Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
LOUIS
Quand j’ai eu fini de la baiser, Caroline est allée faire le tour des différents groupes et quand elle est revenue dans le grand salon, Sarah, la copine d’Ingrid d’à peine 20 ans, était en train de me faire une fellation. Bouche grande ouverte, elle allait et venait sur mon sceptre de chair bandée.
Je lui ai fait signe d’approcher et, délaissant un instant Sarah, je me suis allongé sur le tapis, les épaules relevées par des coussins et la bite dressée vers le plafond comme un ''I''. Je l’ai faite mettre en amazone face à moi. Plus encore qu’en levrette, je sentais ma queue fichée en elle, au plus profond de sa chatte.
« Vas-y ! Laisse toi aller, baise-toi sur ma bite ! »
Je suis resté complètement immobile. Elle devait faire les mouvements de bas en haut sur ma bite pour l’amener à cracher encore une fois au fond de son vagin. Sarah s’est agenouillée au niveau de mes épaules en faisant face à Caroline. Pendant que je lui léchais la chatte, elle embrassait ses lèvres ou ses seins et caressait doucement mon pubis et le capuchon du clitoris de Caroline.
Empalée sur mon sexe bandé à fond, Caroline montait et descendait, la tête parfois rejetée en arrière comme en extase puis elle revenait vers Sarah. Elle savait vraiment y faire! Quand ma bite était tout au fond de sa chatte, Caroline pressait mon gland avec ses muscles internes. Dieu que c’était bon! Ça faisait quelques temps déjà que je n’étais pas tombé sur une belle chienne comme celle qui était en train de se baiser sur ma queue qu’elle utilisait comme elle aurait utilisé un gode à ventouse.
Nous étions à nouveau le centre d’intérêt et plusieurs couples enlacés observaient notre copulation à trois. Je me suis retenu de jouir le plus longtemps possible jusqu’au moment où j’ai lâché de belles giclées qui ont noyé son vagin au moment où j’avais amené Sarah à la jouissance par le cunnilingus que je lui avais prodigué en même temps.
A ce moment-là Ingrid est arrivée près de nous et sur un ton sans équivoque elle a interpelé Caroline:
''Garce! Tu t’es bien faite baiser! Tu n’as que ce que tu mérites, une vraie chienne en chaleur! Tu vas encore en prendre! J’ai deux candidats qui ne demandent que çà: TE BAISER!''
CAROLINE
À peine Louis a-t-il joui en moi que quatre mains attrapent mes bras. La voix d'Ingrid raisonne, narquoise
' »Garce ! Tu t’es bien fait baiser ! Tu n’as que ce que tu mérites, une vraie chienne en chaleur! Tu vas encore en prendre! J’ai deux candidats qui ne demandent que ça : TE BAISER ! »
Je tourne la tête en me sentant soulevée. Deux hommes m'ont saisie. Ils sont charmants, jeunes. Leurs visages en disent longs sur le désir qu'ils ont de me prendre. Me tenant chacun par un bras, leurs secondes mains se posent sous mes cuisses et, tenue comme un sac de linge, me voici transportée vers une autre pièce. Les deux hommes me posent alors délicatement sur le lit. Ils restent debout, en appui sur un genou. Leurs mains caressent tendrement mes cuisses, descendent sur mes genoux, mes mollets, mes chevilles. Elles remontent le long de l'intérieur de mes cuisses.
Ils évitent soigneusement mon intimité encore luisante et dégoulinante du sperme de Louis. Ils ne veulent visiblement pas y toucher. Ce contact m'électrise et me frustre. Je me mords les lèvres en fermant les yeux. Je sens leurs mains puissantes se saisir de mes chevilles et écarter mes jambes. Mes pieds nus ne tardent pas à sentir la dureté de leurs sexes au travers de leurs pantalons, et ils s'amusent à se masturber avec la plante de mes pieds. Je ne me fais pas prier et appuie avec plaisir pour éprouver leur érection. Ouvrant les yeux, je les vois sourire avec perversion alors qu'ils accentuent encore la pression de mes pieds sur leurs sexes.
C'est à ce moment qu'Ingrid entre dans la chambre suivie de plusieurs couples. Son petit martinet à la main, je lis dans son sourire qu'elle n'a pas décidé de laisser sa punition de côté :
« Attendez, n'allez pas trop vite messieurs !! J'ai des choses à récupérer avant que vous puissiez vous occuper d'elle… »
Alors que les deux hommes continuent leur masturbation pédestre, Ingrid s'installe à genoux à côté de moi. Elle se penche et m'embrasse. Nos bouches se confondent et nos langues se mêlent. C'est dans un baiser fougueux que je sens les franges du martinet tomber sur mon ventre. La caresse des fines lanières de tissu me donne la chair de poule. Je les sens remonter entre mes seins. Bientôt elles se concentrent sur l'un d'eux. Déjà tendu d'excitation, le téton pointe encore plus, à presque m'en faire mal. La sensation me rend folle et je dévore la bouche d'Ingrid. Sans autre forme de procès, elle abandonne promptement la bouche. Surprise, je la suis du regard jusqu'à ce qu'elle vienne se placer entre les deux hommes, face à mon intimité.
Elle s'en approche et posant les lanières du martinet sur mes lèvres gonflées et très sensibles, s'amuse à les caresser. Je gémis de plaisir et de frustration. Je me tortille d'envie, me cambre de désir. Le tissu quitte soudain mes lèvres et c'est maintenant la dureté du manche qui le remplace. Au niveau de mes pieds, je ressens la même sensation puisque les deux garçons ont extrait leurs membres de leurs pantalons et utilisent mes pieds comme s'il s'agissait de mains. Ingrid a, elle, entreprit de caresser mon intimité à l'aide du manche du martinet. Écartant mes lèvres de ses doigts, elle passe avec perversion le manche en bois contre mes chairs intimes, imprégnées des sécrétions de son mari et des vestiges de ma jouissance. C'est une douce sensation que ce contact. Je la regarde dans les yeux. Elle me dévisage d'un sourire pervers. Que va t elle faire? Je le sais pertinemment. Et c'est sans attendre que le manche du martinet entre en moi.
C'est avec soulagement que je l'accueille. Lentement, Ingrid fait tourner le manche, triture l'intérieur comme pour l'imprégner de ce que je recèle. Au bout de quelques secondes, elle le ressort. Nos regards se croisent et elle porte l'engin à sa bouche. Sa langue s'enroule autour du manche et elle récolte avec gourmandise le mélange de sperme et de cyprine. Elle semble s'en délecter. Très vite, n'y tenant plus elle se rue entre mes cuisses et commence un cunnilingus comme jamais aucun homme ne m'avait donné. Sa langue entre en moi, fouille mon intimité. Elle récolte à nouveau les lambeaux de jouissance de son homme.
Elle aspire mon intimité, boit à ma source. C'est un tel plaisir qu'elle ne tarde pas à me mener à l'orgasme, me faisant oublier les deux hommes qui jouent avec mes pieds. À peine suis je sortie de la torpeur de cet orgasme que je l’entends invectiver les deux mâles passablement excités par le spectacle saphique qui leur a été donné :
'' Vous pouvez y aller messieurs, elle est propre maintenant. Elle est toute à vous.''
Les deux gaillards quittent précipitamment leurs costumes et montent sur le lit comme deux enfants pressés de se servir du jouet qu'ils ont reçu à noël. Je leur souris, moi aussi excitée à l'idée d'en découdre avec eux. Sans me faire prier je saisis dans chacune de mes mains leurs sexes tendus. Ils sont si durs, si épais. Je les attire à ma bouche et, faisant presque se toucher leurs glands, mes lèvres et ma langue passent de l'un à l'autre.
Ils gémissent de plaisir lorsque le bout de ma langue s'attarde sur le frein. C'est un vrai délice pour moi. Leurs mains jusqu'alors affairées sur mes seins, descendent de concert sur mon ventre pour se retrouver sur mon intimité. Et c'est alors un festival de dix doigts qui pianotent mes lèvres, mon clitoris. Je gémis lorsque deux index pénètrent ma chair intime. Ouvrant ma bouche, l'un des deux étalons en profite pour y entrer dans un grommèlement de satisfaction. Je l'aspire avidement alors qu'il prend possession de ma bouche, interdisant par là-même l'accès à son partenaire. On peut même dire qu'il l'éjecte carrément puisqu'il se couche littéralement au dessus de mon visage et entame un mouvement de bassin vertical pour prendre ma bouche.
Surprise, je lâche le sexe de son acolyte. De frustration, il entreprend un va et vient rapide et violent de ses doigts en moi. Ma main tâte dans le vide à la recherche de se sexe que j'ai involontairement lâché, mais je ne le trouve pas. Les doigts de mon assaillant quittent mon vagin et je sens deux mains passer sous mes genoux, vite suivies des avant-bras pour me soulever. Je sens les cuisses de mon second amant contre mes fesses. Il m'attire à lui et c'est sans difficulté qu'il pénètre ma chatte ouverte d'excitation.
Posant mes jambes sur son torse, il se penche en avant, prenant appui sur ses poignets et entreprend une pénétration calquée sur celle de son camarade. C'est synchrone que chacun prend possession de ma bouche et de ma chatte. À cet instant, je suis aux anges. Mes deux amants me comblent au delà de ce que j'aime. Au bout de quelques minutes de ce traitement, les deux hommes ayant besoin de reprendre leur souffle... moi aussi d'ailleurs, ils se relèvent.
J'en profite pour sauter et me retrouver à quatre pattes, face à celui qui me prenait et dos à celui que je suçais. Amusé de la situation, celui qui me fait face s'assoit et, écartant les jambes, le sexe dressé comme un obélisque, me fait signe qu'il est prêt à recevoir les faveurs de ma bouche. Je prends appui sur mes coudes et avale son chibre avec gourmandise. Ma croupe ainsi surélevée, il ne faut pas plus de temps à l'autre pour entrer en moi. C'est à grands coups de reins qu'il me pousse à avaler le sexe du premier. Je sens la caresse de ses mains sur mes fesses. Ses mains légèrement caleuses m'électrisent et je sens un de ses pouces caresser mon petit trou. Ne lui opposant aucune résistance, il comprend qu'il peut aller plus loin et c'est avec une grande délicatesse qu'il entreprend de pousser sa première phalange dans ce petit œillet plissé.
C'est avec un immense plaisir que je l'accueille. Il pénètre plus avant et c'est bientôt son pouce entier qui se retrouve fiché en moi. Il commence à le tourner, à le plier pour assouplir le conduit qu'il souhaite, je pense, assaillir prochainement. Ainsi prise, j'avale avec plus de ferveur encore le sexe que j'ai en bouche. Me sentant prête à le recevoir, l'autre retire son pouce de mon anus et son sexe de ma chatte pour bientôt présenter son gland à mon petit trou. C'est sous les murmures de l'assistance qu'il s'introduit entièrement en moi en une seule poussée. Je gémis de douleur et de plaisir, étouffée par la queue qui obstrue ma bouche. Après deux ou trois allées et venues lentes, c'est sans douceur qu'il commence à pilonner mon arrière-train.
Les murmures se font plus nombreux et, embuée dans mon plaisir douloureux, je ne comprends pas un traitre mot de ce qui se dit. L'homme que je suce décide qu'il est temps de changer de place et d'accord avec son compère, il me relève sans que ma sodomie ne cesse. Je me retrouve allongée sur mon enculeur, les pieds sur ses genoux. L'autre se présente alors face à moi, tenant fièrement son membre qu'il ne tarde pas à faire entrer dans ma chatte sous les hourra du public. S'engage alors une double pénétration sauvage. Les deux hommes m'écrasant contre leurs corps perlant de sueur. Je hurle mon plaisir d'être ainsi possédée. Il ne leur faut que quelques minutes de cette frénésie pour déverser un flot de sperme dans chacun de mes orifices.
À peine repus de leur plaisir, Ingrid leur ordonne de me laisser ainsi sur le lit. Je suis incapable de bouger, saoulée de sensations délicieuses. Je pensais mon divin supplice terminé et pouvoir me reposer, mais Ingrid s'approche à nouveau de moi, accompagnée de Sarah. Les deux sylphides sautent sur le lit, telles des lionnes prêtes à dévorer leur proie. Sarah m'écarte alors les jambes et sans plus de précaution commence à récolter la semence dégoulinant de mes deux orifices souillés. Ingrid elle se positionne au dessus de mon visage et plaque son intimité contre ma bouche.
« Lèche-moi ! » me dit-elle.
Je n'en peux plus et c'est au rythme des doigts que Sarah introduit en moi pour en sortir le précieux nectar qu'elle convoite que, résignée, je prodige mes soins à l'intimité excitée d'Ingrid. Très vite, la sensibilité accrue de mes orifices permet à Sarah de me mener à la jouissance. Ingrid n'y tenant plus, elle arrose rapidement mon visage d'un plaisir qu'elle ne peut retenir plus longtemps.
« Je crois que tu m'as payé ta dette au centuple Caroline », me dit elle en s'allongeant à côté de moi. Elle se love contre moi, et nous nous câlinons alors que le public quitte la pièce excité par le spectacle que nous lui avons offert. Alors qu'Ingrid et moi entamons une discussion, nous entendons les chairs se donner du plaisir dans les pièces voisines. Petit à petit Ingrid et moi faisons plus ample connaissance.
Signé Miss K. et le Matou Libertin.
Amicalement
Jose
Heureuse que cela te plaise, cher José.
Je crie avec toi : encore, encore, encore !