voyage pour en sortir une paire de menottes. Il me prend violemment les mains qu’il m’attache dans le dos, puis me jette à terre.

« Mets-toi à quatre pattes, la tête sur le sol ! Je vais t’apprendre à voler dans les supermarchés ! »

 

Son ton ne permet aucune discussion, et je me mets en position immédiatement, non sans jeter un coup d’œil à Mathilde. Elle ne peut manifestement pas parler, une queue lui baise sauvagement la bouche, pendant qu’une langue lui excite le clito, ses cuisses étant outrageusement écartées et maintenues ouvertes par un autre.

 

Ses grognements laissent à penser qu’elle prend du plaisir, un plaisir sauvage, le plaisir d’être offerte et malmenée par une bande de sadiques.

Le balaise vient de se mettre à l’aise, et appuie de son pied ma tête sur le sol. Brusquement, je sens un violent coup sur mes fesses. A coups de cane anglaise, cet enfoiré est en train de strier mon cul. Et il n’y va pas de main morte. Les mains attachées dans le dos, un pied me maintenant la tête, je ne peux m’échapper de cette torture et j’ai les larmes qui commencent à monter. Pour augmenter encore mon humiliation, il change de position, pour mettre son deuxième pied nu à la hauteur de mon visage.

« Allez la chienne, lèche mon le pied ! »

 

Alors que les coups ne cessent de ma bruler les fesses, je dois lui lécher les pieds, les orteils. Il me fourre son pied dans la bouche à m’en étouffer, alors que j’entends Mathilde couiner de plaisir.

« Je pense que tu vas arrêter de voler maintenant ! Ne bouge pas ! »

 

La peur que les coups ne reprennent me fait rester immobile, alors que le balaise retourne vers son sac de voyage. Il en a sorti un collier qu’il accroche à mon cou, et une laisse.

« Allez la chienne, viens voir ce qu’on lui met, à ta pute ! »

Il tire brusquement sur la laisse pour me conduire vers le canapé.

Le jeune vigile est assis sur le canapé, ma femme posée sur lui me présente ses fesses, alors qu’elle se fait baiser sauvagement. Elle taille une pipe d’enfer au gros, alors que le black attend son tour à coté. Le balaise vient chercher la longue bite du black et me la fourre illico dans la bouche.

« Fais moi grossir cette queue, il faut qu’elle soit bien dure pour enculer ta salope de femme. »

 

La black profite de ma bouche, et petit à petit, je la sens grossir, durcir, grandir. J’ai de plus en plus de mal à l’avaler, et alors que le balaise me maintient la tête, il me lime littéralement la bouche. Je sens son gland forcer ma gorge, provoquant des hauts le cœur de plus en plus difficiles à contenir. J’en pleure, j’ai des flots de bave qui s’échappent de ma bouche, mais il ne s’arrête pas, et il va de plus en plus profond dan ma gorge. Je ne peux m’échapper à ce traitement parfaitement humiliant, et je sens brusquement les restes de mon repas remonter à la surface. Sa queue sort prestement de ma bouche quand je vomis. Sa queue est souillée, et il me force à la nettoyer, et reprend ses va et viens dans ma bouche.

 

Pendant ce temps, le balaise a mouillé ses doigts dans ma bouche, afin de lubrifier le trou du cul de Mathilde. La queue du jeune toujours fichée dans sa chatte, Mathilde ondule sous la pression de ce doigt inquisiteur. Elle aime se faire enculer, et j’entends son plaisir monter.

Le black se sent maintenant prêt, et sans ménagement, il encule Mathilde qui pousse un cri sauvage quand elle reçoit cette énorme queue. Mais ce cri de douleur laisse rapidement la place à des cris de plaisir. Une queue dans la chatte, une dans la bouche, et maintenant une dans le cul, elle est comblée.

 

Le balaise m’a rejeté à terre sans ménagement. Il retourne dans son sac à malice, et il me fourre dans la bouche un gode.

« Suce -e bien si tu ne veux pas avoir trop mal. »

 

Je bave sur le gode, et il m’encule sauvagement avec. Il s’agit d’un gode vibrant et gonflable. Il le gonfle au maximum, et je sens mes chairs se distendre inexorablement. La douleur est lancinante, et j’ai l’impression d’avoir le cul qui va exploser. Il met le vibreur au minimum, avant de prendre possession des gros nichons de Mathilde. Il lui pince les tétons sans ménagement, lui torture les seins, et cela semble lui plaire. Il m’ordonne de venir le sucer pendant qu’il brutalise mon épouse. Combien d’orgasmes a-t-elle déjà vécue, elle semble jouir sans discontinuer, alors que les quatre vigiles n’ont toujours pas joui.

 

Ils la baisent sans ménagement, elle hurle de plaisir. Je n’avais jamais vu ma femme dans cet état second, submergée par les orgasmes à répétition. Elle n’est plus qu’un amas de chair voué au plaisir de ces brutes sauvages, et ils doivent la soutenir pour l’empêcher de s’écrouler.

Pendant de longues minutes, ils vont l’enculer, lui baiser la chatte et la bouche, se branler sur ses nichons, alternant les positions.

 

Quand ils sentent qu’elle ne tiendra plus longtemps, ils sortent tous de ses orifices rougis par toute cette baise sauvage, et viennent tous autours de moi.

Les mains toujours attachées dans le dos, le cul rougi par la cane, le gode vibrant dans le cul qui commence à me procurer un plaisir nouveau. Je dois me mettre à genoux la bouche ouverte, et le balaise m’aveugle avec un bandeau qu’il vient de sortir de son sac.

Je sens l’odeur de tous ces males en rut, mélangée à l’odeur de jouissance de ma femme, de son trou du cul, de mon vomi. Toutes ces odeurs mélangées commencent à me faire bander. Je sens également l’odeur de transpiration des vigiles qui semblent s’agiter autours du moi.

« Regardez-moi cette chienne qui bande ! Ouvre la bouche, salope !

- Allez Mathilde, viens branler ton cleptomane de mari ! »

 

Je sens ma femme se poser derrière moi, ses tétons durcis par le plaisir caressent mon dos, sa main gauche tripote mes couilles et la droite astique mon chibre.

 

Brusquement, je sens comme une violente décharge électrique dans le cul. Le balaise vient de mettre le vibreur du gode gonflable au maximum. Je pousse un hurlement de douleur et de plaisir mélangé. Au même moment, je sens un profond jet inonder ma bouche. Le premier d’entre eux vient d’éjaculer.

« Allez, avale salope ! »

 

Je m’applique à avaler ce que je peux, avant un second, un troisième, un quatrième. Ma bouche déborde de foutre gluant, j’en ai plein le visage, le menton. Mon cul est en feu, mon visage maculé de sperme, et ma femme qui continue à ma masturber.

Mathilde vient lécher les filets de sperme que je n’ai pas pu avaler, elle me lèche le menton, les joues, le front, et vient me recracher dans la bouche ce qu’elle a récupéré. Cette ultime humiliation me fait bander un peu plus, et je lâche enfin ma purée dans la main de Mathilde.

« Pas de gâchis, nettoie les doigts de ta salope de femme, grosse chienne ! »

 

Mais ce n’est pas fini. J’ai toujours les mains menottées dans le dos.

« Collez-vous l’un à coté de l’autre »

 

 On me retire le bandeau, et je vois le balaise approcher sa queue ramollie dans ma bouche, alors que le black en fait de même avec mon épouse.

Un liquide chaud commence à inonder ma bouche, et je vois un liquide jaune déborder de celle de ma femme.

« Avalez -oi tout ça, bande de soumis »

 

Pendant que nous recueillons ce champagne amer et salé, les deux autres vigiles nous inondent par derrière. De puissants flots de pisse inondent nos cheveux, recouvrent nos visages, coulent sur les nichons de Mathilde, sur mon corps épuisé. Ils ont du boire des litres avant de venir, car cette douche brulante continue pendant de longues minutes. Mathilde et moi sommes inondés et humiliés.

Quand enfin le flot s’arrête, ils nous jettent à terre, nous obligeant à nous rouler dans cette pisse odorante. Pendant ce temps, les quatre vigiles s’habillent.

 

Ils me laissent les menottes dans le dos, et s’en vont en m’envoyant un « tu ferais bien de changer de magasin pour voler tes Cd, la prochaine fois, cela risquerait d’être bien pire ! »

 

Mathilde et moi nous retrouvons seuls, écroulés par terre, baignant dans la pisse. Je ne sais pas comment je vais retirer ces menottes, mais Mathilde, épuisée, vient coller son corps humide au mien. Après avoir aspiré un peu de pisse froide par terre, elle vient me rouler une pelle mémorable, me recrachant ce liquide mêlé au sperme des vigiles. Sa langue prend possession de la mienne, et elle me donne une preuve d’amour que je n’oublierai jamais.

 

Mathilde, je t’aime !

 

 

Page FB : Titou soumis

Site : http://soumistitou.blog4ever.com

 

 

Par Titou. - Publié dans : Vos contributions - Communauté : plaisirs SM
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