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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

 

Chapitre 3


 

Le regard fasciné, la main gentiment crispée sur le sexe du chien, j’ai des contractions d’envie dans le bas ventre. Les papillons de plaisir et d’envie que je connais si bien. J’essaie de calmer mes ardeurs, pour ne pas blesser Xenos et ainsi profiter pleinement de cet instant tant attendu, maintes fois fantasmé.  Le chien halète un peu plus fort, sa langue rose gluante pend un peu plus, mais il ne fait aucun geste de replis, bien au contraire, se laissant bien volontiers manipuler par cette main amicale dispensatrice de plaisirs inattendus.

 

Il reste aux aguets, attendant la suite. Je suis assez rassurée par son attitude patiente qui laisse bien augurer de la suite. Je serai vraiment trop déçue d’avoir à faire à un chien trop pressé et expansif, il me faut du temps et dans ce domaine particulier j’adore aller progressivement, prendre mon temps pour le plaisir, telle est ma devise. Sous mes caresses et pressions, la jolie bite rose veinée de magenta se fait de plus en plus volumineuse. Elle est absolument magnifique, c’est mon tour de commencer à saliver… mais je ne sais pas encore si je vais oser une telle caresse buccale sur un animal… il me reste encore de petites réticences.

 

Mais l’idée ne me rebute plus autant que par le passé. Je me fais lentement à cette idée de me soumettre totalement à mon nouvel ami et de lui donner un maximum de plaisir. Après tout, les vraies chiennes doivent bien lécher le sexe des mâles qui vont les saillir ou qui viennent juste de le faire, pourquoi devrais-je déroger ? La verge de Xenos est douce et brûlante sous mes doigts, bien plus chaude que celle d’un homme. Quelques gouttes claires, giclent en petites saccades chaudes, évidentes prémices de bonheurs proches. La moquette est tout auréolée de ces giclettes désordonnées.

 

Peu à peu, son fourreau poilu dégage l’ensemble de la bite qui apparait enfin à mes yeux curieux. Rien à voir avec celle d’un humain. La pointe est effilée alors qu’un homme possède à cet endroit le renflement du gland entouré du prépuce. Le sommet du sexe ressemble à une pointe de lance, percée en son sommet d’un discret petit trou. La verge bien gonflée s’évase à partir de la pointe. La hampe elle-même est magnifiquement veinulée de rouge vif. La base est ornée d’une énorme excroissance, comme un gros bulbe de jacinthe, le bulbe pénien, qui ressemble un peu à des testicules d’homme auxquels on aurait épluché la peau du scrotum.

 

Je graisse ma main en recueillant le liquide pré séminal qui n’arrête pas de sourdre. Encore une différence par rapport aux hommes, un chien peu éjaculer pendant la totalité d’un rapport. D’abord ce liquide clair qui sera peu à peu remplacé par du sperme bien plus épais, en vue de la fécondation. Les doigts gras, je caresse doucement, je suis attentive aux réactions de mon futur amant… j’ai maintenant très envie qu’il me prenne, je sais qu’il va me saillir, j’en ai envie ! Je sais déjà que je vais adorer qu’il me prenne. Mais pour le moment, je continue ma lente câlinerie. Certains chiens sont réticents au début à ce genre de caresse à laquelle ils ne sont pas habitués. Mais ils s’adaptent très vite au comportement étrange des femmes, bien différent de celui de leurs vraies congénères, les chiennes.

 

La verge de Xenos coule de plus en plus au fur et à mesure de mes caresses. Je dois avouer que cette masturbation m’excite moi-même au point de me liquéfier l’entrecuisse. Le chien docile se laisse faire, allongé de tout son long, la tête dans le prolongement de l’échine, une de ses pattes postérieures en lévitation pour me faciliter la manœuvre. Je suis à présent persuadée qu’il est accoutumé à ce genre de manipulation.  

 

Mon excitation va crescendo, elle s’amplifie au fil de mes découvertes. Notre sexuelle complicité semble grandir au fur et à mesure de mes attouchements. Xénos, très docile s’abandonne en toute confiance, pattes largement écartées. Je continue mes caresses manuelles avec beaucoup de délicatesse. Mais je sens venir le moment où il me faudra lui donner plus, me donner entièrement, sans restriction. Comme pour lui apporter une nouvelle preuve de ma propre soumission.

 

Je me sens devenir Golden Retriever moi aussi. Je deviens petit à petit sa femelle docile, je veux m’offrir à mon mâle, comme une vraie chienne en chaleur. Je suis à sa disposition pour son plaisir, tout autant que le mien. Je veux le mettre au mieux de sa forme pour la suite irrémédiable qui s’impose à mes sens. Je ne peux désormais plus reculer, je n’y songe même pas. Si ce n’est pas pour aujourd’hui, il ne fait aucun doute dans mon esprit que je ne pourrai pas lutter très longtemps contre cette furieuse envie qui me tenaille le ventre. De plus, je ne l’ai que trois semaines à ma disposition, je n’ai guère de temps à perdre avec des futilités. Je sais que mon abandon est programmé, le cheminement intellectuel s’est fait dans mon esprit, j’y suis prête, absolument consentante, ce ne sera pas un viol.

 

Je m’approche un peu du bas ventre de mon nouvel amant. J’ai une furieuse envie de mieux détailler sa bite. Pour le moment, je la tiens gentiment serrée entre mes doigts poisseux, elle est brûlante. Je sens parfaitement l’odeur de son sexe. Une émanation forte et sauvage, mais pas aussi désagréable que j’aurai pu l’imaginer. Mon visage n’est plus qu’à quelques centimètres de la pointe cramoisie, de laquelle, par intermittence, sourdent de petites giclées troubles qui s’écrasent sur mes cuisses nues. C’est chaud, gluant, appétissant.

 

De ma main libre, je viens délicatement prélever quelques gouttes de ce liquide odorant. Je les porte à mes narines puis à mes lèvres. C’est olfactivement puissant. Je dépose ma cueillette sur ma langue… Hum, ce n’est pas mauvais du tout, bien différent du sperme humain. Le goût est très particulier, mais sans être absolument rebutant ! Cette découverte me rassure un peu. Elle fait encore tomber les quelques barrières psychologiques qui auraient pu résister malgré tout dans mon esprit de femme bien sous tout rapport. Si le sperme de Xenos est tout aussi gouteux que son liquide pré séminal, je ne vois vraiment pas pour quelle raison je me priverais de cette envie qui me tenaille les sens. J’ai vraiment envie de le sucer comme j’ai toujours adoré prodiguer cette caresse à mes amants.

 

Mais lui, va-t-il aimer la caresse de mes lèvres et ma langue ? Il a bien du se lécher la bite à maintes occasions, ou se la faire lécher par un de ses congénères. Je ne sais pas si Catherine suce son chien…

 

Cette idée m’excite un peu plus je dois l’avouer. D’imaginer mon amie de toujours, très classe, femme d’affaires impeccable et implacable, irréprochable, qui fréquente la bonne société de L. se livrer à de telles pratiques, condamnées par la société bien pensante me liquéfie de plus belle. Ma chatte dégouline franchement. Des images puissamment excitantes me viennent à l’esprit. Je l’imagine en tailleur strict, le chignon impeccable, avec ses lunettes d’intello branchée, agenouillée entre les pattes de son chien, en train de lui téter la bite, se délectant de ses giclées, les buvant sans réticence ni dégoût. Si je continue dans cette voie des pensées lubriques, je vais me faire jouir toute seule, sans l’aide de Xenos, ce qui serait franchement dommage !

 

De plus en plus échauffée par mes idées salaces, je m’enhardis un peu plus. J’approche encore mon visage de la verge écarlate, juste pour la sentir un peu mieux… sans plus… Je me le promets, sans y croire un seul instant. Le bout de mon nez est maintenant collé à la pointe du sexe du Golden. L’odeur ne me rebute pas davantage. De ma main, emprisonnant la verge, je fais glisser le bout plus bas, contre ma lèvre supérieure, je la caresse et l’enduis du liquide poisseux et chaud, comme avec un bâton de rouge à lèvres. Je me graisse ainsi largement la bouche.

 

Je darde la pointe de ma langue à chaque passage de la pointe, sans aller plus avant. Je joue quelques secondes avec. Le chien ne bronche pas. Attentive à ses réactions, car je ne voudrais pas qu’il se méprenne sur mes intentions et devienne agressif, j’entrouvre doucement les lèvres puis enfonce tout doucement la verge animale. Le chien est toujours aussi docile. Ma langue s’enhardit et caresse le bâton de chair maintenant largement enfoncé.

 

J’ai franchi un nouveau seuil, je suce vraiment un chien, pour la première fois de ma vie.

 

J’aime ça, c’est indubitable. Ma mouille laisse de longues traînées brillantes le long de mes cuisses tremblantes de bonheur et d’envie. Mes mouvements et ma succion s’accélèrent, mais je reste sur le qui-vive, je ne veux pas que Xenos jouisse dans ma bouche. Pas tout de suite en tout cas, je ne suis pas prête. Je poursuis ma fellation avec plus de mesure. Je m’applique comme si Xenos pouvait ensuite me donner une appréciation sur ma prestation. Mais je ne me fais guère de souci, bien que ne sachant pas parler, son comportement exprime sa satisfaction. C’est le total abandon au plaisir.

 

Soudain la sonnerie de la porte d’entrée retentit à trois reprises.

« M… m… m… qui peut bien me déranger ainsi alors que je suis si agréablement occupée ? »

 

 

 

Chapitre 4


 

Je laisse ma proie. Xénos qui avait tendu l’oreille au premier retentissement  de la sonnerie se redresse sur ses quatre pattes en grognant un peu. Je lui intime l’ordre de se calmer. Il cesse de grogner, mais sa bite toujours en érection pend, toujours aussi écarlate au milieu de ses pattes arrière.

 

Je me recompose à la hâte une tenue décente, me couvre de mon long tee-shirt de nuit, mais reste nue dessous, avec la ferme intention de me débarrasser rapidement de cet importun. Je souhaite reprendre au plus vite mes jeux avec Xenos. Ce dernier, toujours sur le qui-vive, me suit jusqu’à la porte d’entrée, bien décidé à identifier la menace. À mon grand soulagement il semble s’être un peu calmé sexuellement, sa bite a réintégré son fourreau de poils.

J’ouvre brusquement la porte, un peu excédée. Ma voisine est plantée sur le perron de notre villa, un large sourire aux lèvres. Elle a comme un mouvement imperceptible de recul en voyant Xenos.  Heureusement, sa bite a disparu. Je me vois mal expliquer l’état d’excitation du chien à ma visiteuse.

« Excuse-moi de te déranger Marie, j’ai besoin d’un conseil... Tu as du monde ?

- Non, non, je suis seule. Entre, si je peux t’être utile, il n’y a pas de problème Nicole.

- Il est à vous ce chien ?

- Non. Entre, n’aie pas peur, c’est le compagnon de mon amie Catherine.

 

Elle hésite encore alors que Xenos s’approche d’elle pour la renifler. Cette fois cependant, elle ne recule pas.

 

Ma voisine Nicole est une belle quinquagénaire, fort bien conservée, tout aussi « oisive » que moi. Son mari, directeur d’une agence bancaire lui permet de se laisser vivre sans trop de soucis matériels. Elle ne s’en prive pas. Mais je la soupçonne de s’ennuyer un peu à la maison. Secrètement, elle trompe cette inactivité avec des jeunes gens bien trop jeunes pour elle. Je ne vais pas lui jeter la pierre, il faut bien que le corps exulte. Nicole n’a guère de difficultés pour assouvir ses penchants.

 

De belle taille, plus que la moyenne féminine, svelte et sportive, blonde aux cheveux mi-longs, une poitrine que ne renierait pas Monica Bellucci, un sourire ravageur à faire péter les boutons de braguettes. De plus, elle cache fort bien son jeu. Madame l’hypocrite est assidue à la messe, fait régulièrement le catéchisme pour les gamins du quartier, fréquente la bonne société bien pensante de la ville. Je pense qu’elle repère ainsi ses futures « victimes », des petits puceaux catholiques de bonne famille à déniaiser sans tarder, dans la plus grande discrétion.

 

Depuis que nous avons fait connaissance, il y a maintenant quelques années nous sommes devenues peu à peu des amies, je dirais même des confidentes, malgré nos dix années de différence. En fait, c’est plutôt elle qui me livre ses turpitudes qui tournent invariablement autour du sexe. Ce ne fut pas évident au début. La dame ne se livre pas aussi facilement en public qu’elle écarte les cuisses en privé. Mais j’ai su la mettre en confiance. Petit à petit, elle m’a laissé accéder à son petit monde secret. Si tous ceux qui la fréquentent savaient !!! Nul doute que le curé du coin lui retirerait la charge du catéchisme !

 

Ce matin, elle est vêtue d’une courte jupe écossaise, d’un haut très fin, qui moule bien ses deux gros seins, qui me paressent libérés de tout soutien-gorge. Je distingue parfaitement ses deux pointes érigées. Il faut dire qu’elle n’a nul besoin de sous-tif, en plus ce serait vraiment dommage… J’espère qu’elle ne fait pas le caté dans cette tenue sinon les aspirants à la première communion de la paroisse risquent d’éjaculer dans leurs slips Petit-Bateau !!!

 

Xénos, un peu curieux glisse sa truffe sous le tissu écossais, en remontant vers le haut de ses cuisses. Nicole devient cramoisie. Elle plaque brusquement sa jupe pour empêcher une plus indiscrète investigation.

Je saisis le vilain fouineur au collier :

« Allons Xenos, en voilà des manières !!! »

 

Nicole bredouille :

« Je suis désolée, il doit sentir que je suis… comment dire… indisposée… »

 

Pour la rassurer, je rétorque innocemment, un léger sourire au coin des lèvres :

« Ah oui, c’est fort possible. Il a un odorat assez développé, rien ne lui échappe ! »

 

Je tire Xenos en arrière, puis invite une nouvelle fois Nicole à entrer. Elle s’exécute sans perdre le chien de vue. Comme il semble plus calme, je le libère. Il nous suit sagement jusque dans le salon. Nicole s’installe sur le canapé, le regardant craintivement. Le chien s’allonge voluptueusement à mes pieds près de la chauffeuse où je me tiens. Cette attitude rassure un peu ma visiteuse.

 

Je reviens au but de sa visite :

« Dis-moi comment vas-tu… Au fait, tu voulais un conseil ?

Oui, voilà… Ce n’est pas facile à dire… Comment t’expliquer ?

Vas-y Nicole, ne tourne pas autour du pot. Nous sommes de vieilles copines, lâche-toi…

Bien… c’est à propos de Nicolas, tu sais, le fils de nos voisins…

Oui je vois bien, un petit blond mignon, que lui arrive-t-il ?

A lui rien, ou pas encore. Tu sais que je fais le caté…

Oui, oui cela m’a toujours un peu étonné, mais…

Comment cela « étonné » ?

Excuse-moi Nicole, laisse tomber cette remarque idiote. Je t’écoute…

Bon. Nicolas fait partie de mes élèves. Tu ne vas pas me croire, dans son cahier de catéchisme, j’ai trouvé une photo cochonne…

Et alors ? Ce n’est pas la fin du monde !

Non… je sais. Mais sur la photo, il y a un jeune homme en train de prendre une femme qui doit avoir le triple de son âge…

Ne me dis pas que tu es choquée ?!

Non, ce n’est pas la photo qui me choque. Mais Nicolas a écrit son prénom sur le front du gamin et le mien sur celui de la femme… Tu te rends compte ? Il n’a pas encore douze ans, il fait sa communion en mai prochain ! »

 

J’ai envie de rire, mais je ne veux pas la froisser. Elle est tout de même un peu hypocrite ma voisine. Je souris malgré tout.

« Voilà une déclaration originale ! Au moins, tu es fixée sur les « sentiments » du petit Nicolas à ton égard !!!

Ne ris pas Marie… Je ne peux tout de même pas laisser passer ça ?

Si tu veux mon avis, le mieux serait de faire comme si tu n’avais jamais trouvé cette photo. Dans trois ans, le petit Nicolas sera majeur, en tout cas, sexuellement… Tu verras bien à ce moment-là…

Tu as peut-être raison en fait. Je vais feindre d’ignorer et surveiller son comportement. »

 

Je me demande si Nicole n’a pas trouvé ce prétexte foireux pour venir me voir seule à la maison, car elle enchaîne :

« Tu es seule avec le chien ?

- Oui, toute seule, enfin la journée. Catherine mon amie est partie en vacances, elle me l’a laissé en pension… J’ai toujours eu un peu peur des chiens. C’est pour cela que nous n’en avons pas. Mais celui-là, je le trouve très beau, très soigné. Je t’avais vu hier avec lui dans le jardin. Je me demandais si vous l’aviez adopté. »

 

Nous y voilà, la curieuse Nicole est venue aux nouvelles !

J’enchaîne :

« C’est un Golden retriever. Cathy le fait toiletter régulièrement. C’est préférable d’autant qu’il couche dans sa chambre.

Tu ne penses pas qu’il couche dans son lit tout de même ?

Ah ça… je ne sais pas, elle ne m’a pas fait de confidences… Je ne pense pas, elle est si maniaque !

Moi je serais bien trop stressée de savoir cette grosse bête dans la même chambre que moi. En plus, ça doit laisser des poils partout… Tu parles d’un boulot ! »

 

Le chien est toujours à mes pieds, ignorant la conversation dont il est l’objet. Il a posé son museau sur mon pied nu. Nicole m’en fait la remarque :

« En tout cas, il a l’air de bien t’apprécier !

- Oui, il est très affectueux, bien plus qu’on ne peut l’imaginer au premier abord. »

 

Nicole le regarde, pensive.

Je romps le silence :

« Dis-moi Nicole, prendrais-tu un thé en ma compagnie ?

- Oui je veux bien… »

 

J’ai très envie de me retrouver seule avec le chien, mais mes devoirs de bons voisinages m’empêchent de mettre Nicole à la porte trop brusquement.

Je me lève pour me diriger vers la cuisine. Xénos m’imite. Je lui intime l’ordre de rester dans le salon. Il m’obéit, mais en profite pour se rapprocher de Nicole, qui n’en mène pas large.

Je la rassure :

« N’ai aucune crainte, il sait que nous sommes amies maintenant. Il veut simplement une caresse, il adore ça. En plus, il a horreur de rester seul. »

 

Timidement Nicole passe la main sur la tête de Xenos qui, ni une ni deux, pose sont museau sur sa cuisse.

Voyant que tout se passe bien, je les laisse faire plus ample connaissance pour aller préparer le thé.

Ma cuisine ouverte me permet de surveiller tout ce qui se passe dans le salon.

Par contre, Nicole qui me tourne le dos ne fait plus vraiment attention à moi.

Je sors le thé, la théière et les tasses. Je pose la bouilloire sur son socle et attends que l’eau chauffe. Dans le salon Nicole caresse toujours la tête de Xenos, mais de moins en moins timidement ! Sa main progressivement parcourt son encolure, caressant longuement les poils soyeux… Je me demande si elle ne s’est pas foutue de ma poire en me disant avoir peur des chiens !

« Tout va bien Nicole ?

- Oui, oui, ne t’inquiète pas Marie, nous faisons connaissance. C’est vrai qu’il est gentil ce chien… »

 

Je fais un peu trainer les choses, juste pour voir.

Nicole caresse maintenant le dos jusqu’à s’enhardir vers les reins du chien qu’elle flatte longuement, sans oser plus. Je ne vois que le train arrière de Xenos, mais il semble ravit de cette nouvelle amie, son fouet bat la mesure de son plaisir.

 

A suivre...

Par Xenos 69 - Publié dans : Zoophilie - Communauté : Zoo en fête
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