Sophie, marquise de
R.
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Sophie
♥ Chapitre VII : Rien n'est fini ♥
À mon réveil le lendemain, il me faut quelques instants pour me remémorer la situation et l'endroit où je me trouve. La nuit passée me reviens en mémoire et mon corps ressent encore les effets des plaisirs vécus. J'ai envie de prendre une douche mais je ne sais pas où est la salle de bain et si j'en ai le droit. La porte s'ouvre. M. Serge entre portant un plateau avec café, thé, lait et tartines.
« Bonjour Mademoiselle K. bien dormi ?
- Oui Monsieur, très bien, merci. Quelle heure est-il ?
- Presque dix heures et demie.
- Déjà ? Je vais devoir vous laisser Monsieur, Monsieur Marc doit m'attendre. Je ne voudrai pas abuser de votre hospitalité. Et puis j'ai des choses à faire.
- K., je vais être franc. Il n'est pas question que tu partes. Je sais que tu n'es pas du tout la soumise de Marc.
- Pardon ? Mais si je vous assure…
- Le mensonge est un vilain défaut, K. Tout ceci était parfaitement préparé. Je vais t'expliquer. En fait, les cinquante trois mille euros correspondent à la somme que ton ami me devait. N'ayant pas la somme pour me rembourser, il m'a proposé de le faire d'une autre manière. Je ne sais pas pourquoi il a pensé à toi, enfin maintenant je le sais », dit-il en souriant.
« Mais un jour il m'a conduit devant chez toi. Quand je t'ai vue sortir, j'ai accepté son mode de remboursement.
- L'enfoiré !!!! Je vais le tuer
- Eh oui, K. les hommes sont comme ça.
- Mais ne me dites pas que toute la cérémonie d'hier soir était bidon ?
- Ah non, du moins pour ce qui était des autres. Disons que pour toi l'arrangement était déjà passé. Mais tu te doutes bien que pour cinquante trois mille euros, la nuit que nous avons passé ne suffira pas.
- Et si je ne veux pas ?
- Penses-tu réellement avoir le choix, jeune femme ? Vois-tu ta robe dans la pièce ? Ne te souviens tu pas que tu es venue dans la voiture de ton ami ? Sais-tu où se trouve cette maison ? Et surtout n'as tu pas remarqué à quoi est relié ton collier ? »
Je réalise soudain qu'il a raison sur tous les points et me rends compte qu'effectivement le collier est relié à une chaine dont le dernier anneau coulisse dans un réseau de barres fixé dans le plafond. Je suis prise au piège. Ce salopard de Marc m'a bien roulée dans la farine.
« Thé ou café ? »
Le ton neutre et presque amoureux de Monsieur Serge me désarçonne, et je réponds presque machinalement :
« Un thé merci.
- Mais ne t'inquiète pas K. je ne te ferai aucun mal. Ce n'est pas mon genre. Même si tu es attachée, je ne t'obligerai à rien de dégradant. Je souhaite juste que nous nous amusions ensemble.
- Oui enfin, je crois que je n'ai pas trop le choix non plus.
- Ce n'est pas faux effectivement. Des tartines ? Beurre ? Confiture ?
- Non, merci Monsieur, juste un thé.
- Je te conseille tout de même de manger quelque chose, tu risques d'avoir besoin d'énergie pendant ces quelques jours.
- Quelques jours ? fis-je, interloquée. Comment ça quelques jours ? Vous allez me garder combien de temps ?
- Eh bien en fait, autant qu'il me plaira. »
Après m'avoir servi du thé et beurré deux tartines, il m'observe déjeuner.
« Quelle sublime créature, vraiment. Je suis vraiment honoré de t'avoir dans cette maison. Cet écrin ne sera jamais à la mesure du joyau que tu es.
- N'avez vous pas l'impression d'en faire un peu trop tout de même ? Vous n'avez pas vraiment besoin de me flatter pour obtenir ce que vous voulez puisque je ne n'ai pas vraiment le choix.
- Détrompe-toi, jeune fille, il n'est pas dans mes habitudes de manquer de respect aux femmes. En dehors d'un lit, s'entend. Bien au contraire.
- Pardon. Je ne voulais pas être désagréable mais comprenez que je sois légèrement agacée de la situation dans laquelle je me retrouve.
- J'entends bien. Mais je t'avoue que ça ne me concerne pas. Tu règleras ça avec Marc.
- Bon, puisque je n'ai pas le choix, j'accepte donc de rester et de vous servir, mais attention, rien de dégradant. Maintenant, ce collier et cette chaine sont ils vraiment nécessaires ?
- Hummm, oui, question de folklore, dit il en souriant. Puisque tu viens d'accepter de rester, après tout tu deviens ma propriété, je fais donc comme bon me semble et il me plait de te voir ainsi enchaînée. Rassures toi, le réseau te permettra de te déplacer sans contrainte dans toute la maison. Il se lève. La salle de bain est derrière ce panneau, prends une douche et rejoins moi en bas dans un quart d'heure. »
Il se dirige vers la porte.
« Au fait, Mademoiselle K., si tu m'avais dit que tu voulais partir, je t'aurais reconduite chez toi. Maintenant il est trop tard... bonne douche. »
Je reste un instant interdite sur ce lit. Sonnée qu'il m'ait dit ça en sortant. Mais je ne peux m'empêcher d'en sourire.
« Le salaud !!! L'enfoiré !!! L'adorable enfoiré !!!! Ah je règle une dette. Ils ont manigancé ça dans mon dos. Je dois servir de compensation... eh bien soit ! Quitte à servir, autant que j'y prenne du plaisir. Il veut une chienne il va l'avoir. »
Je me dirige sous la douche et après une bonne demie heure de caresses sous l'eau chaude, me voilà prête à rejoindre mon hôte. J'enfile ma paire de talons, noue mes cheveux en un chignon bien tiré et, seulement revêtue de mon collier, je prends une grande inspiration avant d'ouvrir la porte de la chambre. Je traverse le couloir pour arriver à l'escalier. Encore une petite pause pour prendre du courage et me voici descendant l'escalier, drapée de toute la dignité qu'il me reste.
Ayant entendu le bruit de mes talons dans le couloir, Monsieur Serge m'attend au pied de l'escalier.
« Enfin la voici. Tu es vraiment divine mademoiselle K. ! Quelle apparition, » me dit-il en me tendant la main.
Je la saisis.
« Merci Monsieur, ce doit être ce magnifique collier qui me met en valeur.
- Et en plus elle a de l'humour, j'adore. Belle et drôle, décidément, mademoiselle K. vous êtes pleine de surprise.
- Vous n'imaginez pas, monsieur. Quel est donc le programme que vous m'avez concocté ?
- Ne sois pas si impatiente, jeune femme, tu gâcherais presque mon plaisir. Surtout que pour le moment rien n'est vraiment prévu
- Pardon, c'est que j'aime savoir ce qui m'attend.
- Il est onze heures, nous déjeunons à douze heures trente. Nous avons donc une heure et demie à tuer. Laisse-moi réfléchir. Tu vas danser pour moi. Suis-moi, je vais te montrer une salle très sympathique. »
Il me précède et ouvre une porte sous l'escalier que je n'avais même pas devinée. Nous descendons quelques marches et entrons dans une salle voûtée à la décoration baroque. Contre un mur, un aquarium éclaire la pièce d'une opalescente lumière. À côté un terrarium renferme visiblement deux ou trois reptiles. Quelques causeuses sont disposées en cercles, autour d'une petite estrade. Un imposant fauteuil se dresse face à moi dans le cercle des causeuses. Les accoudoirs, l'assise et le dossier sont recouverts de velours carmin, les parties boisées de feuille d'or.
« Héritage du passé, me dit Monsieur. Serge. Raspoutine y siégeait, disait-on.
- Heureuse de le savoir. Et je suppose que vous aussi n'est ce pas. Quel est donc cet endroit ?
- Ma cave privée. Où seules quelques personnes sont autorisées à venir. Une telle pièce ne serait pas bien vue si elle était à la vue de tous. J'ai une réputation à tenir tout de même.
- Je comprends, moi même je ne peux me permettre certaines folies en public.
- Allez, installe-toi sur l'estrade. Il s'assied sur son trône. Je veux que tu danse pour moi.
- Avez-vous de la musique ?
- Bien sûr. »
S'élève alors une musique suave, sensuelle qui effectivement me donne envie d’onduler mon corps nu, toujours enchaîné par cette laisse reliée au savant réseau de tringles suspendues au plafond. La situation je dois bien l'avouer commence à me plaire. Je n'avais jamais osé jouer les gogo-danseuses alors qu'on me l'avais proposé plusieurs fois.
Après tout, voilà une bonne occasion de m'y essayer devant un public des plus restreints. Oh bien sûr il n'était arrivé de danser nue pour un ou deux de mes ex mais juste pour rigoler et les exciter avant une belle chevauchée, mais ça n'avait rien à voir. Cet homme, même s'il a pu profaner mon corps toute la nuit, n'est qu'un inconnu qui, bien que j'ai décidé de rester, m'impose ce que bon lui semble.
J'entame donc une danse sensuelle, sans le quitter des yeux. Ondulant le bassin, mes mains jouent sur mes seins, caressent mon ventre. Mes doigts courent sur ma peau, sur mes lèvres, mon cou. Je m'agenouille en simulant un rapport avec un homme invisible que je chevauche, caressant mes seins, mon autre main entre mes cuisses. Je m'abandonne littéralement. Il semble apprécier le spectacle que je lui offre. Je me couche ensuite sur le dos et cambrée au maximum, j'ondule, me trémousse.
J'aime ce que je suis en train de faire et j'en éprouve un grand plaisir si bien que je n'ai pas vu Monsieur Serge quitter son siège. Je sens alors sur ma peau quelque chose de froid qui bien que légèrement gluant ne me semble pas désagréable. Que se passe-t-il ? J'ouvre les yeux et sursaute en voyant à mes côtés une forme longue d'un mètre cinquante, qui ondule. Le marbré noir et marron de sa peau me fait penser qu'il s'agit d'un python.
« Je crois que Boris, mon python, a très envie de danser avec toi. J'espère qu'il ne te fait pas peur.
- Euh... non, j'ai juste été surprise de sa présence. Je ne vous ai pas entendu bouger.
- Alors prends-le et danses avec lui. »
Je me saisis de l'animal non sans une certaine appréhension. Mais ça n'est pas désagréable, soyeux même. Maladroitement je le mets sur mes épaules et reprends ma petite danse debout. Même si je ne suis pas rassurée, ce contact m'électrise petit à petit. L'animal s'agrippe, sa queue s'enroule autour de mon bras tandis que je tiens sa tête dans ma main. Je commence à jouer délicatement avec comme je le ferais d'un boa de plûmes. Je n'ai qu'une crainte, c'est qu'il décide de faire de moi son repas et m'étrangle. Mais le serpent semble être plutôt docile et habitué à être manipulé. Sa queue desserre mon bras et se met à pendre sur ma poitrine. Contre toute attente, la sensation sur mon sein provoque une réaction inattendue. Je sens mon téton poindre ostensiblement à la caresse de la peau du serpent. Je décide d'explorer plus avant cette sensation nouvelle.
Effectivement, au contact de cet animal, mon sein semble se gorger de plaisir. La chair de poule me rend encore plus sensible au toucher soyeux de sa peau. Je m'agenouille, retire le serpent de mon cou et me couche sur l'estrade pour ensuite poser l'animal sur mon corps. Son ventre caresse le mien de ses légères ondulations.
Mon corps chauffe à se contact. Sa tête posée entre mes seins, son autre extrémité se retrouve entre mes cuisses ouvertes. Les méandres de l'animal, son poids, la caresse de sa queue sur mon sexe me procure un plaisir que je n'aurais pu soupçonner. La bête remonte doucement sur mon corps, mais j'essaie de le maintenir sur mon ventre. Si bien que très vite son corps se trouve lové autour d'un de mes seins. Son mouvement le fait le presser.
La douceur de cette caresse m'amène inexorablement à la jouissance. Je sens le reste de son corps glisser sur mes lèvres, achevant de me mener à l'orgasme. Mon spectateur jubile de me voir me caresser avec l'animal. L'orgasme passé, je reste un instant allongée, interdite et légèrement honteuse de ce qui vient de se passer. Je n'ose croiser le regard de Monsieur Serge alors qu'il récupère Boris pour le remettre dans son terrarium.
« Eh bien Mademoiselle K. tu dépasses toutes mes espérances. J'ai eu raison d'accepter la proposition de Marc.
- Pardon, je ne sais pas ce qui m'a pris. Je me suis laissée aller. Mais il n'est pas dans mes habitudes de faire ça avec des animaux et ça n'est qu'un accident.
- Rassure-toi tu n'es pas zoophile. Ça n'a rien à voir. Moi non plus du reste. Chacun ses pratiques même si celle ci ne fait pas partie des miennes. Mais j'ai pris énormément de plaisir à te voir jouer avec Boris. C'était très sensuel. Allons déjeuner. »
Il me demande de passer devant lui pour sortir de la pièce. Ses mains se posent sur mes fesses nues en montant les quelques marches qui nous permettent de retrouver le hall d'entrer. Il ne manque pas d'ailleurs de passer un doigt entre mes cuisses pour en éprouver l'humidité résiduelle. Au point où j'en suis, je ne suis plus à quelques intrusions près.
Nous nous installons à table, l'un en face de l'autre. La table en verre lui permet d'avoir une vue imprenable sur mon intimité. Il me demande de garder les cuisses pour « jouir à sa guise de ce divin spectacle''. Je ne vois aucun inconvénient à cela. Nous déjeunons en discutant de choses et d'autres. Et sa conversation s'avère d'un intérêt étonnant. Cet homme que je prenais pour un vieux pervers dégueulasse se montre être un hôte attentif et d'une grande culture. Pendant plus de deux heures nous discutons politique, art, histoire sans à un moment dériver sur le sexe. J'en arrive même à en oublier ma condition du jour, ma nudité et ce collier.
Nous échangeons avec humour et intelligence. Au bout d'un moment, il me demande de remonter dans ma chambre et de me reposer en vue de la soirée qui m'attend. À ma question de savoir ce qui est prévu, il élude en me disant que c'est une surprise. Je prends congé, et remonte l'escalier. Je sens son regard sur mon corps alors que je gravis les marches. Je tourne subrepticement la tête et le vois m'admirer, tête penchée sur le côté, un sourire aux lèvres. Je ne peux m'empêcher de sourire en disparaissant de sa vue au coin du couloir.
Dans la chambre, je m'allonge sur le lit et repense à ce que j'ai fait ce matin. Je ne comprends pas ce qui m'a pris avec cet animal et me sens mal à l'aise. Mais très vite, le plaisir de ce contact me revient et je me caresse doucement, allongée sur ce lit jusqu'à l'orgasme. Je m'endors repue de plaisir.
A suivre…
La suite d'ici une petite semaine... ;-) Miss K ne fait pas defaut !
en tout cas, je suis fan de t histoires, miss K. Elle sont vraies???
Je sais que comme moi, tu n'es pas fan de sm, mais que tu apprécies la belle écriture de
Miss K. !
Si un jour, tu as envie d'écrire " à quatre mains ", demande mon mail à Sophie (ou autorise la à me transmettre le tien !
Bravo encore !
Le message est passé, j'ai donné ton mail à Miss K. Je suis sure que vous allez bien vous entendre !
Il est vrai que ce passage est très très sensuel... as-tu deja touché un serpent, Lilou ?
Merci Jeffe, la usite et spour bientot...
et aussi vendredi, un recit super trash... j'ai meme hesité à le publier, tant le tabou est grand....
Nous sommes plusieurs à le penser, mais pas assez à le lui dire ! ;-)
En zffzt, toucher un seprent est assez surprenant, et ma foi, plutot senuel...
Une deuxième gifle me projeta immédiatement à terre. Aziz, l’amant de ma femme Nadia me releva par les cheveux. Lui se tenait les mains sur les hanches, la verge en avant, droite et fière. Moi Karim (lailatvx sur le net), je tenais mes joues entre les mains, les jambes relevées, je pleurais bruyamment comme un enfant. De la nasse s'écoulait de mes narines et mes yeux étaient des rivières.
- Alors, tu suces?
Un petit «oui» de défaite lui répondit.
Il patienta une seconde.
- Alors, j'attends !
D'un rapide mouvement du bassin, il secoua sa puissante colonne sous mon nez. Alors moi qui étais tout à l'heure encore prêt à abattre l'amant de ma femme, me mettais à genoux devant lui, baissais les yeux, soumis, prit doucement son zob dans mes deux mains et posai mes lèvres sur son gland qui, il y a peu, inondait la matrice de ma chère épouse.
- C'est bien « kahba » (pute en dialecte marocain), suce salope, tu vas voir ce que c'est qu'un homme, un vrai !
Il m'avait battu chez lui. Humilié. Il m'avait pris ma femme chérie. Réduit ma force à néant. Démontré mon infériorité. Fait chialer comme un gosse. Et maintenant, je le suçais avec application devant mon épouse souillée de son sperme.
J'ai englouti le gland et progressé sur la hampe. Je n'arrivais pas à aller très loin. Il me mit la main droite sur la tête, et me dit de faire attention avec mes dents. J'ouvrais au maximum les mâchoires. Je lui obéissais.
Il me faisait faire de petits allers retours, reculait ses hanches et avançait son zob alternativement. Je sentais son ventre écraser mon front. J'étouffais un peu, et cela me faisait bien sentir ma soumission face à cet homme. Bientôt, il me prit la tête entre ses deux mains pour accélérer le mouvement.
Je n'avais pas dû me débrouiller très bien. Son zob allait de plus en plus profondément, jusqu'à pénétrer ma gorge. Je ne tenais plus en équilibre, et mes mains se raccrochaient à présent à ses cuisses velues et puissantes. Je ne maîtrisais plus ma bouche qu'il utilisait selon son bon vouloir, comme un roi, et des flots de salive débordaient de mes lèvres pour couvrir mon menton et tomber sur ma poitrine. Lui-même, sa virilité s'ornait de mon humidité buccale. Je ne pourrais plus jamais me regarder dans une glace sans me rappeler cette scène.
- Ah… Connasse, lèche mes couilles! Mets-toi à quatre pattes!
J'obéissais. Je plaçais ma tête entre ses deux imposantes cuisses et la tournais pour placer ma langue sous ses bourses. Je rendais hommage à sa capacité reproductrice également bien dotée, et goûtais au goût un peu rance de ses testicules. Elles étaient déjà humides de ma première fellation.
Je sentis mon dos ployer sous le poids de son ventre. Mon visage s'écrasait entre ses cuisses, ses couilles et son chibre, je m'affaissais sous son poids, et mes fesses s'écartaient mécaniquement, lui offrant une entrée royale vers mon petit trou qu'il commença à caresser.
Je me débattais. D'abord, parce que je ne voulais pas qu'on me fasse ça, ensuite parce que j'étouffais. J'étouffais réellement. Ne parvenant plus à respirer, j'abandonnais la lutte tandis que des étoiles apparaissaient devant mes yeux.
Soudain, ma tête trouva de l'air. Elle venait de passer entre ses cuisses. Je pris de profondes inspirations, le corps abandonné à Aziz. Celui-ci me prit par le ventre, me fit coulisser et me reposa sur le dos.
- Tu vas voir, je suis gentil. Je ne vais pas te faire de mal. Je veux te faire du bien. Je sais faire beaucoup de bien, tu sais. Mais je sais que ce n'est pas facile, alors je vais te trouver quelque chose à faire pour faire passer la pilule.
Il prit la tête de mon épouse Nadia et la fit s'asseoir sur mon torse, à quelques centimètres de ma bouche. Pendant qu'il relevait mes jambes sans forces, il lui ordonna d'approcher sa chatte gluante de ma bouche. Je pouvais toucher mon épouse parce qu'il lui avait ordonné de se donner à moi.
Je goûtais sa liqueur à elle et les restes de sa saillie à lui. C'était amer et fort. Il avait pris son droit sur elle.
J'entendis un crachat qui atteignit ma rondelle. En attendant, ma langue qui connaissait le sexe qui avait perforé cette chatte fouillait celle-ci comme pour retrouver un peu de masculinité, ou peut-être, en creux, l'empreinte de son maître, qui n'était plus moi. Je n'avais plus de souveraineté sur ce con.
J'entrepris de laper le clitoris qui se présentait à moi, après avoir intégralement nettoyé sa matrice. Mon épouse gémissait.
Les doigts d'Aziz couraient autour de mon petit trou. Il le chauffa quelques minutes, puis il commença à picoter. Je tentais d'agripper les jambes de ma femme, mais ne trouvais que celle de l'homme assis sur mon torse.
- Tu commences à aimer, hein…
Un grognement négatif essaya de se faire comprendre, mais en réalité, je devenais moite et mon corps commençait à remuer. Son index grattait ma corolle. Il éclata de rire lorsqu'il vit, entre mes jambes complètement écartées, mon anus sauter vers son doigt. J'avais envie de le recevoir.
- Attends, Nadia lève-toi chérie, s'il te plaît… Alors, t'as compris cocu?
Un silence, je ne le voyais pas mais le devinais souriant, satisfait. Cela s'entendait à son petit air diabolique.
- Alors, c'est qui le Maître? C'est qui l'Homme? Celui qui peut mettre sa bite partout?
Je répondais d'une voix aiguë :
- C'est toi, c'est toi Aziz… Aziz…
J'avais chaud, mes jambes et mon bassin tournaient tous seuls. J'avais les yeux mi-clos.
- Alors, qu'est-ce que tu veux?
Mes idées n'étaient pas claires, mais l'instinct me faisait lui répondre.
- S'il te plaît Aziz… S'il te plaît… Je t'en prie… Mets-moi un doigt dans le cul! J'ai envie! Allez Aziz!!!
Ces deux dernières phrases criées exprimaient bien à quel point cet homme avait su m'exciter. Ma femme rit.
- D'accord, d'accord, je vais m'occuper de toi. Mais toi aussi, il faut que tu t'occupes de moi. D'accord? Alors, pendant que je m'occupe de ton cul, tu vas t'occuper du mien.
Il plaça ses fesses au-dessus de mon visage. Je projetais ma langue à la rencontre de son anus, sans dégoût mais avec envie et rapprochais son très large postérieur de mes mains. Il y avait un goût un peu âcre, qui m'excitait encore plus.
Sitôt mis à ma besogne, lui entreprit mon trou. Il y fit pénétrer une phalange qu'il fit lentement tourner. Il prenait tout son temps. Mon sexe était bouillant, mais je ne pouvais m'en occuper. A la place, je poussais des gémissements plaintifs, en écartant mes jambes comme si je voulais me déchirer moi-même en deux.
Bientôt, il fit entrer un doigt entier dans mon fondement. Il tourna pour élargir mes possibilités et lorsque je fus un peu assoupli, il y joignit un second. De ses deux doigts, il entreprit de me masser la prostate. Je progressais dans la jouissance.
De son autre main, il caressait ma femme, s'occ
Ma chère Leila, je suis un eu perdue dans les differentes parties de récits reçues ici... il faudrait que je les regroupe pour que je puisse bien les publier !