Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
19h32
Elle est là, sur le quai de la gare. Je l’ai fait attendre, pas longtemps...
Il fait plutôt frais.
Du parking, je vois le quai, mes phares l’éclaire. Elle me voit, sourit timidement et baisse les yeux.
Personne sur le quai de cette petite gare, je l’attends dans mon véhicule. Elle sait ce qu’elle doit faire. Je la vois hésiter. Puis elle s’exécute. Elle pose son sac à main par terre.
Lentement, elle ouvre son long et chaud manteau, puis l’enlève vivement. Elle est nue dessous, entièrement nue. Je suis satisfait.
Elle place le manteau sous son bras, reprend son sac à main et s’approche de moi en restant dans la lumière des phares. Elle chancelle... Toute nue... Elle reste devant la calandre. Je la regarde en détail. Elle bleuit à vue d’œil.
Il fait chaud dans la voiture.
Je sors, la rejoint, lui prend la main et l’emmène dans la voiture coté passager.
Je lui prends le manteau et le sac à main. Elle se recroqueville sur son siège.
De retour à ma place, après avoir déposé ses affaires à l’arrière, je la caresse, elle frissonne et me remercie avec sa voix douce et tremblante. Elle sait me caresser de sa voix.
Ma main est chaude sur son corps qui commence à rougir. Je lui demande de se redresser. Et de me regarder dans les yeux, elle a du mal... J’insiste, puis lui bloque le visage vers le mien.
« Ouvre la bouche. »
Je viens lui caresser d’un doigt ses lèvres, sa langue, son palais... Elle gémit doucement, et n’arrive pas à soutenir mon regard. Elle cherche a se blottir contre moi. Je le lui interdis.
« Réchauffe-toi pendant que je conduis. »
Après quelques minutes, je sens sa main toucher mon entre jambe. Je décide de la la laisser faire. Je sais qu’elle sait que j’adore ça... Elle a bien suivi mes consignes, elle a droit à une sucrerie.
Alors elle ouvre mon pantalon et me suce avec empressement. Elle a énormément progressé sur le sujet. On roule plus de quinze minutes lorsque ma jouissance explose !
Elle se délecte consciencieusement... Elle se montre plus maternante avec ma queue et la conserve dans sa bouche.
Une fois arrivés, elle ne sait pas où, je lui passe son foulard, elle sait qu’elle doit se bander les yeux. Nous sommes arrêtés dans une rue, pas loin du rendez vous. Elle ne sait rien. Je me rhabille.
Elle frissonne, pourtant son corps est chaud, et je visite doucement sa vulve. Elle est plus qu’humide... Je souris de satisfaction. Je sors de la voiture. Je reste à la regarder de dehors. Elle cherche à entendre ce qu’il se passe. Je la sens inquiète, cela me plait... Puis elle se rassemble, en boule.
J’ouvre d’un coup sa portière.
« Viens ! »
Elle hésite. La différence de température est violente. Je l’aide en lui prenant la main.
Elle sort, tremblante. Puis, je lui donne son manteau. Elle saute dessus, le ferme. Je lui donne son sac. Je lui serre le bras au dessus du coude.
« Je te guide. »
Nous avançons dans la rue.
« Que se passe-t-il, Monsieur ? »
Je ne réponds pas.
« S’il vous plait, dites-moi quelque chose Monsieur, je vous en prie...»
Je réponds :
« Tu as oublié que je décide de tout, ma femelle ? !
- Oh non mon Maître, j’ai peur de ne pas être à la hauteur…
- Et bien nous verrons cela, je sais que tu es capable, je suis confiant ! »
Elle a du mal à marcher naturellement. Elle ne résiste pas, mais se montre maladroite.
Je l’arrête, lui attrape les cheveux, fais basculer sa tête en arrière et lui roule une longue pelle langoureuse et chaude.
« Allez, on y va...»
Elle marche mieux, je la sens même grandir, se redresser... Un vrai plaisir!
J’ouvre la porte cochère.
« Il y a deux étages à monter et on passe par l’escalier. »
Elle recule presque. Je la saisie fortement par le cou.
« Je suis ton guide, lève ton pied droit, la première marche est là. »
Elle s’exécute de manière mécanique. Mais elle enchaine et prend de l’assurance.
Arrivés sur le palier, je la place au milieu et lui dit :
« Tu attends ici maintenant. »
La porte s’ouvre silencieusement, il nous attendait... Je rentre et referme la porte bruyamment. Notre hôte a pris le temps de la voir et me dit être content de notre venue.
Il est fébrile, c’est une situation nouvelle pour lui... Qu’un homme lui offre une femme ainsi !
Je l’interroge sur les conditions de notre visite, il a tout compris. Je m’assois sur son canapé et lui demande d’aller la chercher sans rien lui dire.
Ma soumise est chancelante, je vois bien qu’elle a senti que ce n’était pas moi qui est venu la chercher.
Je lui dis :
« Reste là, pose ton sac à tes pieds. »
Elle est au milieu du séjour.
Notre hôte est attentionné, les bougies sont allumées, la musique est agréable et la bouteille de whisky est séduisante.
Elle tremble... Sa tête est tournée vers moi.
Notre hôte :
« Je vous sers.
- Volontiers, je vous remercie. »
Elle tremble de plus en plus...
Il fait bon chez lui. Je la laisse se réchauffer
« Et à votre femme, je lui sers quand même quelque chose ?
- Je vous rectifie. »
Je me tourne vers elle :
« Qui es-tu pour moi ?
- Je suis sa chose, sa femelle docile, c’est tout. »
Notre hôte est silencieux à la fois surpris et excité... Il me sert. Je la regarde.
Elle est soumise. C’est bon !
« Comment te sens-tu ?
- Je ne sais pas mon Maître, mais est-ce important ? »
Sa réponse me plait...
Notre hôte commence à baver. Le whisky est délicieux
« Enlève ton manteau ! »
Elle hésite, elle le fait, lentement, maladroitement. Il tombe à terre.
Puis elle se redresse bien droite et je la sens fière.
« Je suis heureuse de vous servir, mon Maître. »
Je souris.
Notre hôte a la bouche ouverte et les yeux tout ronds...
« Ma femelle vous plait ?
- Euh... elle est... Enfin je veux dire, elle n’a pas froid ??
- Vous ne me répondez pas...
- Eumh, elle me plait si si.. »
Je me retourne vers elle et dit :
« Notre hôte traverse une passe difficile, aussi j’ai décidé de lui offrir du plaisir ce soir. Toi, ma femelle. Et je sais que tu seras à la hauteur.
- Comme bon vous plaira mon Maître », dit elle avec un grand sourire.
Je me tourne vers notre hôte.
« Servez-moi un autre whisky et faites tout ce que vous avez envie avec elle… »
A suivre…
Il faut que l'auteur lise tous vos compliments pour continuer très vite son histoire !
je pense comme toi !
Le message est passé !
Je suis comme toi. mais je ne sais pas encore sil y en aura une !
En effet, elle en a l'air... est-ce que cela va durer ???
une suite... à cette soirée...
pourquoi pas.
mais... et oui il y a un mais.
pourquoi pas vous, oui vous qui feriez une suite?!?
surtout lorsque cela vous dérange quelque peu... ;-)
qu'en pensez vous?
L'idée est bonne, mais je ne vois pas encore beaucoup de reponses positives.. helas !
Je le demande aussi !!!!