Sophie, marquise de
R.
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Sophie
Mardi 3 avril 10 heures.
Jean-Luc file vers Vierzon, pour son meeting du soir. Ce sera la folie, plus de six mille personnes sont attendues dans une salle de quatre mille personnes ; il y pense dans le train qui l’emporte avec son équipe de campagne. Mais il ne peut s’empêcher de penser à son amante… Marine ! Il l’aime tant qu’il en est obsédé !
Il est perdu dans ses pensées :
« Ce jeu que nous devons jouer, mimant une haine féroce entre nous, ça devient de plus en plus pénible Mais ce soir, nous nous retrouverons à Orléans…. Elle intervient à Paris auprès du Medef, et va demain en Haute-Normandie. Il faut jongler, mais on arrive à se croiser quand même ! »
Son cœur bat à cette pensée, son sexe se durcit au souvenir de la nuit de Sainte Maxime. Vite, un dossier pour cacher cela à Benoit, qui est toujours assis près de lui.
Ce soir, ils prennent un risque... ils vont dans un hôtel, mais ils n’ont trouvé personne de confiance pour abriter leurs amours interdites… Il a trouvé « La Tonnellerie », un hôtel trois étoiles à Beaugency. Il a l’avantage d’être dans un endroit discret, où les photographes n’auront pas l’idée de le chercher !
Benoit toujours aussi efficace, a réservé au nom de jeune fille de sa mère. Il a dit que les clients arriveraient tard, et que moyennant un supplément, la clé doit être sur le comptoir. Et la discrétion du personne l absolue. Tout a été payé en espèces. Que dirait-on si l’on savait que lui, le chantre de la gauche pure et dure, va dormir dans une suite à plus de deux cents cinquante euros ? Sans parler du pourboire pour la discrétion…
Son portable vibre. Il le saisit vivement et voit s’afficher « meeting », le nom de code de Marine. Son cœur bondit dans sa poitrine.
« Bonjour Monsieur, que puis-je pour vous ?
- Mon amour, tu me manques !!! lui répond Marine.
- C’est aussi le cas pour moi. Nous pourrons en discuter plus tard ?
- Oh oui, tout ce que tu veux ! Tu sais comment je suis là ?
- Non, mais vous allez m’expliquer… » lui répond Jean-Luc, de façon autoritaire.
A l’autre bout du fil, Marine frissonne. Elle aime ce ton qui la met dans un fort état d’excitation. Elle sait aussi qu’il ne peut pas parler.
« Mon amour, je suis juste en boxer en dentelle, et le petit haut façon nuisette. J’allais m’habiller pour aller rencontrer la mère Parisot, et j’ai pensé à toi. Alors, je t’appelle…
- Vous avez bien fait. Si vous permettez, je vous rappelle dans quelques secondes. Laissez-moi consulter mon dossier !
- Oh oui, mon amour, fais-vite, je veux t’entendre me dire plein de cochonneries… »
Il raccroche, très fébrile. Il se lève, et fonce vers les toilettes du Tgv. Il s’enferme, et compose fébrilement le rappel de Marine. Elle décroche à la première sonnerie.
« Ma beauté ! Comme je suis heureux de t’entendre ! je ne m’y attendais pas !
- Et moi donc, tu me manques trop. J’ai hâte d’être à ce soir… Mais j’ai besoin d’un moyen de patienter.. ;
- Petite coquine, tu es une grosse vicieuse !
- Oh oui, mais tu es largement à ma hauteur sur ce plan, mon amour !
- Alors, tu es quasi nue ? »
En disant ces mots, il sent sa bite durcir encre dans son pantalon.
« Ma beauté, attend une seconde, je mets mon oreillette, je dois me mettre à l’aise, tu comprends.. ?
- Mais oui mon amour, je suppose que tu es dur comme j’aime..
- Oh oui, je vais exploser si je ne déshabille pas !
Il pose le téléphone sur la tablette, dégrafe son pantalon et active le Bluetooth de son oreillette. Il s’assied sur le couvercle des toilettes. C’est un peu glauque, mais pas moyen de faire autrement !
« Je suis à toi, ma beauté !
- Je le sais, et moi aussi, je suis à toi…. répond-elle en soufflant dans le combiné. Et j’ai très envie de toi. Je suis toute mouillée…
- Si tu voyais comme je suis raide ! Tu sais, j’ai commencé à me caresser...
- Mhummm et dire que je ne peux même pas te voir faire. J’ai glissé ma main sous la dentelle, et je titille mon petit bouton…
- Salope ! Ce soir, c’est moi qui te ferais ça ! lui dit-il de façon affectueuse. Je te dévorerai en entier !
- Oh mon amour, j’ai si envie de ta bouche sur moi... Et de ton pieu EN moi ! »
Marine, allongée sur son lit, se crasse son entre-jambes en feu. Sa main va de plus en plus vite sur cette zone si sensible…. De son coté, Jean-Luc n’est pas en reste ! Il se branle rapidement, son poignet fait de brefs mais intenses va et vient. Il sait qu’il a peu de temps. Il prend la parole, très essoufflé :
« Ma beauté, dis-moi ce que tu te fais ?
-Je me caresse comme une folle. Je viens de prendre le gros vibro noir que tu m’as offert. Il entre en entier dans ma chatte… Putain, j’ai envie de toiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
- Ma beauté, on se voit ce soir, j’ai aussi une envie de toi bien dure ! je vais gicler !!!
- Vas-y mon amour, jouis pour moi ! »
Elle accentue la force de vibration de son gode, et se ramone avec violence son antre dilaté.
Son amant accentue encore ses mouvements, et en entendant le ronronnement du gode, combiné aux râles de plaisirs de Marine, il explose. Il jouit dans sa main, tentant d’endiguer le flot laiteux. Il déchire quelques feuilles de papier toilette et s’essuie, tout en écoutant sa maitresse.
« Mon amour, je vais jouir, j’imagine que tu me baises comme une bête !... ca vient, ca vie… »
Le reste des mots est englouti par son cri de jouissance. Pour une fois qu’elle peut se lâcher vocalement, elle en profite !
Elle retombe, épuisée, mais à peine assouvie de son envie de lui. Elle lui murmure dans le téléphone :
« Mon amour, je e laisse, on m’attend pour le Medef… je t’aime ! A minuit à Beaugency ? Je serai en voiture de location.
-Oui ma beauté, je viens avec Benoit, et on sera tranquille.
- Tu es sur de l’hôtel ?
- Oui pas de soucis, on les a payés pour ça aussi.
- Merci mon amour, tu penses à tout !
- Je dois sortir des toilettes, ca cogne à la porte !
- A tout à l’heure, mon chéri... je t’aimmmmmmmmmmmmmmmmmmme !
- Moi aussi je t’aime, je pense à toi ! »
Jean-Luc finit de se rajuster, il se lave les mains, et sort, tentant d’afficher un visage neutre. Un sympathisant le regarde bizarrement :
« Ca va, Monsieur Mélenchon ?
- Oui pas de soucis, juste un petit vertige dû à la fatigue !
- Allez, vous êtes fort, on va gagner !
- Oui, on gagnera ! On va en remontrer au capitaine de pédalo ! »
Il regagne son siège sans un mot de plus, et se cale contre la fenêtre, faisant semblant de dormir. Il veut penser encore un moment à sa blonde chérie….
A suivre !
En effet, pourquoi ce ne serait pas la vérité ???
Soyons patient.
Et nous y sommes.. .nos deux heros ont fait à eux deux le score qu'ils esperaient....
Ces deux-là, comme tous les autres d'ailleurs ne me portent pas du tout à la rêverie érotique. Cela dit j'aimerais beaucoup les voir se sauter ces deux-là
Moi aussi, ce serait assez... comique !
Elle n'a pas eu lieu, faute de succès.. ;-)
Tu as raison, ma chère, mais l'etat de mes cotes m'empeche d'ecrire plus que quelques mots à la fois.. impossible de me mettre à la rédaction d'un recit complet. :-(