Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Ce matin, comme tous les lundis, je reçois les stagiaires de l’entreprise pour laquelle je travaille.
Amusée, j’entends mon assistante dire à celui du jour :
« Fais gaffe avec Madame de Rawensky, elle n’est pas tendre avec les stagiaires. Ca chauffe souvent pour eux ! »
Elle avait oublié d’éteindre l’interphone…
La porte s’ouvrit, et je vis entrer un jeune homme, très joli garçon, mais visiblement plus âgé que les autres. Je jetais rapidement un œil sur son dossier, et constatai en effet qu’il avait vingt-neuf ans. Il était en reconversion professionnelle.
Lorsqu’il s’avançait vers mon bureau, je vis très bien son œil s’allumer. Il était clair je lui plaisais. Ca tombait bien. Ile me fallait rester pro, d’autant que je tiens à ma réputation de femme rigide, quasiment mal baisée que je me suis astreinte à donner de moi.
Il posa son rapport sur mon bureau :
« Bonjour Madame, voici mon rapport sur la situation commerciale de la région.
- Très bien, mais vous allez m’en citer les grandes lignes.
- Bien, mais je ne suis pas très sur…
- Si vous avez travaillé dessus, vous devez savoir, » le coupai-je assez sèchement.
Intimidé, il rentra la tête dans les épaules et commença son rapport oral.
Cela me permit de le détailler tout à loisir. Métis, pas très grand, mais bien carré, le crâne rasé, et des bras comme j’aime, bien dessinés, qui sortaient de façon sexy de son polo. Il avait surtout d’incroyables yeux bleus, qui contrastaient avec sa peau brune. Les métissages que l’on voit ici nous offrent parfois de fabuleux mélanges, avec des personnes à la peau plus ou moins noire, mais avec des yeux verts ou bleues lagon. Je ne m’en lasse jamais…
Je le laissais débiter des poncifs. Pas très original comme travail, pour un homme de cet âge ! Je m’attendais à mieux, mais c’était quand même correct. Pourtant, ma préoccupation était ailleurs. Je n’avais pas fait l’amour depuis le lundi dernier, et là, j’en avais une furieuse envie. Il me plaisait bien. Plus que bien. Je réfléchissais à la façon de procéder…
Quand il eut fini, je laissai un temps de silence, avant de lui lancer, la mine boudeuse :
« Pas terrible. Vous n’avez pas creusé plus loin ? Je m’attendais à mieux. Comment puis-je valider votre stage dans ces conditions ?
- Heu, je ne sais pas... Je peux le refaire ?
- Pas le temps, vous finissez mercredi. »
Moi qui suis plutôt bienveillante dans ces cas-là, je prenais un malin plaisir à être cassante. Et plus je l’étais, plus je sentais une humidité révélatrice envahir mon string.
Je repris la parole, d’un ton toujours aussi autoritaire :
« J’ai mon idée. Mais tu dois n’en parler à personne, ou tu sais que je peux te casser professionnellement à vie ici ?
- Oui Madame, je sais ça.
- Bien. Ton travail est passable. Mais je veux vérifier tes capacités.
- Je fais tout ce que vous voulez, Madame, souffla-t-il en baissant les yeux.
- A la bonne heure, c’est la réponse que j’attendais. »
Je me tournais vers l’interphone : « Sandrine, qu’on ne me dérange plus pendant une heure. Ce jeune homme a encore beaucoup à apprendre ! »
Et je pris soin de débrancher l’appareil pour être sure qu’elle n’écoute pas à mon insu.
Kenny, le stagiaire, était toujours debout, planté devant mon bureau. Je fis pivoter mon fauteuil, et posai un pied sur le plateau. Une légère odeur d’excitation monta à mes narines dès que j’ouvris ainsi grands mes cuisses. Là, j’étais carrément excitée ;
Devant le regard interloqué du jeune homme, je lui ordonnai :
« Viens ici, de ce coté. »
Tel un automate, il obéit, une fois de plus.
« A genoux !
- Mais Madame…
- Tu m’as bien dit que tu ferais tout ce que je veux ?
- Oui Madame, mais là, que voulez-vous de moi ? »
J’écartai de l’index l’échancrure de mon string. Il soupira, perdant d’un coup sa timidité.
« Quelle belle chatte ! Je n’avais jamais vu en vrai la fente d’une blanche. Putain ! Oh pardon !
- Pas grave. Elle te plait vraiment ? souriais-je.
Je savais la partie gagnée. Et en plus, il allait m’obéir…
« Approche-toi ! Défais ta ceinture, que je vois ta bite. »
Toujours à genoux, il défit son jean, et pour mon plus grand plaisir, je vis sa belle queue sombre jaillir hors de la ceinture. Le filou ne portait rien sous son jean… Je constatais que son organe était au diapason de son corps : relativement court et épais. J’adooooooooore !
Je me soulevais pour ôter mon string, qui me semblait de plus en plus inutile. Ainsi libéré, mon abricot pu couler comme il voulait…
A deux mains, j’écartais mes lèvres bien gonflées de désir, et j’intimai à Kenny :
« Mange. Mange-moi, fais-moi jouir. »
Pour toute réponse, il se colla sa bouche, telle une ventouse, sur ma fleur avide. Avec application, comme un bon élève, il entreprit de lécher chaque partie de mon intimité baveuse. Il y mettait du sien, il passait sa langue dure sur mes lèvres, les écartait encore, enfonçait sa langue dans ma chatte que j’ouvrais au maximum…
Je voulais en profiter, ne pas jouir tout de suite. Mais le voyou savait y faire ! Pour lui donner un meilleur accès à ma grotte, je posais mon autre jambe sur l’accoudoir. Dans le même temps, il saisit le marqueur à promo (un gros marqueur triple des habituels du commerce…) qui était sur le bureau.
Surprise, je le laissais faire. Il sortit de sa poche arrière un préservatif. Un bon point pour lui, il était prévoyant, ce jeune homme !
Il l’enfila prestement sur le feutre, et le lubrifia avec le petit gel de la pochette. Excitée à mort, je me branlai frénétiquement le clito. Sa bite en frémissait.
« Ta chatte est trop bonne ! Tu me fais bander à mort ! »
Il prenait de l’assurance, le gredin !
« Tais-toi, ici, c’est moi qui parle ! »
Il obtempéra, et pour toute réponse, écarta d’une main mes lèvres trempées. Doucement, il introduisit petit à petit le feutre. Malgré la capote, je sentais le froid du métal. C’était divin…
Une fois le marqueur entré en entier, il le fit aller et venir de plus en plus vite, tout en dévorant mon clito. Je ne résistais pas très longtemps à un tel traitement ! Je jouis assez fort, en étouffant mes cris dans le dossier de mon fauteuil.
Le voyou n’arrêta pas pour autant, accentuant même sa succion sur mon petit bouton électrisé. Je jouis une nouvelle fois, en hoquetant mon plaisir. J’avais une telle envie de crier !!! Lui, il faudra que je le revoie « en privé » !
Je pensais en rester là, quand il sortit de mon vagin le feutre, et insinua son pouce dans ma rosette trempée de ma mouille… Je vis le coup venir. Je tentais de protester, mais il enfouit trois doigts dans ma chatte qui n’en n’avait pas encore eu assez. Et de l’autre main, il débuta la lente insertion du feutre dans mon conduit anal. Je me soulevais pour lui donner un meilleur accès.
Enfin, j’eus le marqueur dans mon fondement, bien inséré, avec douceur et doigté… Il continuait de fourrage dans ma chatte. Ainsi empalée de cette façon insolite, il se recula un peu pour contempler le tableau.
Je pus mater à loisir sa bite, qui perlait d’excitation… Ce serait pour un peu plus tard, j’avais déjà une petite idée assez perverse en tête !
Il s’approcha à nouveau de moi, la langue sortie. Une nouvelle fois, il me branla, me fourra, me baisa avec le feutre, avec sa bouche, avec sa main… J’étais remplie, comme si je n’étais plus qu’un sexe, sans rien autour…
Pour la troisième fois, je jouis par saccades, mourant d’envie de faire savoir à la terre entière combien il me faisait du bien !
Lentement, il sortit sa main et le feutre de mes orifices. Ma tête tournait, mais je devais reprendre le dessus. Mon image de femme rigide était sérieusement écornée.
Il s’était assis sur la moquette, la queue en l’air, droite et insolente.
Je lui ordonnai :
« Debout, viens près de moi. »
En avançant de trois pas, il fit descendre prestement son jean à terre. Ses cuisses étaient aussi belles que ses bras. Musclées, fermes, luisantes de sueur… Mhum, j’en salivais d’avance. Son mandrin épais pointait vers le plafond. Son gland était massif, bien décalotté.
Je voyais ses couilles pleines, lourdes. Je les attrapais en premier, pour sentir le poids de ces boules noires. Elles étaient si pleines que la peau était lisse, au lieu d’être fripée, comme d’habitude. Ca promettait…
De l’autre main, je saisis la tige épaisse, pas très longue, guère plus de quinze centimètres. Mais j’en faisais à peine le tour avec mes doigts.
Kenny s’approcha davantage, et je gobais le gland violet d’un seul coup. Il palpita dans ma bouche, tel un corps autonome et bien vivant. J’aspirais l’organe avec plaisir, goutant cette chair ferme et chaude. Il voulut appuyer sur ma tête pour m’imprimer un rythme. J’arrêtai son geste d’un mouvement sec, et le foudroyait du regard.
JE DETESTE QU’ON ME FASSE CA !!!
Pourtant, je repris ma fellation, avec un art consommé… D’ailleurs, il ne murmurait plus que « putain, putain, putain, c’est trop bon, t’es trop bonne... Personne m’a pompé comme toi. T’es une vraie femme… »
C’est exactement ce que je voulais. Je sais que les femmes d’ici sucent mal. Je voulais qu’il adore, lui laisser un souvenir impérissable, pour qu’il veuille recommencer, et surtout, se taise. Ce sera la condition sinequanone.
Imperturbable, je l’avalais, le pompais, lui massais ses couilles charnues. Je prenais un réel plaisir à saliver sur ce membre épais. Quelques soubresauts de son joli pieu m’indiquaient qu’il n’allait pas tarder à jouir. Sans qu’il s’en aperçoive, je pris sur mon bureau la tasse à café vide que Sandrine avait oubliée. Et là, je l’en remerciai intérieurement !
J’accentuais mes succions, les va et vient dans ma gorge. Il tapait au fond, et juste quand il jouit, je fermais les lèvres sur sa semence. Je me retenais d’avaler. Diantre, il avait une sacrée quantité à purger !
Quand je sentis le jet mollir, j’ouvris la bouche pour le libérer, et cracher son sperme dans a tasse. Tout d’abord, il ne me vit pas faire, encore étourdi de sa propre jouissance. Puis il dut entendre le bruit de salive que je faisais. Il eut l’air franchement étonné quand il constata que je laissais couler son foutre de ma bouche dans la tasse.
Là, je devenais vriament vicieuse… Ca me changeait un peu !
Pendant qu’il se rajustait, je pris le thermos de café, et versai le liquide encore chaud sur la crème de Kenny…
Là, il était franchement interloqué.
« Combien de sucre ? lui demandai-je en souriant.
- Euh, je ne sais pas… Il était terriblement gêné. Disons, deux… »
Sans hésiter, je mis deux sucres dans la tassé, et la lui tendis :
« Bois, ca va te requinquer !
- Mais Madame, dedans...
- Oui, je sais, dedans il ya ta crème. Un café à la crème, c’est bon le matin, non ?
- Ben, j’sais pas, j’veux pas… j’peux pas… »
Il me regardait totalement hébété. Moi, je riais comme une folle intérieurement !
« Tu obéis, sinon, je crie et je hurlerai que tu as voulu me violer ! »
En tremblant, et sans un mot, il porta la tasse à ses jolies lèvres pleines. Il lapa le café « enrichi » à petits coups de langue timides.
Enfin, il avala la dernière moitié de la tasse d’une seule gorgée, en grimaçant. Je lui souris d’una air satisfait :
« C’est bien, Kenny, tu e un bon stagiaire. Je vais valider ton stage. Mais si tu dois quoi que ce soit, je te casse à vie, tu te rappelles ?
- Oui Madame, je ne dirais rien à personne.
- Très bien, je n’en n’attends pas moins de toi. Tu peux partir. »
Il se tourna et alla vers la porte.
« Kenny, je garde ton numéro de protable.je t’appelle bientôt. Et si tu as envie d’un autre café, dis à Sandrine que tu as besoin d’une recommandation pour un poste…
- Bien madame, je le ferai, soyez-en sure ! »
Pour la première fois depuis qu’il m’avait vue avec la tasse, il me fit un sourire…
Il sortit sans se retourner.
Maintenait, je prie le ciel que je ne me sois pas trompée, et qu’il garde sa langue experte pour lui ! Pour une fois, je veux faire une exception à ma règle, et revoir cet inconnu. J’ai trop envie de hurler pour de bon sous ses caresses si originales !
Je t'assure qu'il n'a pas beaucoup hésité ! Mais un seul mot de refus de sa part, et je laissais tomber mon chantage !
Si tu aimes la crème, pas de soucis, ca fera l'affaire... ;-)
Pose ta candidature, je la traiterai avec attention !
Tu ne m´avais pas dit que tu étais une vraie mère fouétard !
Il ne te manque que des cuissardes en cuir, un martinet et on pourra t´appeler maîtresse SOSO. LOL, un kikou.
Que veux-tu, on se découvre chaque jour un peu !!!
Un sm@ck, que je sors ;-)
C'est peut-etre le plus difficile ! Parfois, on n'a pas envie...
Si je les donne, les coups de fouet ! Mais celui qui voudra me le faire sentir le regrettera toute sa vie !
je pense voir de qui tu veux parler ;-)
Mais il se connait déja non ? ou peut-être pas.
On n´est jamais que comme l´on nait.... YOOOOOOOOOOOOOOO
Si un homme tient vraiment à etre fouetté, pourquoi pas. Mais je n'y trouverai sans doute pasun plaisir fou !
J'en connais, en effet, mais je ne sais pas si je serais capable de le faire.. j'suis sans doute trop gentille.... :-(
Je te fais confiance, je sais que tu n'oublierai pas la crème, et même un supplement si un autre "stagiaire" était là !
Je n'avais jamis fait une chose pareille, mais j'y ai pris un plaisir infini !
lol
"Maitresse Soso", je n'en mérite pas tant !!! je ne sais pas si je serai si à l'aise que ça dans ce rôle...
Merci à toi, le principal est qu'il te procure des moments de plaisirs... ;-)
Quant à me connaitre de l'interieur.. Qui sait... Tu n'es qu'à quelques kilomètres de moi ! Mais nos emplois du temps concordent peu !
J'aurais aimé être a sa place :) !
Merci aussi d'avoir raconter tes expériences et fantasmes, j'ai vraiment pris mon pied à tous lire en espérons d'autre à venir.
Ca n'est arrivé qu'une fois, car au bureau, je fais très attention. mais moi ausis, j'avais adoré !