Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Madame Sonia nous avait appelés la veille. Monsieur Henri voulait me voir seule, pour la deuxième étape de notre contrat.
Carl avait protesté, mais s'était résigné. Nous avions accepté ce pacte sexuel.
J'ai pris le pénis de mon amour dans ma bouche, et je l'ai doigté à nouveau, il s'est laissé aller en me disant que je savais si bien faire. Moi, je me disais que j'aimerais bien avoir une queue, des fois, pour le prendre complètement. Puis Carl s'est relevé, m'a baisé la bouche et m'a éjaculé partout sur le visage. Il s'est excusé ensuite. M'a dit seulement :
« C'est peut-être ça que Henri va te faire... »
J'ai répondu :
« Tu commences à savoir, toi, ce qu'il te fera... »
Nous nous sommes serrés dans les bras.
« Prend soin de toi » m'avait dit Carl à mon départ.
Je lui avais souri, n'avais pas répondu.
Je me suis alors pointée seule au bureau de Monsieur Henri. Sonia et lui travaillaient quand je suis entrée. Sonia s'est levée, m'a caressée le visage puis m'a embrassée en me disant bienvenue. Henri m'a regardée et m'a ordonné :
« Danse !
– Mais... il n'y a pas de musique...
– Je t'ai dit, danse ! »
Je ne savais que faire. Tranquillement, je me suis mise à onduler du corps, du bassin, jouant avec mes cheveux. Je me suis approchée de monsieur Henri qui continuait à travailler, je me suis approchée de lui jusqu'à un mètre environ, de son côté de bureau. Sonia s'est assisse dans le divan où, la fois précédente, Carl et moi avions sucé Henri. Il a relevé la tête, m'a regardé d'un œil pervers.
« Très bien... déshabille-toi maintenant ! Et danse encore ! »
C'est là que je me suis mise à faire la pute. En déboutonnant ma petite chemise tranquillement, en l'enlevant, en me cachant les seins, en me tournant de dos, en dégrafant mon soutien-gorge noire pour qu'il voit bien le geste, puis toujours en dansant lascivement, en dézippant ma jupe de secrétaire.
Je ne l'ai pas vu arriver, Monsieur Henri. Il s'est attaqué à mes fesses, en les pétrissant, puis en enlevant rapidement mon slip. Il m'a pris les bras, les a tirés dans mon dos.
J'avais une petite douleur aux épaules. Il me tenait les deux bras d'une main, et de l'autre, il a enfoncé sa queue dans ma chatte. Puis, il a poussé ma nuque contre le bureau, il me tenait toujours les bras et il m'a baisé. Littéralement. Sans plus de cérémonie.
Et me voilà les seins écrasés sur le bureau de Monsieur Henri, lui me tenant les deux bras dans le dos, à me faire baiser comme une pute du luxe par derrière. La situation aurait pu être plus excitante.
Mais Henri le PDG semblait préoccupé et semblait vouloir se servir de moi que comme un défouloir. Et il me baise rapidement, sans ménagement, en me tenant les deux bras dans le dos. Je me suis abandonnée.
Ce n'est pas un viol, c'est seulement une baise précipitée, et je suis consentante. Il nous faut cet argent, Carl et moi !
Et me voilà, là, en repensant à Carl qui m'a dit : « Prends soin de toi ! », à me dire que nous avions besoin de cet argent, et de voir Madame Sonia s'asseoir dans le fauteuil devant moi.
Elle se masturbe, Sonia, avec un gros gode-michet. Je le vois entrer et sortir de sa vieille chatte, et je suis hypnotisée par Sonia et ses mouvements, tandis qu’Henri me besogne de plus belle en soufflant comme un porc.
Je ne peux pas bouger, et Sonia retire son gode de sa chatte, s'avance vers moi, et me le met en bouche, tout en me maintenant par le cou. Et Henri se retire, me libère les bras. Je m'appuie contre le bureau mais ne peux pas plus bouger, Sonia me tient et m'enfonce son objet élastique dans la bouche. Je sens Henri m'éjaculer dans le dos, c'est chaud et gluant, il râle puis me tape les fesses. C'est fini. Sonia retire son membre artificiel et se rassied dans le fauteuil...
« Rhabille toi, mais ne te lave pas avant d'être rendue chez toi. Je veux que ton « fiancé » voie ce que je t'ai fait... »
Je me redresse et cherche mon slip.
« Au fait, je le garde », me dit Monsieur Henri.
Il s'essuyait déjà le pénis avec mon slip. Je mets ma jupe, mon soutif, reboutonne ma chemise. Sonia me fait signe de la rejoindre. Un papier sur le bureau, à côté du gode.
« Signe ici, la deuxième étape est réalisée », me dit Sonia.
J'ai signé mon nom. Puis Henri vient près de moi :
« Merci, tu as été bien bonne, merci... et... n'oublie pas ce que Sonia t'a dit... à propos de ton fiancé... »
Je hochai la tête, puis sorti. A l'air libre, j'avais envie de pleurer. Le vent entrait sous ma jupe. Je n'avais pas joui, avec monsieur Henri. Si au moins... Je m'étais vraiment fait prendre comme une pute.
Et je sentais son sperme me couler le long des reins, et me tacher la chemise.
Me voilà anxieuse. Carl est parti depuis trois heures.
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3.
Deux jours après ma rencontre privée avec Monsieur Henri, Sonia nous a rappelés. C'était au tour de Carl de rencontrer notre investisseur. Tout seul. Carl a raccroché le téléphone en fermant les yeux, et en serrant les dents.
« Tu crois qu'il va vouloir m'enculer ? «
Je me suis approché de lui, lui ai caressé les cheveux, l'ai embrassé.
« Courage, lui ai-je dit. Après cela, il ne nous reste qu'une séance, et la boite de Monsieur Henri payera ce qu'on demande pour mener notre projet à bien, en toute indépendance. »
Carl a hoché la tête.
« Oui, mais...je ne suis pas gay moi, et j'ai jamais eu une queue dans le cul... je t'aime !
– Moi aussi je t'aime. »
Nous nous sommes embrassé, puis déshabillé. Je l'ai sucé encore, à genoux devant lui. Puis il s'est retourné, et a cambré son cul, en se tenant contre le dossier d'une chaise.
« Prépare-moi... »
Je lui ai léché l'anus, enfonçant ma langue bien profondément. Il aimait ça Carl, se faire lécher et pénétrer. Je l'ai doigté encore, un doigt, puis deux, ça entrait tout seul. Au cours de la dernière semaine, je l'ai enculé à tous les jours. Et il jouissait sans que je ne lui touche le pénis. Son anus était détendu. J'aurais bien aimé être présente lorsque Monsieur Henri prendrait mon mec en levrette... Carl est parti, et me voilà anxieuse. Il n'est toujours pas revenu.
Ah non, le voilà ! Il entre dans notre appartement, referme la porte et se retourne. Me sourit :
« Ça va ?
– Oui, ça va... ça s'est bien passé... »
Il est allé dans la cuisine se prendre une bière qu'il a bu en trois gorgées, puis s'est est repris une avant de me rejoindre.
« Tu veux me raconter ?
– Je dois te dire... ton mec, il est bisexuel !
– Tu veux dire ?
– Je t'aime mon amour... mais comment dire... je te raconte :
« Je suis arrivé de leur bureau. Ils travaillaient sur des papiers. Monsieur Henri m'a demandé de m'avancer. Et de danser. J'ai dit que je ne savais pas danser. Comme toi, il voulait que je me déshabille en dansant, ce que j'ai fait maladroitement. Sonia était là, en jupe de secrétaire et s'est assise dans le divan. Elle a relevé sa jupe et s'est caressé.
Comme je me déshabillais tranquillement, en tentant de danser, monsieur Henri a vu que je ne bandais pas. J'étais nu, Sonia et Henri encore habillé. Sonia a relevé sa jupe, a enlevé son slip et m'a demandé de la lécher. Je me suis donc agenouillé devant elle, et je l'ai lécher. Je lui aie rentré deux doigts aussi, elle a vite joui, la vieille.
C'est là que je me suis mis à bander. Elle m'a dit de me mettre à quatre pattes devant elle et de continuer à la lécher. Entre les jambes de Sonia, j'ai pu voir Henri se déshabiller à son tour. Je masturbais Sonia de deux doigts, ma langue jouait avec son clitoris, elle goûtait bon; elle, elle me caressait les cheveux et Henri a mis ses deux mains sur mes fesses, il les a pétri... Je te remercie mon amour, tu m'as fait adorer ça...
J'ai sorti mes doigts de la chatte de Sonia, et me suis maintenu sur ses cuisses. Je tentais de me concentrer pour la lécher encore, mais Monsieur Henri m'a léché à son tour. Je voulais enfoncer ma langue le plus long possible dans Sonia pour que lui, il enfonce plus la sienne dans mon cul. Quand même ! Ton mec s'est fait lécher le cul par un PDG ! »
Il riait, un petit sourire en coin.
« Et alors ?
– Alors, Henri s'est levé, et a glissé son gland contre mon cul. Il m'a enculé, ça a commencé tout doux, il s'est enfoncé doucement. Je n'ai rien dit, mais j'ai cessé de lécher et de masturber Sonia, je me tenais sur ses cuisses. Elle a pris mon visage, m'a caressé. Je sentais franchement la queue d’Henri me prendre. J'ai soufflé lorsqu'il est sorti de moi, pour mieux me reprendre. J'ai soufflé encore. Sonia m'a embrassé et a dit :
« Mais il aime ça notre entrepreneur, il aime se faire enculer, tu devrais voir son visage, on dirait qu'il rêve ! »
Henri a répondu :
« Très bien » et il a continué, puis a dit : « J'aime bien ses fesse à ce jeune homme, vraiment.. »
Sonia de répondre : « Tu préfères l'enculer lui que moi ? » et Henri de dire : « Je n'ai pas dit ça, mais lui, vraiment... »
Il coulissait en entier dans mon cul, je me suis laissé aller complètement, c'était vraiment la première fois que je me faisais enculer autant, j'aurais voulu arrêter, mais je ne pouvais pas, Henri continuait et j'ai joui, mon amour... si tu pouvais savoir... j'ai tellement joui... et je bandais toujours. J'ai entendu Monsieur Henri gémir, comme s'il allait éjaculer, je me suis masturbé à mon tour, je bandais un peu mollement, mais je bandais quand même. Je me suis senti vide quand Henri est sorti de moi, et il m'a éjaculé dans le dos, à moi aussi...
J'ai soufflé, j'ai attendu, Monsieur Henri était parti. Je me suis levé debout, et me suis masturbé devant madame Sonia.
C'est une vieille salope, elle. Elle a ouvert la bouche, m'a sucé, je lui tenais la nuque à mon tour puis je lui ai éjaculé sur le visage, sur les lunettes, partout ! Faut que je dise, mon amour... j'ai aimé ça.
– Mais pourquoi ça t'a pris tant de temps ?
– On a pris un verre, après. J'ai signé aussi. Mais ils ont rajouté une condition.
– Laquelle ?
– Comme j'ai éjaculé sur le visage de Sonia, elle doit m'enculer à notre prochaine rencontre...
J'étais pensive, nous arrivions à la fin. Je pouvais peut-être montrer mon petit achat à Carl ? Oui, allez ! C'était un gode ceinture. Je comptais bien l'apporter à notre dernière séance, avec Monsieur Henri et Madame Sonia...
Comment nous sommes-nous retrouvés dans cette situation ? Notre ambition, notre désir de liberté, d'indépendance ? Comment nous sommes-nous retrouvé ainsi ?
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4.
Quelques jours plus tard, c’est la quatrième et dernière étape. Je suis assise sur le visage de Carl, il me lèche le clitoris et je lui barbouille le visage de ma mouille. Même mon anus a droit à sa langue. Dans ma main, je tiens sa queue, mi-dure mi-molle, des fois je me penche pour le sucer. Mais le plus souvent, je le masturbe puisque Monsieur Henri, debout, m'oblige à gober la sienne. Il joue avec ma nuque pour m'enfoncer son pénis en bouche.
En rythme, je tente de masturber mon amour Carl. Qui se fait enculer par le gode ceinture de Madame Sonia. Elle lui tient les jambes hautes, elle se laisse dériver dans son cul, et semble tellement aimé cette sensation. Le visage de Sonia est jouissif.
La langue de Carl me cherche, et il souffle, il gémit, il se fait baiser par Sonia qui elle, a un sourire dans la voix :
« Que c'est bon ça Henri ! Tes petits protégés sont exquis !
– Oh oui ! »
Et voilà que le PDG me baise la bouche, je ne peux plus le retenir, il va et vient rapidement dans ma gorge, j'en ai un haut-le cœur, puis il ressort et me donne des petits coups de pénis sur les joues. Je reprends mon souffle.
« Oh oui », qu'il dit encore.
Monsieur Henri vient derrière moi. Je vais me faire prendre à mon tour et je l’attends, cambrant mon dos. Il me pénètre, me prend, me baise et je perds la carte.
Pour la suite, je n'ai que des images floues :
Madame Sonia qui me fait sucer son gode, Monsieur Henri qui m'encule, Carl qui caresse les seins de Sonia.
Ou bien : Carl à quatre pattes se faire défoncer par Sonia, et sucer Henri.
Ou bien : complètement enculer par Henri, la tête et les épaules sur le plancher, complètement soumis, passif.
Ou bien : Je suis en train de doigter les culs de Henri et de Carl, madame Sonia sucer Carl.
Dernière image; Carl me faisant l'amour en missionnaire, la queue de monsieur Henri éjaculant entre nos deux bouches tandis que madame Sonia encule Carl encore et encore...
Lendemain. Carl et moi nous nous sourions, à la maison. Nous avons réussi. Nous pourrons mettre à profit notre expertise. Nous avons eu notre investissement. Nous sommes restés indépendants.
C'est parfait. Nous n'avons aucune honte. Un petit souci éthique, peut-être. Mais cet investissement de Monsieur Henri nous a complètement soudés, Carl et moi.
Et Carl me parle de bisexualité, librement.
En effet, et c'est ce qui est bon !!!
Il faut essayer, mon cher, il le faut... mais comme je l'ai deja dit en réponse à d'autres commentaires, ce récit n'est pas de moi, mais de Martine...
A toi de voir.. mais il faut quand meme rappeler que le harcèlement sexuel est un délit... ;-)
Dans ma prochaine vie, promis juré, je m'inventerai tout plein de projets comme Martine et Carl afin d'avoir le plaisir de me faire prendre encore et encore.
Dites, les amis, si vous vient une envie développer encore votre affaire, n'hésitez surtout pas à nous en faire profiter!!!
Tu sais que tu peux deja le faire dans ta vie presente ! tu es loin de l'avoir achevée !
« Demain, j'ai rendez vous chez le gynéco, tu m'accompagnes ?
_ Désolé, Liz, mais j'ai des réunion toute la journée demain.
_ Fais chier, tu sais que j'aime pas y aller toute seule
_ Oui je sais, mais je ne savais pas que ton rendez vous était demain, et c'est des réunions assez importantes, alors ... le travail avant tout, non ?
_ Oui, oui tu as raison, mais bon tu pourrais faire un effort.
Ma douce est contrariée, elle a toujours une certaine appréhension avant d'aller chez son gynéco. Il faut dire que l'examen, nue, les pieds dans les étriers n'est pas des plus agréable. Cela dit, je n’ai jamais compris pourquoi son docteur la fait déshabiller entièrement. Demain, je ne pourrais pas y être et je m'en veux. Parce que je ne serais pas là pour elle quand elle en a besoin, mais aussi parce que son examen m'excite au plus haut point. J'ai toujours été attiré par les jeux médicaux, sans que j’aie jamais eu le courage d'en parler à Liz. Sans doute par peur de passer pour un pervers. Ma belle est plutôt conservatrice niveau sexe. En tous les cas, j'essaie de ne jamais rater une séance de gynéco, que je conclus d'une bonne branlette dans les toilettes du cabinet.
Le soir, ma chérie est différente. Pas de changement radical, juste des petits détails invisibles pour qui ne la connaît pas bien mais qui ne m'échappent pas. Je mets tout ça sur l'épreuve de son rendez-vous médical. Finalement, au repas, je rassemble tout mon courage et je lui pose la question fatidique :
« ça c'est bien passé cet après-midi ?
Je m’attends à tout sauf à ce qu'elle va me répondre. Je me suis pourtant préparé à toutes les éventualités, avec des arguments à l'appui. Mais sa réponse va me laisser sans voix !
« Super bien mon coeur. D'ailleurs, il veut nous voir ensemble la semaine prochaine.
_ Il veut « nous » voir ?
_ Oui « nous », je crois qu'il s'est habitué à ta présence et que tu lui manques
_ Ca va, j'ai compris. Sinon, tu vas bien ?
_ D'abord, ce n’est pas une plaisanterie, il veut vraiment nous voir la semaine prochaine, et oui ma petite chatte est en parfaite santé. Pour la peine, c'est toi qui vas faire la vaisselle, la lessive et le ménage jusqu'au rendez vous. En plus, tu me feras de bons petits plats et, au moins, une demi-heure de massage des pieds tous les soirs. Compris ?
_ Oui chérie, dis-je un peu abasourdi par la rafale qui vient de me tomber dessus.
Je ne l’avais jamais vue comme ça, sure d'elle et autoritaire. On peut dire que normalement, c'est plus moi qui suis dominant dans notre couple. Mais j'accepte ma pénitence sans broncher. Donc après manger, je m'acquitte de toutes mes nouvelles charges ménagères puis je rejoins Liz dans notre chambre. Elle est en train de lire, les jambes sous les couvertures. Sans lever les yeux de son livre, elle se dégage les pieds.
« Trente minutes et pas une de moins, j'en ai vraiment besoin !
Je me mets à genoux devant le lit et, après m'être huilé les mains, je lui masse consciencieusement chaque pied. J'ai du mal à savoir si elle apprécie ou pas mes efforts tant elle reste imperturbable. Je m'applique deux fois plus sur mon ouvrage, je veux la voir au moins sourire. Pour lui faire plaisir, je rajoute un quart d'heure de plus à mon massage ... mais elle reste impassible. Résigné, j'abandonne et quand je prends appuie pour me relever, elle écarte grand ses cuisses, relevant par la même occasion sa fine nuisette, me dévoilant son sexe fourni.
« Bouffe-moi la chatte, et n'espère pas plus ce soir !
Je ne réfléchis même pas à sa phrase et je me jette entre ses douces cuisses. Je glisse ma langue entre ses grandes lèvres pulpeuses. Elle est trempée et son odeur est puissante. Je m'amuse à voyager de son clitoris encore dissimulé sous son capuchon à l'ouverture serrée de son vagin. Je ferme les yeux pour ressentir tous les fins détails de l'anatomie de Liz. Puis je remonte vers son bourgeon que ma langue débusque dans son abri. Le petit organe érectile palpite sous ma langue. Je lui fais subir tout mon arsenal de tourment. Liz serre et desserre les cuisses dans un geste semi inconscient. Sa respiration s'accélère et un léger gémissement coule, de ses lèvres, dans mes oreilles. C'est le meilleur des euphorisants. Je redouble d'efforts pour faire partir Liz. Elle plaque ma tête de ses deux mains sur sa fleur. Ses gémissements se font continus et crescendo puis un tremblement parcourt tout son corps, des pieds à la tête. Elle serre ses cuisses au maximum que ma tête le permet. Elle vient de jouir. Et j'ai aimé ne pas la toucher plus qu'avec ma langue.
« Tu peux te branler devant moi si tu veux, cela dit je te le conseille parce qu'après, c'est ceinture jusqu'à mardi prochain ! ».
Je ne sais pas bien comment réagir à son propos. Je suis rappelé à l'ordre par ma verge tendue au maximum. Je suis toujours à genoux entre les jambes de ma femme et j'ai une vue dégagée sur son sexe encore luisant du mélange de ma salive et de son jus intime dont l'odeur puissante embaume la pièce. Ma main va toute seule dans mon caleçon pour sortir mon sexe. Liz glousse quand je me retrouve nu devant elle. Elle me fixe avec un regard ironique qui me met à la fois mal à l'aise et la tête en feu. Sans trop réfléchir, je prends ma queue à pleine main et je me branle lentement. J'ai envie de faire durer. Sauf que mon corps en décide autrement et, en moins d'une minute, j'éjacule sur les draps. Je suis encore dans le bain d'endorphine de mon orgasme quand je sens une main me tirer vers l'avant. Je perds l'équilibre et je me retrouve nez à nez avec ma semence qui souille les draps. La main de Liz me tient fermement le poignet.
« Tu es un gros dégueulasse, soit tu lèches, soit tu changes les draps !
_ Je ... je change les draps chérie ... pardon.
_ Dépêche-toi, je gèle !
Je cours presque pour refaire le lit et, en moins de dix minutes, je livre un nid bien douillet à ma chère et tendre. Liz prend place et après m'avoir posé un chaste baiser sur le front, se retourne et s'endort dans la minute, me laissant seul avec mes questions sur ce qui venait de se passer. J'ai eu les pires difficultés à trouver le sommeil.
Le lendemain s'est déroulé selon les souhaits de ma chérie, je me suis occupé de tout à la maison et le soir, après le massage des pieds, je me suis occupé aussi de son petit minou. Seule différence par rapport à la veille; je n'ai pas eu droit de me soulager. J'aurais très bien pu le faire une fois qu'elle a sombré dans les bras de Morphée, mais je me suis retenu, je dois faire pénitence comme elle le désir. Toute la semaine s'est passée de la même façon, et je crois que j'ai vraiment apprécié de me concentrer uniquement sur son plaisir. En tous cas, j'espère qu'elle a aimé.
Arrive enfin le jour de la visite chez le gynéco. Liz passe de longues minutes dans la salle de bain avant d'en ressortir pimpante et assez excitée, comme si ses ablutions avaient fait disparaître sa peur du spéculum. Je suis content de la voir comme ça. On monte en voiture et je prends la direction de la grande maison du praticien. La route est assez courte et on arrive vite en vue de la grande bâtisse, ceinte de hauts murs seulement percés d'un lourd portail noir. Je m'arrête près de la plaque en cuivre disant Dr Rool, Gynécologue, reçoit sur rendez-vous. Je presse la sonnette et avant que j’aie le temps de parler, un grésillement dans le haut parleur précède le lent mouvement de la grille qui s'ouvre. Je remonte lentement l'allée en gravier borée de platane et je me gare devant les escaliers qui mènent au perron. Bizarre, il n'y a pas d'autre voitures dans la cour. Liz me précède et le temps que je ferme la voiture, elle est déjà en haut des escaliers, le doigt sur la sonnette. J'arrive à mon tour devant la porte quand cette dernière s'ouvre sur une femme sublime d'une quarantaine d'années. J'en reste bouche bée, je dois avoir l'air un peu idiot. Liz me tire par la main pour me faire rentrer. La belle infirmière nous indique la salle d'attente, nous signalant que le docteur Rool arrive.
« Elle est belle Annette hein, elle fait pas ses quarante huit ans !
_ Je ... sais pas
_ Arrête, tu es pathétique, il aurait fallut être aveugle pour ne pas t'avoir vu baver sur ses gros seins !
_ Le docteur Rool va vous recevoir, si vous voulez bien me suivre
La belle brune nous conduit dans le large couloir aux murs encombrés de vieux tableaux poussiéreux. Je lève les yeux au plafond, je n'avais jamais remarqué l'énorme lustre en cristal. L'infirmière entre, suivie de Liz, je ferme la marche.
« Bonjour ma chère, c'est un tel plaisir de vous revoir.
_ Je peux disposer docteur ?
_ Non Annette, veuillez rester, je vais avoir besoin de vos bons offices. Prenez place je vous en prie.
En disant sa phrase, il nous indique les deux fauteuils rococo devant son bureau du même style. Je m'assois et je regarde autour de moi. C'est la premièr
Merci de ta belle histoire, que je vais publier en debut de semaine, si tu veux bien... comme cela, tout le monde pourra en profiter ! mais ce serait mieux d'avoir la fin... ;-)
tu peux la poster ici, ou me l'envoyer par mail : sophie.derawensky@yahoo.fr
Hummmmmm ce que j'aimerais trouver ce genre d'investisseur, j'aie besoin de 30 000 euros et ma femelle et moi on sera très coopérantes.
Bisesssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss
En cherchant bien je suis que tu trouverais !