Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Ce bonheur retrouvé n'aida pas à calmer mon érection, loin de là. Ma main glissa très vite de sa cuisse vers son entre-jambes ou je trouvai une humidité très accueillante, ce accompagné d'un sourire engageant sur son visage.
« T'arrive t-il de ne pas être prête ?
- Allons... tu sais bien que je suis toujours prête pour mon maître. »
Plus que ses mots, c'était le ton de sa voix qui était très excitant. Je n'avais qu'une envie, c'était de lui sauter dessus. Ce fut d'ailleurs ce que je fis dans l'instant. Pour être plus exact, je roulai sur elle, entre ses cuisses, pour la pénétrer d'un bon coup de reins. La réalité est toujours plus cruelle, et ce fut au bout de trois coups malheureux qu'elle saisit mon sexe pour le positionner et me donner accès au paradis.
Nous fîmes l'amour face à face, les yeux dans les yeux. Ce fut un échange de coups de hanches, de mots d'amour échangés à voix basse, et de baisers très tendres. Elle était souriante, les yeux pétillants, toute de bonheur. A ce moment là elle était belle comme aucune femme ne le sera jamais. Elle se retint de son mieux mais laissa échappa de faibles gémissements de plaisir qui me remplissaient d'aise et de fierté. Nous fîmes l'amour dans le silence et la complicité, essayant de ne pas nous faire entendre de nos parents. Alors que l'orgasme était proche, je cherchai à sortir, n'ayant pas de préservatif, mais elle saisit mes fesses et me plaqua en elle me murmurant de ne pas m'inquiéter parce qu'elle faisait ce qu'il fallait. Soulagé, je joui profondément en elle puis me laissai rouler à ses côtés, essoufflé. Après une vingtaine de minutes de repos et de caresses, elle se leva, enfila une culotte et un tee shirt long, et m'emmena petit déjeuner.
Il était déjà neuf heure trente, et le bus était à dix heures. Je dus me dépêcher pour ne pas le rater. J'embrassai toute ma famille et me précipitai, l'attrapant juste à temps. Le voyage me laissa le temps de réfléchir. Elle m'avait dit faire ce qu'il fallait, elle devait donc certainement prendre la pilule. Le petit mot à la webcam n'était certainement qu'une façon de parler, un jeu sexuel, faire comme si. Elle ne pouvait pas vouloir mon enfant, pas après ce qui s'était passé. Cela ne m'expliquait pas pourquoi elle m'avait fait connaître Lucie. Chloé semblait toujours m'aimer, alors pourquoi m'offrir à une autre ? Ce n'était probablement pas pour satisfaire un trop plein de désir sexuel, puisque c'était Chloé qui venait toujours à ma rencontre pour ça.
C'est toujours perdu dans mes pensées que je sonnai à la porte, pourtant ma tête se vida d'un coup lorsqu'elle s'ouvrit. C'était Lucie, bien évidemment, et elle était toujours aussi belle... sauf que cette fois elle était entièrement nue. J'entrai vite et fermai la porte derrière moi.
« Mais... Et si un voisin passait ?
- Nous sommes au dernier étage, et mes voisins de palier sont un couple gay... Je ne m'en fais pas trop pour ça »
Ma main vint se poser distraitement sur l'un de ses seins dont elle caressa le téton tendu. Elle était
vraiment très bien faite, et sa poitrine, quoique plus petite que celle de Chloé, me semblait irréprochable. La seule chose qui me gênait un peu était son sexe, où je ne voyais pas la moindre
trace de pilosité. Cela donnait étrangement l'impression de reluquer une adolescente pré-pubère, et malgré cela la vision excitait très fortement ma libido. Loin d'être gênée, elle semblait au
contraire très satisfaite que je l'observe ainsi.
« Est-ce que tu aimes le spectacle ?
- Je suis fan. J'en redemanderai souvent.
- Profites-en bien, parce que comme je ne sais pas quand ton ex nous laissera à nouveau seuls, je compte bien ne pas en gâcher une miette de ce weekend. »
Son regard gourmand en disait long. Je venais à peine de faire tout ça, il y avait tout juste deux heures... Si elle était aussi demandeuse que Chloé, elles me tueraient à force !
Même si je me doutais bien que je ne tiendrais pas longtemps à ce rythme, je me sentais d'attaque pour une suite, surtout avec une aussi jolie créature. Elle m'embrassa et commença à défaire les boutons de ma chemise. Je les regardais sauter un à un, lentement. Elle prenait son temps en me souriant. Pour elle ne rien gâcher ne signifiait pas me sauter dessus comme l'aurait fait Chloé, mais savourer chaque instant. J'en remerciais le ciel. Ma chemise finit au sol, et elle s'agenouilla pour s'attaquer, cette fois, à mon pantalon après m'avoir retiré chaussures et chaussettes.
Je mis quelques temps à comprendre : plus que de prendre son temps elle me forçait à attendre qu'elle finisse. C'est avec un plaisir pervers qu'elle retenait ses gestes pour me faire languir, créant chez moi un désir et presque un besoin que je ne pensais pas ressentir avant au moins le soir. Ceci fait elle repartit vers sa chambre, faisant rouler ses hanches de façon hypnotique. J'ignorais totalement s'il s'agissait d'une méthode typiquement féminine ou si elles s'étaient donné le mot, mais l'effet que ce déhanchement avait sur moi était vraiment impressionnant. Je la suivis dans sa chambre sans penser à rien d'autre qu'à cette chute de reins qui dansait sous mes yeux.
Sa chambre était très féminine, je dirais même un peu gamine. Les murs étaient recouverts par un papier peint rose bleu et blanc, et le lit avec quelque chose de celui d'une princesse. Il s'agissait d'un grand lit à deux places, haut et large, qui disposait de tête et pied de lit en bois sculpté représentant un étrange canevas de branches et de feuilles, comme s'il s'agissait de la couche de quelque princesse elfe ou d'une sylphide.
D'au-dessus de ce lit tombait un dais de tissu blanchâtre et transparent comme un voile de vapeur. Tout dans sa chambre était de bois sombre et orné, se détachant nettement du mur. Ce contraste donnait une impression d'immensité, comme si les murs eux-même n'étaient qu'un horizon, un ciel lointain, et que derrière les meubles s'étendaient une lande infinie. Au milieu de ce monde interminable trônait le lit, et derrière son rideau de mystère une créature était étendue et m'attendait, déesse posée au centre du monde pour la seule raison que nul ne pouvait désirer vivre loin d'elle.
Je m'approchai dans cette ambiance mystique, presque religieuse. Une odeur d'encens flottait dans l'air sans être entêtante. Elle laissait flotter loin l'esprit pour ne laisser que l'âme et le cœur atteindre la perfection à la peau laiteuse étendue presque à portée de main, et aussi inaccessible qu'un idéal par la seule crainte révérencieuse qu'elle inspirait. Si son sourire n'avait pas été si doux et engageant, je n'aurais sans doute jamais eu le courage de tenter une plus grande proximité. Ma main écarta le voile comme on tente de dissiper un mystère, pour me rendre compte que ce qu'il dissimulait à peine n'était pas moins beau, mais touchait au contraire au sublime.
Son souffle paisible soulevait sa poitrine à un rythme lent et calme. Elle me souriait toujours, m'invitant à approcher, et me tendit la main que je baisai, mettant inconsciemment genoux à terre. D'une tension légère, elle me fit me relever et je montai sur le lit, m'approchant d'elle petit à petit. Sa peau était plus douce que le velours, son souffle plus doux que la caresse du soleil, et plus brûlant encore. Son corps était d'une perfection qu'aucun de mes mots ne pourra jamais décrire.
Je lui fis l'amour à ce moment, et je n'en dirai pas plus. Certains disent avoir vu Dieu après être restés morts quelques instants. Moi, je mourus quelques instants, pour renaître après avoir rencontré Dieu. C'est une femme. Chloé serait toujours chère à mon cœur, mais Lucie serait celle qui détiendrait mon âme, je le sus à cet instant comme on sait que le Soleil nous réconforte, comme on sait que la Lune nous fait rêver, comme on sait que la défaite est alors plus belle que toute victoire.
Ce weekend est resté pour moi un mystère. Je ne m'en souvins jamais, n'en gardant qu'une impression de bonheur, de félicité parfaite et d'harmonie totale. Je ne sais pas si j'étais heureux, mais mon âme était en paix, en harmonie avec l'univers. J'avais trouvé mon centre et savais désormais qui j'étais, où j'allais et pourquoi j'y allais. Un amour peut détruire un homme plus sûrement qu'une épée, celui-ci me bâti mieux qu'un architecte, plus solidement qu'une pyramide. Le bus qui me ramena à la maison ne me vit pas rêveur ni perdu de quelque façon que ce soit. Je savais.
CHAPITRE 28 : Tu es un homme, mon fils !
Alors que je remontais la rue qui me ramenait chez moi, mon chemin croisa celui de ma sœur qui repartait en voiture. Elle me fit juste un signe de main auquel je répondis en souriant. J'attendrai pour pouvoir lui parler, parce que je sentais que ça s'imposait. Arrivé au portail il me fallait encore dix minutes de marche pour atteindre la maison. Les dimensions du terrain et l'isolement de la demeure avaient certainement leurs avantages, mais à pied ce n'était pas aussi drôle tous les jours. Je vis bientôt le toit se détacher de la cime du bosquet qui l'entourait. Je revenais physiquement sur Terre, mais quelque chose de moi était toujours entre les bras de Lucie.
a surprise fut de taille en ouvrant la porte : je fus aspergé d'une volée de cotillons et fis face à une banderole étendue dans toute l'entrée et sur laquelle on pouvait lire « FELICITATIONS ! »
La dernière fois que je l'avais vu, c'était pour fêter la réussite au bac de Chloé, mais mes parents avaient un goût certain pour la fête, ce qui justifiait également aux yeux de maman de nouveaux régimes pour compenser les excès dont elle avait été elle-même à l'origine. Elle avait quelque chose de montagnard : elle aimait les hauts et les bas et s'ennuyait dans la routine d'un régime alimentaire équilibré et normal.
Elle se jeta justement sur moi pour me prendre dans ses bras et m'embrasser, tandis que mon père ma tapa dans le dos d'une façon supposément virile, mais qui aurait tout aussi bien pu viser à me décoller un poumon.
« Félicitations mon petit Marc !
- Alors fils ! Te voilà un homme ! »
Alors c'était pour ça ? Chloé m'avait laissé derrière elle une bien étrange surprise. Il y avait eu la même chose il y avait quelques années pour son dépucelage. A la maison c'était un peu comme la petite souris pour la perte des dents ou importe n'importe quoi en fait. Deux parents fêtards, cela donnait une course à la recherche de la moindre justification pour faire la bringue. C'est d'ailleurs comme ça qu'ils s'étaient connus : ils avaient finis par se repérer à force de participer à toutes les soirées étudiantes et s'étaient mariés.
Mon père avait tellement aimé ce milieu qu'il ne l'avait jamais quitté et qu'il continuait à être organisateur, même une fois passé du côté professoral. La première grossesse de maman l'avait calmée : elle s'amusait bien moins sans alcool, et neuf mois sans boire l'avait tellement ennuyée qu'elle avait finit par noyer son ennui dans le premier truc qui passait et qu'elle n'avait jamais encore essayé : les études. Les élèves ingénieurs n'étant pas les derniers de la bringue, elle avait fortement apprécié ce milieu et ne l'avait jamais quitté.
Chloé n'avait certainement pas eu besoin de leur dire que j'avais couché avec Lucie, il avait suffit qu'elle leur raconte que j'étais parti passer un weekend seul en amoureux avec une jeune femme. Comme toujours dans ces moments-là, mes parents avaient préparé deux paquets cadeaux, l'un de papa et l'autre de maman. Je craignais le pire au vu de leur humour potache.
Je commençai par celui de papa. La surprise ne fut pas énorme en me rendant compte qu'il s'agissait d'un carton à chaussure portant la mention « à consommer dans l'année » et bourré à craquer de préservatifs. A vue de nez, il allait falloir ne pas laisser passer un jour si je voulais que tout soit consommé dans les délais impartis. Celui de maman comportait un test de grossesse, une plaquette de pilule contraceptive, et un vagin artificiel portant la mention « en cas d'urgence ».
Je ne me souviens pas de ce qu'il se passa exactement. Nous avons tous beaucoup bu et la fête tourna au n'importe quoi, comme bien souvent. Ce furent les photos souvenir et la présence de papier toilette en guise de guirlande dans tout le salon qui nous permis, après, de nous rendre compte que ça avait été un peu fort. Enfin... ça et la terrible gueule de bois que je dus trainer au lycée le lendemain matin.
Elle était si visible qu'elle me value une entrevue pendant la pause déjeuner avec le préfet de division. Il m’entretient longuement des méfaits de l'alcool, et une menace de prévenir mes parents si cela recommençait. Le mal de crâne me permit de résister à l'envie terrible d'éclater de rire à cette mention : papa avait séché les cours ce matin, et maman avait prévenu son travail par téléphone qu'elle préparait un bébé. Chose qui, entre collègues, voulait dire qu'elle ne se souvenait pas de la nuit, et qu'elle avait besoin de pioncer un peu plus.
je ne me connectai pas ce soir là et envoyai juste un texto à Lucie pour lui expliquer rapidement mon état. Elle me renvoya un simple smiley souriant accompagné d'une instruction : je devais me connecter le lendemain à six heures du matin. Cela m'allait parce que je me couchai à vingt heures trente, la tête toujours dans le pâté.
Le bruit de métal me prévint que j'y étais peut-être allé un peu fort. D'un large mouvement circulaire j'avais fait voler le réveil à l'autre bout de la pièce. Il était allé s'y éclater contre le mur au sens propre du terme. Aucun son autre que le ronflement parental ne vint à mes oreilles : la chance était à mes côtés... sauf pour l'achat d'un nouvel appareil qui s'annonçait. En règle général c'était ma mère qui me réveillait, ce pour permettre à la famille une économie substantielle, mais il me serait difficile d'expliquer qu'il me fallait me lever à 5h du matin pour être prêt à 6h à me connecter à internet.
Je pris une douche, un petit-déjeuner, et préparai mes affaires de classe, histoire de ne pas me retrouver bloqué par le temps si la discussion s'avérait très agréable. Comme j'avais bon espoir que ce soit le cas, je protégeai mes arrières. J'avais si hâte de la retrouver que je me connectai avec un quart d'heure d'avance. Évidemment elle n'était pas encore en ligne, mais Chloé l'était déjà. Ce n'était guère étonnant : elle n'éteignait jamais son ordinateur qui avait un up-time digne d'une geekette linuxienne. En réalité elle l'était un petit peu : je l'avais corrompue il y avait des années et elle faisait confiance à la puissance du pingouin (qui est un manchot, mais on ne critique pas une communauté qui est aussi petite que celle-ci). Ce fut elle qui vint à mon contact.
« Alors Marc, as-tu passé un bon weekend ?
- Il était parfait, il faut d'ailleurs que je t'en parle.
- Vraiment ? Raconte !
- Je crois que je suis complètement amoureux, ce serait bien qu'on arrête tous les deux, je ne me sentirais pas honnête vis-à-vis d'elle sinon... »
Chloé ne réagit pas pendant plusieurs minutes. Je m'inquiétai, mais essayai de me raisonner en me disant que c'était parce qu'elle avait du être occupée par autre chose. Au bout de dix minutes, elle se déconnecta sans m'avoir écrit un mot. Visiblement, elle n'était pas contente. Mais que croyait-elle, en me faisant rencontrer Lucie, que j'allais juste m'amuser avec elle ? Ou alors que je voudrais les deux ? En tous cas, au vu de sa réaction, il semblait évident qu'elle ne comptait pas me lâcher avant un petit moment.
Lucie se connecta à son tour, pile à l'heure. J'étais évidemment heureux qu'elle soit là et nous parlâmes tous deux du weekend passé. Je lui dis tout ce que j'en avais pensé, ce qui lui fit extrêmement plaisir, mais bien entendu aucun mot au sujet de Chloé. Elle sentit mon inquiétude et m'en fit part, mais interpréta ça presque immédiatement comme l'expression d'une légère angoisse vis-à-vis de l'avenir qu'elle essaya d'apaiser. De l'angoisse ? Évidemment que j'en ressentais, de l'angoisse ! Si Chloé lui disait quoi que ce soit, je risquai de la perdre, et de ça je n'en avais aucune envie !
Une heure de discussion se passa et elle me quitta sans que j'ai pu prendre un réel plaisir à lui parler, bien trop à mes craintes. La journée qui passa fut, de ce fait, particulièrement nulle. Je rembarrai même méchamment une fille de ma classe qui me proposa de sortir avec elle. Elle était adorable, et plutôt mignonne, mais j'étais tellement mal que ça me rendait détestable. Je le regrettai tout de suite après et lui présenta mes excuses, mais le mal était fait. Que me voulait donc Chloé, pourquoi avait-elle réagit comme ça ? Était-ce une vilaine blague ? Parce que dans ce, cas ce n'était vraiment pas drôle !
Sur le retour vers la maison je reçu un texto de Chloé qui me donnait rendez-vous au fond du jardin le soir même à minuit. Ce serait l'occasion de nous expliquer, voilà qui me soulageait. Je lui répondis que j'y serai à l'heure. Un dénouement, enfin !
Bientot la fin, la conclusion pour la prochaine fois...
Signé : Sélénime, sur Doctissimo
Oui, tu as raison, on arrive bientot à la fin.. Hélas !
Elle sera publiée dans quelques jours.. mais c'est bientot la fin !
Tu sais, on dit que le meilleur moment, c'est l'attente... Alors, tu vas devvir attendre un peu.. mais tu as d'autres histoires pour patienter.... biousxxx
Je souhaite comme toi : qu'elle ecrive d'autres chapitres !
Nous sommes plusieurs dans ce ca,s et j'espère que Sélénime ne nous fera pas languir !
Nous sommes deux... et meme plus, au vu des commentaires publiés à chaque épisode !